•  MA MEILLEURE AMIE.

    Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots.
    Cela fait bien 20 ans que je ma tape tout ce qui passe à ma portée, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût.

    Je suis en vacances chez un couple d’amis que j’ai connue lors d’une de mes virées érotiques.
    Nous sommes devenus très proche et ne nous cachons plus rien.
    Nous sommes autour de la piscine, Jean et Annabelle viennent de se plonger dans l’eau.
    J’ai remarqué Claude, leur fils a un peu plus de 18 ans ans, on dirait que je lui fais de l’effet car il ne me quitte pas des yeux.

    Il vient me demander s’il peut me tenir compagnie.
    J’accepte, il porte un short assez ample, il s’assied à coté de moi la tête en arrière. J’écoute la musique de la sono les yeux fermés, détendue.
    Il s’est rapproché, nos jambes se touchent, je souris intérieurement mais le laisse faire.
    Il se passe un moment quand je sens sa main sur ma cuisse. Il doit croire que je me suis assoupie.
    Sa main remonte lentement à la fourche de mes cuisses et je décide d’ouvrir les yeux.
    Quand il me voit le fixer, il prend peur, complètement affolé et s’enfuit, regagnant sa chambre.
    Sa mère, a suivit son manège, elle vient vers moi et me parle de son fils.
    -Claude est d’une timidité maladive, il n’a aucune relation avec les filles car dès qu’elles commencent à le remarquer, il perd tous ses moyens et laisse tomber. Il est pourtant bien fichu et en rendrait plus d’une heureuse.

    Soudain Annabelle me fait une proposition que rarement une mère demande à sa meilleure amie.
    -Je sais que ce que je vais te demander va te paraître horrible, mais accepterais-tu de le déniaiser pour lui donner un peu de confiance en lui ?

    Je suis si surprise par sa demande et mets plusieurs minutes avant de lui répondre.
    -Eh bien……….. C’est que……….. Oh et puis pourquoi pas, ça fait longtemps que je n’ai plus connu de puceau, j’accepte !
    -Passe par le jardin, tu accèderas à sa chambre par la porte de derrière.


    Je marche sur la pelouse et m’approche de la fenêtre de la chambre de Claude à pas de loup et regarde à travers la fenêtre. Claude est allongé sur son lit, complètement nu.
    C’est un jeune homme bien charpenté, aux muscles saillants. Il a la tête tournée vers la télé, ses yeux sont rivés sur l’écran, je devine qu’il mâte un film porno.

    Mais mes yeux sont vite attirés vers son entre-jambe ou est érigé une colonne formidable.
    J’ai comme un choc. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’affole.
    J’ai déjà vu bien des choses mais là je contemple avec stupéfaction une verge bistre et énorme, je n’ai jamais imaginé être confrontée un jour à un tel organe.
    Mes mains deviennent moites, mon ventre me brûle, ma gorge est sèche.

    Je regarde autour de moi instinctivement, comme pour m’assurer que personne ne m’observe voulant garder pour moi seule le secret de cette extraordinaire vision.

    J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
    J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant son film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin.
    Je marche vers lui comme un automate et accroche une chaise au passage, je pousse un petit cri de douleur.
    Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé.

    Je me précipite vers lui, tombe à genoux devant le lit et pose ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
    -Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal.
    Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
    Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
    -Que c’est beau!
    Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls.
    Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement.

    Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je me jette littéralement sur ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon.

    Mais le soc massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore.

    Un émoi étrange m’étreint à la vue de chaque nouvelles bites, identiques mais cependant si différentes dans leurs formes.
    Tout en caressant ses grosses couilles velues, j’approche ma bouche du gros chibre et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements.
    Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue.

    Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie.
    Claude n’en peut plus. Des insectes voraces s’affairent maintenant par grappes piquantes au creux de ses reins tendus.
    Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge.

    Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer.
    Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme.
    Excitée par l’odeur qui se dégage de l’énorme pénis, je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre.

    Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux.
    J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu. Je balbutie :
    -Sais tu que ton canon est d’un tel calibre que ma bouche grande ouverte n’a pu en goûter que la gueule ?
    Claude n’a pas l’air de comprendre ce que je viens de dire. En revanche, il s’enhardit et rit, presque bêtement, en agitant son sexe gonflé, qu’il tient par la racine.

    Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum.
    S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées.
    J’ai connu un homme avec un membre presque aussi imposant, j’avais cru être fendue en deux par ce gourdin qui avait pénétré mes chairs enflammées.
    Comment ça va se passer avec ce monstre ?

    A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente.
    Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles.

    Claude jette ses mains comme pour une gifle sur chacune de mes hanches, rentre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps.
    Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé.
    Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre.
    Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur.
    Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles.
    Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives.
    J’hurle et sanglote d'un atroce plaisir hystérique de mon corps supplicié par moi-même, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun.

    Claude s’est tari, j’ai réussis à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide.
    Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale.

    Mais il faut que je pense à continuer son éducation.
    Je me retire avec regret du sexe de ce faune et enjambe son torse pour offrir ma vulve à sa bouche. Il ne réalise pas tout de suite ce que j’attends de lui mais les films porno lui reviennent en tête.

    Il écarte avec ses deux mains ma vulve et vient y coller ses lèvres.
    Avec un peu de dégoût, il embrasse mes chairs intimes, puis s’enhardissant, il enfouit sa langue dans les replis de mon vagin.

    - Oui ! C’est bien, continue, lèche-moi bien, cherche mon bouton, mords-le un peu, mais vas-y tout en douceur.
    Ma chatte laisse échapper mon miel et je gémis de plus en plus, ses dents mordillent le capuchon de mon clitoris dardé. Ses caresses linguales deviennent de plus en plus assurées, m’amenant jusqu’à l’orgasme.

    Je n’en peux plus et retire vivement mon sexe en feu de la bouche avide.
    Ma main a glissée sur son corps et s’est emparée de son engin toujours vaillant. Mes doigts se saisissent d’un pieu de bois dur et chaud qui sous ma caresse grossit encore.

    Je veux lui rendre ses caresses et ma bouche reprend de nouveau possession de cette matraque merveilleuse.
    Je mets toute ma science dans cette fellation incroyable ou je ne peux absorber que son gland énorme. Je compense ma frustration par des caresses de ma langue tout au long de sa hampe et en gobant ses œufs pleins de sa semence.

    Il halète et tout son corps se raidit. Son gros dard gonfle sous mes lèvres habiles qui le pompent avec avidité.
    Un gémissement rauque sort de sa bouche quand il lâche des jets copieux jusqu’au fond de ma gorge, j’avale avec gourmandise sa laitance qui déborde au coin de mes lèves, laissant des traînées sur mon menton avant de tomber entre mes seins.
    Je presse ses couilles avec mes doigts pour en extraire jusqu’à la dernière goutte que je déguste comme un bon vin, le sperme continue à gicler par saccades du méat entrouvert, je m’en barbouille le visage comme d’une crème.
    Sa verge a perdue de la superbe mais même comme ça, ce que je vois ferait pâlir de jalousie la plupart des hommes.
    Je le félicite de ses performances et lui fait une proposition :
    -Tu sais que tu es monté comme un âne ? Je t’ai fais découvrir ce qu’était le corps d’une femme mais la leçon n’est pas finit. Si tu es d’accord, je reviendrai ce soir te faire découvrir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.

    Mais vu tes dimensions peu commune, il va falloir que je me prépare sinon ça ne sera pas possible, d’accord ?

    -Oh oui Julie, mais j’espère que maman n’en saura rien.

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  • UNE ORGIE PEU COMMUNE.


     

    Bien sur, ces histoires sont pour la plupart inventées ou embellies pour votre plaisir.
    Dans celle que je vais vous conter, ces cinq étalons vont se retrouver avec leurs copines pour une orgie de « big-cocks ».


    Annie, la femme de Michel est devenue une « accro » au sexe et comme son mari est toujours partant, elle a décidé d’organiser une rencontre avec les connaissances qu’ils se sont faîtes dans ce milieu très fermé.
    Mais elle veut une soirée inoubliable et ne sélectionne dans ses connaissances que des couples ou des partenaires qu’elle sait très bien membrés, c’est son péché mignon, la toise minimum est à 22 cm.

    Elle a contacté ses meilleurs hardeurs, Emilie et son mari Patrick, ils sont toujours partant pour passer à l’acte et leur a demandé d’inviter Pierrette et Henri, un couple de leur connaissance.
    Elle a aussi invité Martine qui lui a dit qu’elle viendrait avec une surprise.
    Enfin, elle a fait la connaissance dernièrement par une amie Patricia, de Damien, un jeunot qui a l’air de valoir le coup, Il a été difficile de le décider à venir mais il a finit par accepter.

    La soirée tant attendue est enfin arrivée, ils ont loués pour l’occasion un grand chalet avec une piscine et attendent leurs invités après avoir préparé la maison.

    Récit d’Annie.

    Les invités commencent à arriver, Emilie et Patrick viennent d’arriver, ils ont à peu près le même âge qu’eux, entre 23 et 25 ans.
    Puis arrivent Henri et Pierrette, 50 et 45 ans.
    Dix minutes après, c’est Martine, la trentaine, qui sonne à la porte, elle est accompagnée d’un jeunot, Xavier, 18 ans, beau comme un cœur et d’une jeune fille du même âge qui n’en mène pas large, Béatrice. Avec ses couettes on dirait une petite fille.

    Bon dernier, Damien arrive enfin, il est à peine plus âgé que Xavier, peut-être 19 ans.

    Nous avons pris un pot pour faire un peu connaissance avec les participants que nous ne connaissons pas.
    En maîtresse de maison habituée à de telles réunions un peu spéciales, je donne des explications sur ce qui va suivre.
    -Pour mieux nous connaître, je vous propose pour commencer que les hommes se mettent dans la piscine assis sur la margelle et que les femmes passent de l’un à l’autre pour goûter à leurs attributs. Allez ! Tout le monde à poil et à l’eau !
    Tout le monde obéit et se dévêtit sauf Damien et Xavier qui hésitent devant tant d’inconnus.

    Martine s’approche de Xavier et lui retire ses vêtements, il ne porte plus que son slip. Elle met une main de chaque coté, attrape le dernier rempart de tissu et le descend sur ses chevilles.
    Je vois apparaître une belle pièce au repos, sa queue lui arrive à mi-cuisse, un beau morceau qui promet.
    Je me dévoue pour Damien tout timide, faisant voler ses habits ne lui laissant que son boxer, Ce que je devine à l’air d’être prometteur.
    Je m’attaque moi aussi à la dernière barrière de tissu qui recouvre le corps assez gringalet de ce jeune homme, on dirait un ado chétif.
    Mais quel contraste quand je vois la verge de ce jeunot, j’ai beau descendre le boxer, je n’en vois pas la fin. Quand enfin son chibre m’est enfin révélé, il est du même acabit que celui De Xavier.
    Béatrice n’ose pas non plus se dévêtir, Avec plein de douceur, Michel et Patrick arrivent à la convaincre de retirer son maillot.
    Tous les chibres sont sortis, ils sont énormes, longs épais, aux glands luisants, certains sont déjà dressés, bien érigés à l’horizontal ou touchant pratiquement le ventre, ils palpitent, menaçants, prêts à servir.
    Une fois les hommes installés au bord de la piscine, nous descendons dans l’eau, je me suis mise la première pour avoir l’honneur et le privilège de faire bander ces 2 jeunes mâles timides.

    Le premier qui va connaître ma bouche est Xavier. Je prends dans ma main sa bite et la relève pour glisser le gland emprisonné dans le prépuce entre mes lèvres.
    Je n’ai pas besoin de longtemps pour sentir grossir dans ma bouche son engin, je sers les lèvres pour repousser la peau couvrant son gland qui commence à être de belle taille.
    Sous ma fellation savante, une érection vitesse grand V fait grandir et grossir son sexe qui prend vite des proportions phénoménales.
    -Putain! Ton chibre est aussi gros que celui de mon mari, on va bien s’amuser les filles.

    Mais ça pousse derrière moi donc je passe au suivant, C’est le jeune Damien qui n’a pas quitté du regard ce que je faisais subir à Xavier et je constate l’effet que ça a eu sur sa queue.

    Il fait si jeune que ça me gêne un peu mais je jette aux orties mes dernières appréhensions et enfourne son épi en semi-érection.
    Il ne lui faut que quelques instants pour être au top, son pieu est aussi grand que celui de Xavier mais encore plus massif, j’ai la bouche déformée par un gland énorme. Que ça fait bizarre sur ce corps d’adolescent.

    Je continue mes découvertes pendant qu’Emilie me remplace sur le mât de Damien et que Martine s’occupe de celui de Xavier.

    Je suis en terre connue, la matraque qui se présente à moi est celle de mon mari Michel déjà au garde à vous, c’est la plus massive de toute et je crois la plus longue.

    Le suivant est Henri, un quinqua qui n’a rien à envier aux plus jeunes, je caresse une branche noueuse avec de grosses veines du même acabit que les jeunots ou presque.

    Enfin j’arrive au dernier mâle, Patrick, c’est peut-être le moins bien membré avec ses 22 cm mais je sais par expérience que ce sera lui qui tiendra le plus longtemps, c’est un vrai puits à foutre et il peut remettre le couvert indéfiniment.

    Ils sont tous montés comme des ânes et la vue de ces énormes chibres déclenchent chez les filles une frénésie de fellation, leurs bites sont si longues que nous pouvons toutes les branler de nos deux mains en dégustant leurs prunes violettes qui dépassent.
    Je continue à donner mes directives.
    -Bon maintenant que vous avez toutes votre poireau, la première qui le fait dégorger aura un bonus ainsi que le dernier mâle à cracher !

    Chacune s’active sur son pal, je m’occupe de Patrick, Emilie s’occupe d’Henri et a de la difficulté pour l’engloutir tellement son épi est gros, Martine s’échine sur le soc de Michel, Pierrette se retrouve avec le gourdin de Damien et la petite nouvelle prend pour la première fois en main une pine d’exception.
    Béatrice ne sait pas trop par quel bout attaquer le mandrin de Xavier. Elle regarde les autres filles se goinfrer de ces énormes verges et se lance pour essayer d’avaler le monstre qui se présente à ses lèvres.
    C’est la moins expérimentée mais elle apprend vite en regardant faire ses compagnes, ses mains courent sur la hampe épaisse pendant que sa bouche a absorbé le gland bombé, elle s’escrime quelques minutes et Xavier ne peut plus se retenir lui lâchant la purée, remplissant par surprise sa bouche. Paniquée, elle recrache tout par terre.

    Pierrette et Martine terminent deuxième ex æquo mais ne laissent pas une goutte se perdre avalant avec délice la divine liqueur.

    Emilie a plus de mal avec Henri, c’est un homme qui a connu énormément de femmes et il ne baisse pavillon qu’au bout de 10 minutes, déchargeant une quantité conséquente de sperme dans sa bouche. Continuant à se vider les couilles il se retire de ses lèvres et sa semence continue de jaillir sur son visage. Bon sang, que c’est beau !

    Comme je m’y attendais, c’est Patrick le plus résistant, cinq minutes passent encore sous les yeux de tous avant qu’il n’abdique sous mes caresses expertes et ma langue fureteuse.
    Ses mains se crispent sur mes épaules, je ne peux pas suffisamment reculer ma tête quand commence à jaillir ses giclées abondantes. Patrick envoie la sauce.
    Ma bouche est pleine et j'essaie de déglutir mais ne peux suivre le rythme, des filets de foutre coulent aux coins de mes lèvres. Il se retire enfin de ma bouche, son engin est toujours aussi gonflé.

    Après m’être un peu nettoyée, je reprends la parole.
    -Les deux gagnants sont Béatrice et Patrick. Ils vont devoir se prêter à nos caprices et se plier à nos demandes dans la mesure du réalisable. Je voudrais que Béatrice monte sur cette table basse et se penche pour mettre sa tête entre les jambes, toi Patrick, tu te mets derrière elle et tu t’occupes avec tes mains et ta bouche de ses deux trous pendant qu’elle te tête la pine !

    C’est assez acrobatique mais Béatrice et très souple et réussit à prendre entre ses lèvres le nœud de Patrick pendant qu’il enfonce sa langue dans la chatte offerte et la doigte, il vient de lui mettre l’index dans l’anus. Nous formons un demi-cercle autour d’eux et les mâles, excités par le spectacle, ont tôt fait de retrouver la forme.

    -Montre-nous de quoi tu es capable ! L’encourage Emilie.
    Patrick vient d’attraper Béatrice par les couettes et tire avec force sa tête l’obligeant à enfourner à chaque fois sa tige jusqu’au dernier centimètre quand il se projette dans sa bouche. Le gland s’enfonce au fond de sa gorge bouchant la trachée.
    Béatrice s’étouffe et quand il la laisse respirer en retirant son pal qui est couvert de la bave que Béatrice ne peut plus déglutir et qui s’étend en longs filaments blanchâtres.

    Elle est sur le point de s’évanouir de ce traitement quand il retire sa verge de la bouche de Béatrice et monte lui aussi sur la table basse.
    Il se positionne par derrière, frotte quelques instants son chibre entre les fesses de Béatrice puis sur sa vulve avant de la prendre cette fois-ci tout en douceur.
    Elle grimace un peu sous la pénétration, elle n’est pas habituée à un tel diamètre. Mais petit à petit, la queue disparaît dans sa chatte.
    Il la travaille un moment, en profitant toujours pour lui doigter le cul, enduisant ses doigts de sa salive avant de les introduire entre ses fesses.
    -Tiens-moi par les avant-bras et laisse toi aller ! Ordonne soudain Patrick.
    Elle lui obéit ne se doutant pas de ce qui va suivre. Il met les mains derrière ses cuisses, plie les jambes pour un meilleur équilibre et la soulève de ses bras robustes.
    Elle se retrouve empalé sur son engin, il la soulève et la fait redescendre jusqu’à ce que sa bite entre en entier dans son vagin.

    On voit qu’elle souffre un peu sous la poussée d’un tel soc dans son fourreau serré mais elle accepte avec courage l’intromission.
    Il la besogne avec douceur et le visage de Béatrice est plus détendue, au bout d’un moment on voit dans ses yeux qu’elle a atteint l’orgasme, elle gémit quand un flot de cyprine vient huiler le piston en mouvement dans son con.
    Patrick attendait cet instant pour avoir la queue bien enduite. Il la relève encore plus faisant ressortir son dard de la chatte trempée et présente son gland à la rosace serrée.
    Il baisse les bras et la gravité fait le reste. La verge d’une dureté d’acier plie quand même sous l’effort, le gland mafflu disparaît entre les fesses de Béatrice.
    Elle hurle de douleur, tous les muscles de son corps sont tétanisés, mais elle n’a aucune possibilité d’échapper à la sodomie.
    Lentement, très lentement, centimètre après centimètre, Béatrice sent glisser dans son colon cette incongruité, elle n’a jamais été enculée et pour sa première fois, ce qui est en train de la sodomiser est d’un diamètre peu commun.

    Patrick l’a emmanchée jusqu’au bout, ses bourses s’écrasent sur la chatte de Béatrice.
    Il attend un moment pour qu’elle s’habitue un peu et recommence à la soulever avant de nouveau la laisser se pénétrer de son formidable pal.
    Plusieurs fois il change de trou et à chaque fois qu’il déflore à nouveau son anus, l’introduction est plus aisée.
    Elle commence enfin à ressentir le plaisir et ses muscles se détendent quand soudain un orgasme la foudroie. Elle est comme une poupée de son se laissant complètement aller.
    Elle a l’impression que la verge comprimée dans ses intestins grossit encore quand un liquide chaud et abondant lui remplit les boyaux.
    Patrick vient de se vider en elle. Ils ne bougent plus. Il la repose enfin à terre et se retire d’elle. Elle serre les fesses et sous la contraction de ses muscles, un flot blanc s’échappe de son anus et coule le long de ses jambes.

    -Tu lui as mis la dose mon salaud ! S’écrie Emilie. J’espère que tu en as gardé en réserve !
    - A mon tour! Cette fois-ci c’est moi qui vais diriger la danse ! Patrick, Allonge-toi sur le matelas, je vais venir m’empaler sur ton manche !

    Il bande encore très fort. Cet homme a un os à la place du sexe ! Pensais-je. Il ne débande jamais !
    Il vient pourtant de jouir deux fois de suite et son manche est dressé vers le ciel, tel un arbre vigoureux. Il est tellement beau que j’en bave littéralement en le regardant!

    Le signal est donné et les couples se forment dans tous les coins pour copuler.
    La soirée avance et j’ai envie de connaître de plus près ces deux jeunots.
    Je prends Xavier et Damien par la queue et les attire dans un endroit plus isolé. Je me mets au milieu d’eux, le bassin relevé en position d’attente ! Une attente tellement délicieuse, et donne le top de départ.
    - Niquez-moi!
    Merveilleuse sensation que ces deux jeunots en rut qui prennent possession de mes deux trous avec leurs braquemarts et qui vont et viennent en même temps, s’entrechoquant et se frottant l’un contre l’autre, dans mon vagin et mon rectum séparés par moins d’un millimètre de chair intime, de nos trois corps soudés entre eux ! Je suis au comble du bonheur, sous cette double pénétration, mes deux trous distendus par deux manches peu communs.

    Xavier est devant moi poussant à chaque pénétration un han de bûcheron, Damien, m’a agrippée par les hanches et pousse son mandrin profondément dans mon cul, en ahanant lui aussi très fort. Ces deux pistons me liment mes parois intimes avec tant de force et de fureur que j’ai mes deux trous en feu
    Je suis dans un état second jusqu’au moment où le plaisir est si intense que je ne peux plus retenir l’orgasme qui se déclenche en moi, tel un volcan qui se réveille.
    J’hurle mon bonheur, et les supplie d’intensifier leurs coups de boutoir pour me procurer encore plus de plaisir.
    Mon cœur s’emballe et je perds presque connaissance, au paroxysme de ma jouissance.

    Chaque rencontre, chaque frottement devient insoutenable tellement mon vagin et mon rectum sont devenus hyper-sensibles. Je suis suspendu entre Xavier et Damien qui ont pris dans leurs mains mes genoux et mes chevilles. Je ne touche plus terre.
    Je suis la première à jouir, à produire des flots de cyprine et à m’écrouler, ballottant entre mes deux faunes.
    Damien me suit de près, jouissant en silence en éjaculant une quantité incroyable de sperme brûlant, épais et visqueux à l’intérieur de mon anus. Je sens le foutre ressortir et couler en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans mon cul.
    Je suis sur un petit nuage, je sens encore une fois le plaisir me saisir, mon vagin se contracte sur le chibre de Xavier, l’enserre, l’étrangle mais son piston impitoyable n’arrête pas son mouvement. Il s’acharne et me fait jouir une nouvelle fois quand je sens ses mouvements s’accélérer. Il me regarde dans les yeux, avec un air de défi. Je le supplie :
    - Gicle tout ton foutre, rempli-moi la chatte.

    Je sens sa verge donner de violents coups dans ma grotte en feu qu’il essaie d’éteindre en inondant mon vagin de sa semence chaude et épaisse.
    Quand enfin ils se désaccouplent de mon corps et me reposent au sol, le trop-plein s’échappe de mes deux trous, leurs spermes se rejoignent avant de tomber sur le sol ou une flaque se forme.

    La soirée se continue maintenant à l’intérieur, en maîtresse de cérémonie je reprends les rênes de la soirée et annonce ce qui va suivre.
    Pour finir en beauté cette soirée et pour que Béatrice rentre dans notre cercle, il faut lui faire passer le rite d’initiation, à vous Messieurs, Damien et Xavier, vous allez très vite comprendre !
    Aussitôt, tous les mâles laissent tomber leur partenaire et s’approchent de Béatrice qui est en train de faire du cheval sur la queue de Patrick couché sur la table basse.
    Michel vient se présenter devant sa bouche et lui présente son engin puis l’enfonce jusqu’au fond de la gorge et le ressort. Il recommence plusieurs fois, sous la poussée de son monstre, les yeux de Béatrice prête de l’apoplexie se remplissent de larmes.
    Quand il la sent sur le point de vomir. Michel ressort complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer et demande à Xavier de prendre sa place. Il se met à coté de lui et demande à Damien de faire de même de l’autre coté puis ordonne à Béatrice de les branler pendant que Xavier, la bite frétillante de désir monte à l’assaut de la bouche de la jeune fille avec moins de fureur que Michel.
    Henri n’est pas resté inactif et s’est placé derrière Béatrice toujours empalé sur le dard de Patrick pour la sodomiser.
    Pour la première fois de sa vie, elle connaît cette double pénétration et vu la taille des organes génitaux de ses partenaires, elle doit souffrir le martyr mais elle peut à peine se plaindre, la bouche pleine et ses deux minuscules mains en action sur ces phallus aussi imposants.

    Elle regarde ces hommes avec un pauvre rictus de chienne battue.
    Elle est résignée, soumise, attendant l’inéluctable.
    Nous, les filles jouons les mouches du coche, caressant un sein, léchant une bite, embrassant une bouche.
    Et c’est parti pour une tournante, chacun à leur tour, ils l’emmanchent, la bourrent, se font sucer ou branler, la défoncent, la possèdent de toutes les façons possibles avec leurs bites monstrueuses dans son ventre, dans son anus, dans sa bouche ou ses mains.
    Elle n’attend plus qu’ils jouissent en elle, qu’ils l’inondent de leur foutre pour que le supplice cesse, pour que cette frénésie de sexe prenne fin.
    Il y en a un qui gueule qu’il ne peut plus attendre, qu’il faut qu’il la fourre, sinon ça partira tout seul, lui tirant les cheveux pour amener sa queue devant son visage et lui ordonne de le sucer, s’enfonçant brusquement dans sa gorge grande ouverte comme s’il s’agissait d’un vagin.
    Il se retire tout de suite pendant qu’un autre la sodomise à son tour, elle n’a aucun répit.
    Ils la prennent, devant, derrière, ils la baisent, lui défoncent le cul, la bouche, ils entrent, ils sortent, ils abusent d’elle comme ils veulent. Elle est épuisée, haletante, comblée, épanouie, rassasiée, le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche ankylosée, le corps parcouru d’incessantes ondes de plaisirs.
    La scène dure une éternité, jusqu’au moment ou je vois tous les muscles de Xavier se raidir et pousser un énorme gémissement de plaisir quand elle lui fait une « gorge profonde ».
    Il éjacule à l’intérieur de la bouche de Béatrice, qui n’arrive pas à avaler tout le sperme qu’il fournit. Elle s’étouffe en essayant de reprendre sa respiration, le sperme, coincé dans sa trachée est aspiré et ressort par son nez.
    Il déverse tout le reste de sa semence sur son visage et ses cheveux pendant qu’elle tousse essayant de reprendre un peu d’air, le foutre chaud l'aveugle et se répand sur ses lèvres, ses joues et son nez.
    Sous ses caresses, les membres durcis de Damien et de Michel sont aussi prêts à donner leur obole et lui crachent littéralement une cascade de liquide chaud et blanc sur le visage complètement noyé sous les décharges toutes aussi généreuses.

    Henri l’encule en de grandes poussées, elle prend toute la longueur de sa formidable verge dans le rectum, je n’ose imaginer jusqu’où il s’enfonce, l’anus de Béatrice est totalement dilaté, elle est prise en sandwich par ses deux hommes, Henri synchronise ses mouvements sur ceux de Patrick qui lui ramone le con depuis le début sans discontinuer.
    Comment fait-il pour tenir si longtemps ? Il va bien jouir à un moment, lui aussi… Mais non, sans mollir, sa bite continue inlassablement sa course dans son vagin.

    Mon esprit chavire quand je vois de l’extérieur ces deux mâles qui la possèdent si profondément, cette double pénétration lui procure un orgasme démentiel, elle gueule sous l’enculage doublé du baisage qui touchent des zones inviolées avant ce jour, c’est si incroyablement bon que ses orgasmes se succèdent.
    Henri se retire de son anus et une giclée épaisse lui asperge tout le dos suivie d’autres aussi copieuses.
    Patrick est maintenant seul avec Béatrice, il se redresse serrant contre son torse musclé la poitrine de Béatrice. Toujours en elle, il se lève et la pose sur la table basse en continuant de la troncher.
    Il prend les pieds de Béatrice et les pose sur ses épaules, lui dit d’attraper ses chevilles avec ses mains. Je sens que Patrick va nous faire une figure assez acrobatique.
    Il glisse ses bras dans le dos de Béatrice, réunit ses mains au niveau des hanches et la soulève d’un « han » sonore.
    Béatrice est complètement lovée entre ses bras et son torse, pliée en deux. Il met les mains sous ses fesses et décolle le corps de la jeune fille puis la laisse retomber. La gravité fait le reste et son corps guidé par l’axe d’acier, vient claquer sur celui de Patrick pendant plusieurs minutes.
    Mais même lui doit à un moment rendre les armes.
    Il la soulève une fois de plus jusqu’à ce que le gland charnu sorte de la vulve et que sa verge, libérée, se redresse brusquement entre eux.
    Et le miracle recommence comme chaque fois avec lui, des jets d’une puissance folle s’élèvent et maculent la poitrine de Béatrice, son sperme éjecté avec violence frappe sous le menton de l’ado et explose dans toutes les directions.
    Quand il a finit de jouir, il la repose au sol en la soutenant tellement elle est HS.
    La douche ne sera pas de trop, les cinq étalons l’ont recouverte d’une couche de semence abondante et poisseuse à souhait.

    Elle se souviendra longtemps du rituel d’intronisation dans notre cercle un peu spécial.
    Et son corps aussi vu son état d’épuisement.

    Une bonne soirée comme on les aime, et dont rêve bien des gens.

    Rêve…., fantasme….., réalité ????????????

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  • Je ne sais pas ce que je suis, ni ce que j’étais exactement à l’époque. J’aurais peut-être dû voir un psychologue ou un psychiatre… mais en soi ça ne me gênait guère (et ça me gène encore moins maintenant). J’ai une mémoire phénoménale, une absence quasi totale d’empathie, une facilité au mensonge et à la manipulation, je n’ai aucune envie, je n’éprouve aucun plaisir au sexe, aux drogues, à la cigarette et pourtant je ne fais que ça, je trouve que ça passe le temps, surtout à l’époque.

    Arrivé au lycée j’étais encore vierge et contrairement à mes petits camarades, le fait de le rester ne me gênait guère. Cependant, après ma première fois, j’avais la constante envie de recommencer même si je n’éprouvais aucun « plaisir ». Cette envie, je l’ai baptisée (par humour), le Démon. C’est le Démon qui me faisait mentir pour arriver à mes fins, c’est le Démon qui me faisait manipuler certaines personnes, c’est le Démon qui me donnait l’irrépressible envie de sexe.

    Évidemment ce Démon n’existe pas, je ne suis pas fou. Mais quand j’ai mauvaise conscience il me sert d’excuse. Et à l’époque, il me servait souvent d’excuse…



    Le jour de la rentrée, ce n’est pas vraiment un hit actuel. On dit souvent que le passage du collège au lycée est difficile mais moi ça m’importe peu, je quitte mes amis mais ils ne sont qu’à l’autre bout de la ville, ce n’est pas la mort (d’ailleurs ils ne vont pas vraiment me manquer).

    Après tout, je n’ai jamais été un grand sentimental. Enfin… presque, Garance est partie à l’étranger, au Luxembourg, elle veut garder contact mais je sais très bien que c’est elle qui le rompra… je voulais lui faire plaisir donc j’ai dit oui. Après tout, c’était ma meilleure amie « et plus si affinité ».

    Bref, nouveau lycée. Mon meilleur ami, Arthur, est là aussi, on cherche nos noms sur les listes… il n’est pas dans ma classe. Je scrute les noms de ma classe, je retiens facilement les noms, mais là, la seule personne que je reconnais c’est mon ex… le hasard fait mal les choses parfois.

    La sonnette retentit. Je vais dans le rang de mes futurs camarades de classe. Un jeune homme devant moi se retourne… David ! J’avais fait un stage dans un magasin de musique avec lui mais je ne connaissais pas son nom de famille. J’entame une futile conversation mais le professeur principal arrive et nous interrompt.

    Première présentation, grosse classe (trente-quatre élèves) non-équilibrée puisqu’il n’y a que huit garçons. Nous visitons le lycée mais comme le professeur est nouveau, on se perd. On enchaine avec deux heures de maths et du français, quel ennui total. La journée se termine assez rapidement, je n’ai parlé à personne mis à part David (un très bon guitariste si mes souvenirs sont exacts) et un autre garçon que j’ai connu au conservatoire quelques années auparavant.

    Le soir venu, j’échange quelques SMS avec des amis que j’ai connu au collège… ils font une soirée pour « fêter » la rentrée à laquelle je suis convié. Je n’ai pas vraiment envie de les revoir mais j’accepte. Comme à son habitude Garance m’appelle (comme ça elle paye la communication) et me raconte sa vie, sa rentrée, etc.

    Le lendemain, nous commençons par une matinée scientifique : sciences physiques, chimie et biologie et n’ayant pas trop prêté attention à la visite, je ne trouve pas le laboratoire. Avec David nous tournons donc dans les couloirs du bâtiments dédiés aux sciences dans l’espoir que quelqu’un de notre classe nous reconnaissance… et ce fut le cas. Une jeune fille rousse s’approche de moi. Comme à mon habitude, je l’analyse de la tête aux pieds : souriante, taille moyenne, teinture aux cheveux réussie, baskets à la mode, tenant dans sa main un chapeau à la mode, portant un manteau à la mode, vrai sac à main de marque, chemisier blanc cassé quelconque, plutôt jolie mais terriblement banale.

    Premier cours de sciences physiques, je me retrouve à côté de cette fille, je ne lui adresse pas un mot de l’heure. Le professeur est passionnant et passionné (et drôle). Pour une expérience il fouille dans ma trousse et se rend compte que tout est neuf, au point qu’il y a encore un filme plastique sur ma gomme, ça me fait rire. La salle et le professeur reste les mêmes pour le cours de chimie, je n’ai toujours pas parlé à cette fille.

    A midi, je mange en ville avec Arthur. Puis l’après-midi, cours de langues (allemand et anglais). Entre les deux cours, alors que je discute avec David, deux jeunes gens de notre classe nous abordent. Un grand type (pour moi qui était petit), d’origine maghrébine, musculature assez développée, cheveux courts mal coiffés, portant un polo de marque, un jeans serré et des baskets à la mode et une petite, également d’origine maghrébine, longs cheveux ondulés, pull rouge, jupe, collant, baskets. Ils se présentent, Yassine et Sirine, à ce moment je me dis que soit ils sont en couple, soit ils se connaissent depuis très longtemps. Arrive aussi dans la discussion la fille de ce matin, Sophie.

    Le soir, je rentre, j’écoute quelques chansons de Bowie et je vais me coucher, en attendant le week-end et la soirée où je pourrais retrouver mes anciens camarades de classe.

    Les jours passent et se ressemblent. Je traine beaucoup avec David, Yassine et Sophie au point d’oublier la présence de mon ex dans la classe. Comme toujours à l’époque nous parlons beaucoup de sexe, légèrement, avec humour.

    Enfin le samedi. Le samedi après-midi tout du moins puisque j’ai cours le matin. La soirée se passe chez une amie, Mathilde. Je ne bois pas d’alcool, je n’aime pas la musique actuelle mais j’y vais quand même, histoire de me changer les idées.Petite maison de campagne isolée, la musique… enfin ce brouhaha électronique ne devrait gêner personne. Léa m’ouvre la porte, je ne pensais pas la croiser ici, elle qui est si sérieuse. Il y a déjà du monde mais à en juger par l’odeur, ou devrais-je dire la non-odeur, l’alcool ne coule pas encore à flot.

    Bises, mains tendues, je fais le tour de tout ce beau monde que j’avais déjà en partie oublié. Je croise Emma, mon ex, Marianne, mon ex, mais où est Garance, on m’a dit qu’elle serait là. Je ne le trouve pas mais au moins je suis tombé sur Arthur, un peu par hasard. Un verre enfin… un gobelet de bière à la main, une clope entre les lèvres. Evidemment je lui demande s’il a vu Garance mais avec cette putain de musique de merde il n’entend pas alors je suis obligé de hurler. Si je trouve celui-ci qui s’occupe de la musique, je l’étripe.

    Comme par hasard, c’est Soren qui s’occupe de la musique. Si je ne m’abuse il est parti dans un lycée professionnel paumé en pleine campagne, je ne sais pas ce qu’il fait ici.

    « - Hey, Vic’, ça fait un bail ! Dit-il sur un ton jovial.
    - Depuis un peu plus de deux mois.
    - Alors, la rentrée ? Les meufs sont comment ?
    - Et toi ? Dis-je pour ne pas répondre à sa question stupide.
    - Moi j’ai acheté mon matos... trois cents euros de matériel pour le dessin.
    - Tu as vu Garance ?
    - En plus je devrais sûrement dépenser un peu plus d’argent au cours de l’année quoi et…
    - Tu dessines comme une merde, Soren. Bon, tu n’es pas intéressant, je te laisse.
    - A plus mec. »

    Je ne sais pas pourquoi jamais personne ne prend mes paroles au sérieux. Je fends la foule pour trouver Garance, je n’aime pas ne pas la voir dans des endroits où je devrais la voir. On me dit qu’elle discute avec Marianne, d’autre la l’on vue sur le balcon avec un mec, mais moi je sens bien qu’en fait, elle n’est tout simplement pas là.
    Je me pose sur un canapé, une bouteille de coca (en verre) dans la main, une clope au bec. J’envisage de mettre mes écouteurs pour ne plus entendre cette pseudo-musique pour adolescents attardés mais Arthur vient s’asseoir à côté de moi.

    « - Je suis parti en Allemagne pendant les vacances.
    - Je sais, tu n’as pas vu Garance ?
    - Tu vas me le demander dès qu’on va se croiser ?
    - Sûrement.
    - Je disais donc… j’ai lu Sur la route de John Kerouac et…
    - Jack.
    - Tu veux du Jack ? S’exclama Arthur.
    - Je ne bois pas. C’est Jack Kerouac.
    - Bref. Je me disais, parfois j’aimerais tout quitter et voyager.
    - Oui, mais tu ne le feras pas. Tu iras dans ton jardin tout au mieux. »

    Je me lève. Je vois Garance parler avec Mathilde. Je me dirige vers elles, laissant Arthur sur le canapé. Elle est si belle, si inaccessible. Je devrais peut-être lui dire ce soir, peut-être lui dire que ce n’est pas que de l’amitié.

    « - Garance.
    - Vic’ ! Je te cherchais partout, je suis venue en coup de vent pour tous vous saluer avant de repartir !
    - Tu ne restes pas ?
    - Je ne peux pas…
    - On peut se parler ?
    - Bonsoir Victor.
    - Oui oui, ‘soir Mathilde. Viens sur le balcon Garance, s’il-te-plaît. »

    Nous traversons la pièce jusqu’au balcon. Il n’y a personne à part deux fumeurs trop alcoolisés pour nous voir. Nous sommes là, quelques mètres au-dessus du sol. Mécaniquement j’allume une clope mais elle me la prend des doigts et la jette. Elle ne veut pas que je fume.

    « - Ca ce passe bien au Luxembourg ?
    - Victor… ça fait à peine trois semaines que j’ai déménagé.
    - Et alors ? Qu’est-ce que ça change.
    - Oui ça va, tu voulais me dire quoi d’autre ? Répondit-elle rapidement.
    - Je t’aime. »

    Le temps s’est figé. Pourquoi ai-je été si direct ? Je n’en sais rien. Il n’y a pas beaucoup d’issues possibles. Je la regarde, peut-être une dernière fois avant de la perdre. Je me perds dans le bleu de ses yeux, je m’attarde sur sa peau porcelaine.

    Elle ne répond pas. Je la sens crispée. Alors je regagne l’intérieur. Je prends une clope. Je la porte à mes lèvres quand une tape l’a fait s’envoler à travers la pièce. Garance m’embrasse. J’aimerais que cela dure une éternité ou deux. Lorsque ses lèvres qui les miennes, nous nous regardons fixement.

    « - Tu sais combien elles me coûtent au moins ?
    - Victor… tais-toi. Je vais partir.
    - Je sais.
    - On se reverra bientôt.
    - Oui. »

    Elle se dirige vers Mathilde et me laisse sans se retourner. Elle me manque déjà. Je mets mes écouteurs et lance une chanson au hasard.

    « … »

    Je sens quelque chose s’éveiller en moi. Une envie irrépressible d’assouvir un besoin primaire. Garance est partie… mon regard se pose sur Mathilde. Un mètre quatre-vingts, svelte, formes plutôt généreuses et relativement peu farouche d’après certaines rumeurs. Mais je crois qu’elle est en couple.

    Mais pourquoi je pense à ça ? Depuis ai-je ce genre d’envie ? Je détourne mon regard. Marianne, ressemble beaucoup à Garance, peau plus claire, yeux plus bleus, sportive. Non… je sors une clope, je l’allume, je fume. Emma, grande, peau matte, danseuse, petite poitrine, jolies fesses. Mais je dois arrêter. Je vaux mieux que ça putain.

    Je vois Mathilde embrasser un garçon. Je ne le connais pas. Grand black, allure sportive, bien habillé pour ce genre de soirée, sûrement gentil.

    « - Enguerrand ?
    - Vic’ ? Je ne t’avais même pas vu !
    - Ca va ?
    - Pépère.
    - C’est qui le mec à Mathilde ?
    - Ah, c’est Désiré. Il est dans ma classe cette année, c’est un nouveau. Il fait du basket en club. »

    J’ai beau cherché intérieurement dans tout mon cercle de connaissances je n’ai aucune information sur lui. Ca m’énerve, bordel je connais tout le monde normalement alors pourquoi pas ce fils de pute ? C’est exaspérant.

    « - Au fait pourquoi ?
    - C’est toi qui aimes bien les rousses ? J’ai quelqu’un à te présenter.
    - Mais je n’aime pas les…
    - On se s’appelle. »

    Mathilde a lâché son copain. Je m’approche, pour entamer une conversation. Je sais ce qu’elle aime et ce qu’elle n’aime pas, je peux facilement trouver un sujet. Jusque ici, tout va bien.

    « - Mathilde, comment va ton frère ?
    - J.B ? Il fait ses études en Belgique, il doit passer bientôt.
    - Intéressant tout ça. Je me souviens de lui il était gentil.
    - Vous vous êtes déjà parlés ?
    - Il joue de la guitare, son groupe préféré est Téléphone, son meilleur ami s’appelle Théo, il est roux, il fait ses études près de Nîmes.
    - Je…
    - Alors, ça baise ? Fit une voix derrière moi.
    - Soren. Que me veux-tu, encore ?
    - Je t’ai vu avec Garance, elle n’est pas mal. Je l’ai envisagée, disons qu’elle est « motocultable » !
    - Ahah. Soren, Soren… »

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  • - Ooooh… comme tu es beau mon fils !

    Ma mère me déposa sur la joue un baiser mouillé de larmes de joie, elle qui laissait si rarement transparaître ses émotions, j’étais surpris !

    - Je n’arrive toujours pas à réaliser que tu es sur le point de te marier, renifla ma mère en ajustant mon nœud papillon et balayant de la main une particule sur mon costume noir. Ah ! Toi, mon bébé, mon petit Weston…

    Je saisis sa main gantée de mauve et la retira sèchement. A vrai dire, cette union de mes deux m’agaçait au plus haut point.

    - Allons, maman, nous savons tous deux que c’est vous et vous seule qui avez organisé ce mariage.

    En effet, je n’avais pas choisi d’épouser Celestina Hemsworthly, fille du cousin de l’oncle à la sœur du neveu de sa Majesté la reine d’Angleterre Elizabeth II. Faire partie de l’aristocratie anglaise avait ses avantages –dont le fric en abondance, vous l’aurez deviné- mais aussi ses inconvénients. Les mariages arrangés par exemple. Et aujourd’hui, c’était à moi de passer sur le grill. J’allais épouser une femme que je n’appréciais même pas devant des centaines de personnes pour la plupart hautes placées, dans l’un des plus prestigieux hôtels londoniens : le London Hilton sur Park Lane. Le prêtre allait se déplacer spécialement pour nous.
    Contrairement à ma chère mère, je n’aimais pas Celestina. Cette blonde avait beau être sacrément bonne à regarder, niveau mental ce n’était pas folichon. Non, ma future femme était aussi froide et frigide qu’une bonne grosse tonne de glace.

    Nous n’avions encore jamais baisé, car elle avait fait vœu de chasteté jusqu’au mariage auprès de notre grand Seigneur, mais moi, je n’avais pas perdu mon temps. Depuis mes quinze ans -soit il y a dix ans- je me tapais tout ce qui correspondait de près ou de loin à mes critères physiques. C’était un besoin. Je n’avais pas trop de mal à faire entrer les femmes dans mon lit : bien foutu et bien monté, riche et le regard bleu charmeur, il n’en fallait pas plus pour faire tomber en pamoison les petites anglaises. Ma famille, et surtout ma mère, ignorait tout de mes parties de jambes en l’air presque quotidiennes avec des inconnues. Pour eux, j’étais Weston l’enfant sage qui, bien qu’un peu coureur, touchait avec les yeux, histoire de ne pas dégrader la réputation des Dersterb. S’ils savaient à quel point ils se trompaient, ils feraient un infarctus dans la seconde.

    Quoi qu’il en soit, la famille Dersterb avait quelques soucis financiers depuis la mort de mon père il y a deux ans, dans le genre gros trou incomblable au porte-monnaie, et c’est pourquoi ma mère avait décidé de marier son fils unique à la fille d’une des familles les plus blindées du Royaume-Uni. En fait, pour vous résumer un peu les choses et en y réfléchissant bien, toute ma vie était rythmée par l’argent. Et le sexe.

    - Celestina est une très belle femme, Weston, me réprimanda maman d’un ton sévère en ajustant son chapeau lui aussi mauve et plus qu’extravagant. Tu devrais me remercier d’avoir réussi à la faire tomber dans tes bras. Elle s’est conservée pour toi et tu as fait de même pour elle, comment rêver d’une union plus pure que celle-ci ?

    Pure, pure… Allez dire ça à ma queue déjà bien expérimentée. D’ailleurs en parlant de queue, celle-ci me démangeait depuis quelques heures. Avec tous ces stupides préparatifs de mariage, le temps s’était comme accéléré et je n’avais pas eu l’occasion de tremper mon biscuit depuis plusieurs jours. Et c’était dur à supporter pour le libertin que j’étais, et que j’aurai voulu rester encore longtemps après mes vingt-cinq ans.

    Je me détournai et m’approchai du miroir, avant de lever le menton pour ajuster moi-même mon nœud papillon. Putain, qu’est-ce que j’étais classe ! Plus que d’habitude en tout cas. Mais cette petite salle dans laquelle devait se préparer le marié devenait soudain trop petite pour ma mère et moi, comme si rien que l’idée de me lier pour l’éternité à Celestina m’étouffait déjà.

    - Je n’ai pas envie de me marier à cette femme. Il existe d’autres moyens pour regagner l’argent que nous avons perdu, je ne vois vraiment pas l’intérêt de…

    - Weston ! m’interrompit ma mère en claquant sévèrement dans ses mains. Nous en avons déjà discuté maintes et maintes fois !

    Elle baissa un peu le ton, comme si elle avait peur qu’on nous entende à travers les murs clairs ornementés de multiples dorures.

    - Cette union est l’alternative la plus simple pour ta famille, tu le sais ! Je suis lasse de te le répéter, mon cher Robert aurait compris lui…

    Robert, alias mon père, alias l’homme qui fait s’humidifier théâtralement les yeux de ma mère à chaque fois qu’elle prononce son nom.

    Je lâchai un long soupir en écoutant d’une seule oreille maman me répéter pour la centième fois pourquoi c’était un devoir pour moi d’épouser madame-la-chatte-en-glaçon. Au bout de cinq minutes d’un discours que je connaissais déjà sur le bout des doigts, je jetai un coup d’œil à ma montre Hermès et l’interrompis.

    - Plus qu’une petite trentaine de minutes avant la cérémonie, et je tiens à me montrer souriant et détendu pour celle qui partagera le reste de ma vie. Si vous pouviez…

    Je balayai l’air de la main.

    - Vous savez, me laisser seul pendant les prochaines minutes. Ce sera certainement la dernière fois que j’en aurai l’occasion avant ma mort d’ailleurs.

    Ma mère me lança un regard mécontent, visiblement agacée par le sarcasme dont je faisais preuve. Au bout de quelques secondes de fixation intense, elle acquiesça en pinçant les lèvres.

    - Très bien, Weston. Mais je te préviens, si tu essayes, ne serait-ce que passer les portes de cet hôtel…

    - N’ayez crainte, maman, j’ai trop d’estime de moi pour fuir comme une jeune pucelle flippée.

    Là au moins, ma mère me crû sans hésiter. Elle s’exécuta et me laissa seul avec mes pensées maussades dans la petite pièce. J’étais déjà habillé et coiffé pour la cérémonie, ne restait plus qu’à profiter de mes derniers instants en solo.

    Je me dirigeai vers un petit guéridon en marbre à trois pieds, et sortis un gros cigare d’une boîte qui y était posée, délicate attention du Hilton. Je l’allumai et tirai une longue bouffée en fermant les yeux. Putain, ouais !

    Je me laissai tomber sur un gros fauteuil style dix-septième siècle, et croisai les jambes en m’affalant contre le haut dossier, en continuant de tirer sur mon cigare. Les bruits du couloir me parvenaient : voix, pas précipités, etc… On s’agitait visiblement dans l’hôtel pour mon mariage. Une belle chiasse cette merde.

    Bien sûr, j’avais l’attention de tromper Celestina à tour de bras, mais mes rapports sexuels -si importants pour mon bien-être- allaient être encore plus difficiles à cacher qu’ils ne l’étaient déjà. Et si elle se mettait à vouloir des gosses ? Bordel, l’angoisse. Je n’étais pas prêt, mais surtout je n’avais aucune envie de fonder une famille. Encore moins sur des bases aussi fragiles qu’allaient l’être celles entre Celestina et moi.

    Je passai une main nerveuse dans mes cheveux gominés et coiffés en arrière. J’étais jeune, merde ! Trop jeune et gâté par la vie pour m’enfermer dès maintenant dans un mariage d’intérêt ! La preuve, il y avait tellement de chattes prêtes à m’accueillir ici dans l’hôtel. Je l’avais vu dans le regard des femmes que je croisais ce matin en arrivant au Hilton. J’étais désiré par elles, et certaines valaient vraiment le détour. Les demoiselles d’honneur par exemple. Je me mis à les imaginer en train de se déshabiller pour revêtir leurs robes moulantes couleur lila dans les vestiaires quelques étages plus bas, tout près de la salle de cérémonie… Les fourreaux étroits qu’elles enfilaient devaient épouser la moindre de leurs courbes aguicheuses, collant à leurs seins rebondis sans soutien-gorge et à leurs fesses fermes.

    Je baissai les yeux vers mon pantalon, pour découvrir sans surprise que je bandais comme un tôlard. Mon sexe en érection formait une énorme bosse entre mes jambes, et je posai la main dessus. Bordel, j’étais dur comme du bois à quelques dizaines de minutes de mon mariage, à fantasmer sur les belles salopes qui allaient y assister.

    J’avais beau être contre cette union, je n’allais quand même pas me présenter devant la foule avec une gaule pareille. Aussi, j’écrasai mon cigare dans le cendrier d’une main tandis que de l’autre, je dé-zippais ma braguette et sortais ma bite de mon pantalon devenu trop serré. Elle était déjà décalottée, et si gonflée que je pouvais aisément observer les veines palpiter sous la peau écarlate.

    Je la saisi à la base et la secouai un peu en lâchant un soufflement sonore. Putain, elle et mes couilles étaient devenues douloureuses. Je le mis à monter et descendre dessus, en m’attardant toujours un peu plus sur le gland ultra-sensible. J’imaginai sur le sol devant moi le corps nu et bien épilé d’une petite déesse de demoiselle d’honneur, bien offerte à moi, les jambes écartées de part et d’autre de sa chatte dégoulinante de cyprine. Oui, c’est exactement ce qu’il me fallait, un endroit bien agréable comme celui-là à ravager à coups de rein avides.

    Tout à coup, je me levai et rentrai mon sexe dans mon pantalon. A quoi bon imaginer ce spectacle de petite chienne nue quand on pouvait l’avoir quelques étages plus bas ? Ce n’est pas parce que l’on ne pouvait plus toucher qu’on allait se priver de regarder ! Je décidai de rejoindre le vestiaire des demoiselles d’honneur et sortis de la pièce en courant, la bite en feu.

    Une fois dans le couloir qui grouillait de monde, je baissai la tête pour qu’on ne reconnaisse pas le marié qui s’échappait, et rasai les murs jusqu’à la porte débouchant sur les escaliers de service. Prendre l’ascenseur était trop risqué, même si je ne connaissais pas la plupart des invités dans cet hôtel, eux avait bien vu les multiples photos géantes de Celestina et de moi qui ornaient les murs du bâtiment.

    Heureusement, la cage d’escalier était déserte, et je rejoignis le rez-de-chaussée en moins de temps qu’il n’en faut à une chaudasse pour avaler une queue. Une fois en bas, je passai en vitesse devant les grandes portes de la salle de cérémonie. Elles étaient entrouvertes, et je pus apercevoir la multitude de chaise -encore vides- qui me tournaient le dos, de part et d’autre du tapis rouge menant à une gigantesque estrade pour l’instant dissimulée derrière un grand rideau blanc.

    Je tournai à gauche en prenant toujours soin que l’on ne me reconnaisse pas, et me retrouvai pile devant les portes des vestiaires. Le sexe palpitant, je poussai celle des femmes et y entrai le plus discrètement possible avant de refermer la porte. Je me retrouvai dans une sorte d’antichambre vide de monde, mais des voix féminines me parvinrent de la pièce d’à côté.

    Je glissai tant bien que mal mon grand corps derrière un porte-manteau, et observai à travers les vestes. Trois rangées de casiers imposants remplissaient l’espace, et entre eux, au moins six femmes s’affairaient. Ça n’était en fait pas exclusivement des vestiaires pour demoiselles d’honneur, il y avait aussi des femmes plus âgées. La plupart étaient déjà changées et rangeaient simplement leurs affaires en s’apprêtant à quitter la salle, tandis que d’autres étaient en train de se déshabiller. Il y avait de petits box pour qu’elles aient un peu d’intimité –après tout, il s’agissait de femmes importantes !- mais ils étaient pleins et certaines décidaient de se déshabiller devant tout le monde. Sans surprise, cela ne concernait que les jeunes femmes, à mon plus grand plaisir.

    Lorsque les femmes se mirent à quitter la pièce, je retins ma respiration en priant pour que l’on ne me surprenne pas. J’étais vraiment juste à côté de la sortie. Mais on ne me vit pas et le luxueux vestiaire se vida presque entièrement. Lorsque la voie fut libre, j’écartai à nouveau les vestes pour observer. Seules trois femmes demeuraient dans la salle.

    Mes yeux s’attardèrent sur l’une d’entre elle. La plus jeune d’au moins trente ans, une superbe brune dans la vingtaine qui venait juste de quitter son soutien-gorge en satin rouge, pour révéler à ma vue une grosse poitrine à l’apparence délicieusement ferme. Ne pouvant résister à la tentation, je ressortis ma queue et frottai mon gland avide de caresses dans la fourrure d’un manteau apparemment hors de prix. Putain, cette saloparde brunette ne rendait encore plus dur, et je dus sortir aussi mes bourses de mon fut pour ne pas crier de douleur à cause la pression qui s’était accumulée.

    La brune se pencha pour ramasser ses chaussures pour les ranger, et j’eus une vue magnifique sur le string qu’elle portait et qui lui rentrait quasiment dans la chatte. J’avais envie de lui la lécher jusqu’à ce qu’elle hurle, de la faire mouiller à noyer ma queue dedans.

    Je frottai plus intensément ma bite gonflée à l’extrême dans le manteau, et le décrochai même en silence pour l’enrouler autour de mon sexe et me branler avec. La femme à qui il appartenait allait avoir une petite surprise en venant le récupérer à la fin de la cérémonie… Je reportai de nouveau mon attention sur ma salope. Hum… la voilà qui se passait une crème sur le corps avant de revêtir sa robe.

    Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle pivota vers moi et je pus la voir en passer langoureusement sur son ventre plat et ses gros seins. Elle les prit en main, les malaxa, les tritura, et je faillis jouir devant ce spectacle. L’air le plus innocent du monde qu’elle abordait me donna envie de l’empaler sur toute ma longueur sur-le-champ en la regardant hurler de plaisir, victorieux.

    Lorsque l’une des trois femmes restantes quitta la pièce, je décidai de quitter ma cachette pour passer à l’action. Je n’avais pas réellement prévu de baiser à quelques minutes de mon mariage, mais mes instincts prirent le dessus, et je m’élançai entre la première et deuxième rangée de casiers. Le fait que la femme plus âgée se trouve de l’autre côté et ne puisse pas voir cette partie de la salle, me donna de l’audace.

    La brune, qui me tournait toujours le dos, ne me vit pas arriver et je me plaquai dans son dos en écrasant une main sur sa bouche pour l’empêcher de cri, tandis que l’autre venait emprisonner ses bras. Ma queue, raide comme jamais à cause de l’excitation et de l’adrénaline, lui rentra dans la raie des fesses et je me délectai de la pression soudaine de ces deux globes rebondis sur mon sexe.
    La jeune femme se débattit mais j’étais plus grand et fort, alors je la forçai à rester immobile et silencieuse entre mes bras. Attendant qu’elle se calme un peu ou s’épuise, j’entrepris de faire coulisser ma queue contre son cul, et lâchai un soupir sonore. C’était vraiment trop doux, délicieux.

    Je me penchai et chuchotai à l’oreille de la fille qui me faisait bander si fort :

    - Vois comme le futur marié à envie de te baiser, petite salope. Sens comme tu appelles ma bite, comme elle vibre pour toi !

    Ma main qui enserrait ses bras se déplaça et je saisis un de ses seins lourds dans ma main. Elle était grande, et pourtant je ne parvins pas à faire entrer son nichon dedans en entier. Il débordait de tous les côtés ! Je lui pinçais les tétons, tandis qu’elle forçait encore pour se libérer, et c’eut pour effet de la faire reculer brusquement contre moi. Si elle n’avait encore ce string ridicule, elle se serait empalée involontairement directement ! Je le lui arrachai sans plus de cérémonie.

    J’entendis l’autre femme fermer son casier et la vis se diriger vers la sortie. Merde ! La jeune bandante et moi étions juste dans son dos, si elle décidait de se retourner maintenant... Je mis toutes mes forces à empêcher la brune de nous trahir au dernier moment, et la femme sortit finalement sans nous voir. Je me détendis aussitôt que la porte claqua.

    Je ne pris plus la peine de chuchoter :

    - Laisse-moi t’expliquer la situation, ma jolie. J’ai vraiment, mais alors vraiment envie d’être en toi là, de labourer ton intérieur tout chaud, et j’aurai vraiment de la peine à supporter la cérémonie si je ne te ramonais pas comme une chienne maintenant. Le truc, c’est que j’aime que mes partenaires de baise soient consentantes, alors laisse-moi te convaincre que j’en vaux la peine !

    Je lui mordis le cou et lui tirai les tétons. Ces derniers se dressèrent en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire et devinrent durs comme la pierre. Wouha ! Elle était vraiment réceptive, cette salope-là.

    Je lâchai sa bouche et plaquai ma main contre son intimité à travers la culotte. Bordel, elle était dans le même état d’excitation au sud, rien que le tissu me collait aux doigts tant sa chatte débordait de jus.

    Profitant de ma déconcentration, la brune me donna un coup de coude dans l’abdomen qui me coupa le souffle, et fit volte-face. L’air furieux et totalement dénué de peur sur son visage me surpris, et m’appris par la même occasion qu’elle était bien plus pute qu’elle ne semblait l’être au premier regard.

    - Vous êtes le marié ?

    Je tentai de reprendre mon souffle, tandis que mes yeux louchaient sur ses lourdes mamelles :

    - Pas encore…

    Je me redressai et elle rougit un peu, je compris que mon physique l’impressionnait. Le sien me rendait fou, alors autant rentabiliser la chose. Je me demandai comment tourner mes phrases pour l’amadouer et la convaincre de se laisser sauter.

    - Désolé de t’avoir sauté dessus comme un animal…, je commençai.

    En fait, je ne l’étais pas du tout et j’avais même envie de le refaire tout de suite. A ma grande surprise elle s’approcha sans me laisser le temps de bavasser davantage et me saisis la queue sans que je réagisse. Putain ! C’était plus facile que je ne l’avais pensé. Sa main était petite par rapport à mon sexe, mais incroyablement chaude.

    - Je crois que cette situation m’excite vraiment…, avoua-t-elle en rougissant encore.

    Ses doigts serrèrent ma bite et son autre main se mit à malaxer mes bourses pleines à craquer. Je plantai mes poings sur mes hanches couvertes du smoking en me courbant en arrière pour m’empêcher de crier.

    - J’ai toujours détesté cette connasse de Celestina, chuchota-t-elle comme pour elle-même.

    Puis elle planta farouchement ses yeux noisette dans les miens.

    - Ne croyez pas que j’ai l’habitude de toucher ainsi n’importe qui, hein ? C’est juste pour me venger, et vous et votre bite êtes si… attirants.

    - Ma salope, tant que tu me pompes comme une diablesse, tu peux être n’importe qui et faire n’importe quoi, je m’en bats les couilles !

    Sur ces mots, je lui appuyai sur les épaules pour qu’elle s’agenouille et enfonçai brutalement ma verge rigide dans sa bouche de suceuse jusqu’à la garde. La brunette toussa et sa gorge se contracta sur ma queue, mais je tins fermement son visage plaqué à mon pubis. Cette chienne voulait se venger de Celestina ? Elle n’allait pas le faire sans souffrir.

    Sans prévenir, je me mis à lui bourriner la bouche comme un taré, attrapant par poignées ses cheveux, faisant claquer mes testicules contre son menton. Puis je crachai entre nous deux sur ma bite, et la poussai à me manger encore, histoire qu’elle avale ma salive en plus du liquide qui commençait à s’échapper de mon gland douloureux. J’étais vraiment gonflé à bloc, comme jamais.

    Quand ma chienne d’avaleuse leva les yeux vers moi et me lança le regard le plus provoquant qu’on m’ait jamais envoyé, je fus pris d’une violente envie de la punir. Aussitôt, je le relevai et la plaquai dos aux casiers. Ces derniers tremblèrent sous l’impact et la brune grimaça, mais je ne lui laissai pas le temps de souffler et la soulevai pour la caler sur mes hanches. Ses bras entourèrent mon cou instinctivement et elle se retrouvait dans les airs, sa chatte dégoulinante juste au-dessus de ma bite qui ne demandait qu’à goûter à son vagin.

    D’une main, je lâchai la salope et attrapai mon membre raide pour glisser le gland entre ses lèvres moites ultrasensibles. Elle gémit, mais me supplia en haletant d’anticipation :

    - Non, attendez ! Allez-y doucement, je ne peux pas faire entrer tout ça d’un coup.

    Ah ça non, poupée ! Tout, mais pas attendre. Je n’en étais plus capable.

    - La ferme ! je lui lançai durement.

    Mes mains m’enfoncèrent dans la chair de ses fesses et, d’un coup, je la lâchai. J’appuyai de toutes mes forces sur ses hanches et donnai un puissant coup de rein, m’enfonçant d’une traite dans son sexe. Elle fit remplie si soudainement et brutalement qu’elle hoqueta, et je ne pus retenir mon sourire, victorieux. Mais putain de bordel de merde, elle était serrée ! Ma bite étouffait à l’intérieur, mais ça avait beau être un peu douloureux, c’était juste trop bon.

    Elle laissa échapper un long râle en se cambrant et leva les yeux au ciel. Un filet de bave s’échappait de sa bouche et avait coulé sur son menton. D’un coup de langue, je la léchai et avalai tout. Puis j’enfonçai ma langue entre ses lèvres endolories par la fellation brutale, en me mettant à bouger en elle.

    Elle s’accrocha à la veste de mon costume tant mes coups de butoir se firent violents. A chaque passage sur les parois de son vagin palpitant follement de plaisir, elle poussait un cri de jouissance, rouge de plaisir. Ses seins sautaient entre nous comme des ressorts flasques. Mes cris se joignaient au sien, plus sauvages, affamés. Je me demandai brièvement si on nous entendait jusque dans la salle de cérémonie… Ça aurait été drôle en tout cas.

    Ma queue fut comme traversé d’un choc électrique et je sentis que j’allais éjaculer. Jugeant que ma pute n’avait pas encore assez crié, même si elle commençait à fatiguer, je me retirai. Ça permis à mon plaisir de redescendre un peu et je pus garder un peu plus mon jus avant de tout lui envoyer.

    Sans douceur, je la mis à quatre pattes sur le sol et la pris en levrette. J’augmentais tellement le rythme que je ne voyais même plus ma queue bouger entre ses fesses. Lorsqu’elle jouit autour de ma bite, les sensations furent telles que j’atteignis moi aussi le summum du plaisir.

    Ne lui laissant pas une seconde pour souffler après son orgasme, je me plaçai devant son visage et l’éclaboussai de mes jets de semence en jurant. Ma pute ouvrit grand la bouche et me pompa à nouveau alors que j’étais encore agité de spasmes, et je finis de me déverser dans sa gorge. Elle continua de m’astiquer bien docilement, un petit sourire aux lèvres, jusqu’à ce que ma queue soit devenue trop sensible et que je la force à arrêter.

    Je repris mon souffle, vidé, et me souvins tout à coup que j’allais me marier. Un coup d’œil à ma montre m’apprit que j’aurai déjà dû être devant la mariée depuis trois minutes.

    - Merde.

    Je me passai les deux mains dans les cheveux, plus par nervosité que pour remettre de l’ordre dans ma coiffure. Je baissais les yeux vers la brunette qui s’était laissé choir sur le sol, épuisée, sa poitrine divinement grosse se soulevant rapidement. Ses jambes étaient écartées, sa chatte -qui avait dû laisser passer ma queue massive- béant. Ce spectacle de femme offerte à moi, comblée par moi, me donna un aplomb tout nouveau et j’eus soudain envie de me rebeller contre les devoirs que mon rang social m’imposait. Ma mère voulait que j’épouse une connasse frigide ? Elle allait être déçue. Je n’allai pas m’enfuir, j’allai faire bien pire.

    Je m’agenouillai sur le sol et écartai avec empressement encore plus les jambes de la brunette. Ignorant ses protestations, je saisis ma bite et la frottai sur et entre ses lèvres de cochonne encore trempée.

    - Mais… Qu’est-ce… Ah… Qu’est-ce que vous faites ?

    - Je ne veux pas qu’on croit que j’en ai une petite.

    - Quoi ? Qui « on » ?

    Je ne pris pas la peine de répondre et, lorsqu’on ma verge fut à nouveau dure comme du bois, je me relevai et tirai la brunette par le bras pour l’entraîner avec moi. Sans lui laisser le temps de réfléchir, je l’entraînai au pas de course dans le couloir, elle complètement nue et moi la queue à l’air.

    Il était rempli de valets. L’un deux se précipita vers nous, les yeux ronds comme des putains de soucoupes.

    - Sir Dersterb, tout le monde est dans la salle de cérémonie.

    Exactement ce qu’il me fallait. Je tirai la brunette à poil vers les lourdes portes fermées.

    - Attendez ! nous crièrent les employés. Vous ne pouvez pas…

    Je les négligeai et poussai les portes, qui s’ouvrirent sur toute l’assemblée en grinçant. La mariée sur l’estrade, le prêtre, ma mère, et la bonne centaine d’invités prestigieux se tournèrent vers nous dans un seul mouvement, et les cris choqués ou indignés me procurèrent une intense satisfaction. Fier la bite à l’air au milieu des hautes personnalités du Royaume-Uni, j’effectuai une courbette théâtrale en désignant du bras la brunette, et gueulai avec toute la maturité dont j’étais capable :

    - Je suis pas puceau, SURPRISE !

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  • autant me présenter de suite, Guillaume, Lycéen de 19ans, en Terminale ES, une centaine de kilos répartis sur 1m85, qui montrent bien que la pratique du sport n’est pas vraiment mon hobby favori. Des cheveux mi-longs en bataille, une barbe tout aussi bordélique et des yeux marron sous des lunettes.

    Totalement éveillé maintenant, je décide de prendre mon ordinateur portable sur mes genoux pour me faire un petit plaisir matinal. J’ouvre un de mes sites préférés et dans un autre onglet mon compte Facebook. Mes yeux sont immédiatement attirés vers l’icône qui me montre que j’ai des nouveaux messages. Ils viennent tous de Nina, une amie et ancienne camarade de classe.

    - « Salut », dix minutes après : « t’es la ? », puis : « Réponddddd ».
    - « Mais c’est qu’elle à insister » me dis-je en voyant une dizaine d’autres messages de la même sorte.
    - « À 6h00 du matin, un samedi y’en a qui dorment… » Je lui réponds.
    - « Ohhhh je suis désolée, mais c’est l’anniv de Steven ce soir et je voulais savoir si tu venais cette fois-ci ? »

    Steven, quelle nom de merde (sans méchanceté pour les « Steven », mais c’est ce gars en lui-même qui me sortait par les trous de nez, pour être poli). C’était son copain… Moi je n’aimais pas sortir et j’avais plusieurs fois raconté des excuses bidons pour ne pas aller à toutes ces fêtes…

    - « S’il te plaît, il part bientôt pour ses études après… » continue-t-elle devant mon manque de réaction, « ça va être cool y’aura tout le monde ».

    Mouais tous les potes, avec leurs copines et Guillaume tous seul comme un gland.

    - « Allllleeeezzzzzzz »
    -
    En lâchant un gros soupir seul dans ma chambre je tape un « ouai » avec un manque flagrant d’enthousiasme. « Envoie l’adresse ».

    Un peu après l’heure convenue pour le début de la soirée, j’arrive à l’adresse donnée par Nina.
    En approchant de la porte, j’entends distinctement la musique à l’intérieur, trop forte et pas à mon goût. À l’extérieur des personnes fument tranquillement des clopes, j’en reconnais une ou deux et leur fait un vague signe de la tête pour les saluer.
    J’approche ma main pour toquer à la porte mais m’arrête à mi-parcours. Aucune chance que l’on m’entende avec ce bruit ! Autant rentrer directement.

    Je pénètre alors dans un couloir assez sombre. La maison est grande, devant moi je vois un escalier menant aux deux autres étages. « C’est peut-être un abruti le Steven mais un abruti friqué… » Pensais-je.
    Mais avant que je puisse m’enfoncer un peu plus dans mes pensées, Nina qui parlait avec Steven et ses amis me voit rentrer.

    - « T’es venu ! » me dit-elle en venant me faire la bise.
    - « Bien observée Sherlock ».

    Nina est une jolie fille de 18ans, brune aux cheveux longs, noués en chignon, 1m65 environ, un peu ronde mais pas grosse ce qui lui permet d’avoir de belles formes. Un beau cul rond ; actuellement moulé dans un jean, deux gros seins qui m’effleurent quand elle me fait la bise, mais aucune idée de leur taille. Ce genre de truc ce n’est pas vraiment mon rayon. Elle porte un haut noir décolleté qui offre une belle vue. On peut apercevoir son soutien-gorge d’un rose éclatant quasiment flashy.
    Son pote Steven vient me serrer la main et me présente à deux autres gars : un de ses potes d’université et son grand frère Marjoric.

    On discute cinq minutes mais le niveau est assez bas, tournant sur les voitures, l’alcool qu’ils boivent rapidement, et je profite de voir au loin dans le jardin un ami : Laurent. Prétextant d’aller le saluer, je m’éclipse du groupe. Lui au moins a des centres d’intérêts plus proches des miens, plus geek diraient certains…

    Quatre heures après je suis toujours là, encore sobre, à l’inverse de la plupart des personnes encore en activité.
    A un moment donné, des mecs - incluant Steven totalement saoul - s’approchent de moi et tentent de me faire boire avec eux. Mais prétextant une envie pressante, j’arrive à m’échapper et me rends au deuxième, puis au troisième étage de la maison.

    N’ayant pas vraiment de but (à par échapper aux autre invités), je commence à traîner dans les couloirs du troisième étage, jusqu’à ce que j’entende des bruits étranges mais assez reconnaissables pour un accro de films X comme moi…
    Je me rapproche des portes une-à-une, jusqu’à trouver celle d’où provient les grognements de plaisir d’un mec. La porte est fermée mais à cette distance je peux percevoir des voix masquées par la musique qui, même si elle a baissé de volume reste assez forte.
    Je jette un œil autour de moi pour m’assurer que je suis seul dans le couloir, personne dans les escaliers… Je regarde alors la poignée avec envie !

    « Bon… Guillaume, là tu es face à ton destin ! Si tu veux jeter un coup d’œil, c’est maintenant ou jamais ! De toute façon ils doivent être trop occupés pour te voir… A condition d’être discret ! » Me dis-je en essayant de me rassurer.

    En prenant mon courage à deux mains, j’entrouvre la porte le plus discrètement possible, en implorant la protection du « dieu des pervers » ^^
    Apparemment cette prière fut accordée, car le couple ne remarque rien... Le dieu m’offre même un supplément, car devant moi, à quelque pas à peine, c’est Nina à genoux qui est en train de sucer la verge d’un mec black que je reconnais vite comme étant le grand frère de Steven.

    A la vue de ce spectacle, mon sang ne fait qu’un tour et se concentre dans une région précise de mon corps. Mon cerveau réagit aussi très vite.
    Tout en essayant de rester discret, je sors de ma poche mon téléphone et commence à filmer, avec des mains tremblantes d’excitation, la fellation que Nina offre à Marjoric, mais je me rends vite compte que c’est surtout lui qui fait tout le travail : elle semble inexpérimentée.

    Ses mains sont accrochées aux cheveux de Nina et il fait allez et venir sa queue dans sa bouche, en poussant des grognements de satisfaction. Après quelque secondes de ce traitement, Marjoric sort totalement sa verge de la bouche de Nina et lui donne des petits coups sur les joues, puis lui dit :

    - « Allez sers-toi un peu de ta langue, pendant que je joue avec tes seins »

    Aussitôt dit, il lui agrippe le sein gauche à travers son haut et commence à le malaxer sans ménagement, pendant que sa main gauche tient toujours la tête de Nina.
    Sans poser de questions, elle commence à sortir sa langue et donnez de petits coups rapides sur le gland gonflé. Sa petite langue rose commence à parcourir la verge de haut en bas, contrastant avec sa couleur sombre.
    Après quelques minutes de ce traitement, Marjoric éloigne la tête de Nina et commence à se branler furieusement en visant son décolleté.

    - « Tiens, prends ça entre tes gros seins ! » s’exclame-t-il, alors que ça verge décharge une bonne quantité de sperme.

    Il continue à se caresser quelque secondes, gardant les yeux clos, avant de remonter son caleçon et pantalon.

    - « Allez, relèves-toi ! On redescend avant que Steven ou un autre s’aperçoivent de quelque-chose » dit-il en l’aidant à se relever. « Je ne vais pas te sauter parce-que t’es la copine de mon frère… il devrait me remercier » continue-t-il avec un grand sourire.

    De mon côté, entendant cela, j’en profite pour descendre rapidement dans le salon, des images salaces dans la tête et qu’une seule idée : « comment me servir de cette vidéo ? ». « Et si je m’en servais pour la faire chanter et me la taper moi aussi… ? »


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    A suivre.

     

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