• Le problème c'est que je sais qu'elle ne m'aime pas

    - Ooooh… comme tu es beau mon fils !

    Ma mère me déposa sur la joue un baiser mouillé de larmes de joie, elle qui laissait si rarement transparaître ses émotions, j’étais surpris !

    - Je n’arrive toujours pas à réaliser que tu es sur le point de te marier, renifla ma mère en ajustant mon nœud papillon et balayant de la main une particule sur mon costume noir. Ah ! Toi, mon bébé, mon petit Weston…

    Je saisis sa main gantée de mauve et la retira sèchement. A vrai dire, cette union de mes deux m’agaçait au plus haut point.

    - Allons, maman, nous savons tous deux que c’est vous et vous seule qui avez organisé ce mariage.

    En effet, je n’avais pas choisi d’épouser Celestina Hemsworthly, fille du cousin de l’oncle à la sœur du neveu de sa Majesté la reine d’Angleterre Elizabeth II. Faire partie de l’aristocratie anglaise avait ses avantages –dont le fric en abondance, vous l’aurez deviné- mais aussi ses inconvénients. Les mariages arrangés par exemple. Et aujourd’hui, c’était à moi de passer sur le grill. J’allais épouser une femme que je n’appréciais même pas devant des centaines de personnes pour la plupart hautes placées, dans l’un des plus prestigieux hôtels londoniens : le London Hilton sur Park Lane. Le prêtre allait se déplacer spécialement pour nous.
    Contrairement à ma chère mère, je n’aimais pas Celestina. Cette blonde avait beau être sacrément bonne à regarder, niveau mental ce n’était pas folichon. Non, ma future femme était aussi froide et frigide qu’une bonne grosse tonne de glace.

    Nous n’avions encore jamais baisé, car elle avait fait vœu de chasteté jusqu’au mariage auprès de notre grand Seigneur, mais moi, je n’avais pas perdu mon temps. Depuis mes quinze ans -soit il y a dix ans- je me tapais tout ce qui correspondait de près ou de loin à mes critères physiques. C’était un besoin. Je n’avais pas trop de mal à faire entrer les femmes dans mon lit : bien foutu et bien monté, riche et le regard bleu charmeur, il n’en fallait pas plus pour faire tomber en pamoison les petites anglaises. Ma famille, et surtout ma mère, ignorait tout de mes parties de jambes en l’air presque quotidiennes avec des inconnues. Pour eux, j’étais Weston l’enfant sage qui, bien qu’un peu coureur, touchait avec les yeux, histoire de ne pas dégrader la réputation des Dersterb. S’ils savaient à quel point ils se trompaient, ils feraient un infarctus dans la seconde.

    Quoi qu’il en soit, la famille Dersterb avait quelques soucis financiers depuis la mort de mon père il y a deux ans, dans le genre gros trou incomblable au porte-monnaie, et c’est pourquoi ma mère avait décidé de marier son fils unique à la fille d’une des familles les plus blindées du Royaume-Uni. En fait, pour vous résumer un peu les choses et en y réfléchissant bien, toute ma vie était rythmée par l’argent. Et le sexe.

    - Celestina est une très belle femme, Weston, me réprimanda maman d’un ton sévère en ajustant son chapeau lui aussi mauve et plus qu’extravagant. Tu devrais me remercier d’avoir réussi à la faire tomber dans tes bras. Elle s’est conservée pour toi et tu as fait de même pour elle, comment rêver d’une union plus pure que celle-ci ?

    Pure, pure… Allez dire ça à ma queue déjà bien expérimentée. D’ailleurs en parlant de queue, celle-ci me démangeait depuis quelques heures. Avec tous ces stupides préparatifs de mariage, le temps s’était comme accéléré et je n’avais pas eu l’occasion de tremper mon biscuit depuis plusieurs jours. Et c’était dur à supporter pour le libertin que j’étais, et que j’aurai voulu rester encore longtemps après mes vingt-cinq ans.

    Je me détournai et m’approchai du miroir, avant de lever le menton pour ajuster moi-même mon nœud papillon. Putain, qu’est-ce que j’étais classe ! Plus que d’habitude en tout cas. Mais cette petite salle dans laquelle devait se préparer le marié devenait soudain trop petite pour ma mère et moi, comme si rien que l’idée de me lier pour l’éternité à Celestina m’étouffait déjà.

    - Je n’ai pas envie de me marier à cette femme. Il existe d’autres moyens pour regagner l’argent que nous avons perdu, je ne vois vraiment pas l’intérêt de…

    - Weston ! m’interrompit ma mère en claquant sévèrement dans ses mains. Nous en avons déjà discuté maintes et maintes fois !

    Elle baissa un peu le ton, comme si elle avait peur qu’on nous entende à travers les murs clairs ornementés de multiples dorures.

    - Cette union est l’alternative la plus simple pour ta famille, tu le sais ! Je suis lasse de te le répéter, mon cher Robert aurait compris lui…

    Robert, alias mon père, alias l’homme qui fait s’humidifier théâtralement les yeux de ma mère à chaque fois qu’elle prononce son nom.

    Je lâchai un long soupir en écoutant d’une seule oreille maman me répéter pour la centième fois pourquoi c’était un devoir pour moi d’épouser madame-la-chatte-en-glaçon. Au bout de cinq minutes d’un discours que je connaissais déjà sur le bout des doigts, je jetai un coup d’œil à ma montre Hermès et l’interrompis.

    - Plus qu’une petite trentaine de minutes avant la cérémonie, et je tiens à me montrer souriant et détendu pour celle qui partagera le reste de ma vie. Si vous pouviez…

    Je balayai l’air de la main.

    - Vous savez, me laisser seul pendant les prochaines minutes. Ce sera certainement la dernière fois que j’en aurai l’occasion avant ma mort d’ailleurs.

    Ma mère me lança un regard mécontent, visiblement agacée par le sarcasme dont je faisais preuve. Au bout de quelques secondes de fixation intense, elle acquiesça en pinçant les lèvres.

    - Très bien, Weston. Mais je te préviens, si tu essayes, ne serait-ce que passer les portes de cet hôtel…

    - N’ayez crainte, maman, j’ai trop d’estime de moi pour fuir comme une jeune pucelle flippée.

    Là au moins, ma mère me crû sans hésiter. Elle s’exécuta et me laissa seul avec mes pensées maussades dans la petite pièce. J’étais déjà habillé et coiffé pour la cérémonie, ne restait plus qu’à profiter de mes derniers instants en solo.

    Je me dirigeai vers un petit guéridon en marbre à trois pieds, et sortis un gros cigare d’une boîte qui y était posée, délicate attention du Hilton. Je l’allumai et tirai une longue bouffée en fermant les yeux. Putain, ouais !

    Je me laissai tomber sur un gros fauteuil style dix-septième siècle, et croisai les jambes en m’affalant contre le haut dossier, en continuant de tirer sur mon cigare. Les bruits du couloir me parvenaient : voix, pas précipités, etc… On s’agitait visiblement dans l’hôtel pour mon mariage. Une belle chiasse cette merde.

    Bien sûr, j’avais l’attention de tromper Celestina à tour de bras, mais mes rapports sexuels -si importants pour mon bien-être- allaient être encore plus difficiles à cacher qu’ils ne l’étaient déjà. Et si elle se mettait à vouloir des gosses ? Bordel, l’angoisse. Je n’étais pas prêt, mais surtout je n’avais aucune envie de fonder une famille. Encore moins sur des bases aussi fragiles qu’allaient l’être celles entre Celestina et moi.

    Je passai une main nerveuse dans mes cheveux gominés et coiffés en arrière. J’étais jeune, merde ! Trop jeune et gâté par la vie pour m’enfermer dès maintenant dans un mariage d’intérêt ! La preuve, il y avait tellement de chattes prêtes à m’accueillir ici dans l’hôtel. Je l’avais vu dans le regard des femmes que je croisais ce matin en arrivant au Hilton. J’étais désiré par elles, et certaines valaient vraiment le détour. Les demoiselles d’honneur par exemple. Je me mis à les imaginer en train de se déshabiller pour revêtir leurs robes moulantes couleur lila dans les vestiaires quelques étages plus bas, tout près de la salle de cérémonie… Les fourreaux étroits qu’elles enfilaient devaient épouser la moindre de leurs courbes aguicheuses, collant à leurs seins rebondis sans soutien-gorge et à leurs fesses fermes.

    Je baissai les yeux vers mon pantalon, pour découvrir sans surprise que je bandais comme un tôlard. Mon sexe en érection formait une énorme bosse entre mes jambes, et je posai la main dessus. Bordel, j’étais dur comme du bois à quelques dizaines de minutes de mon mariage, à fantasmer sur les belles salopes qui allaient y assister.

    J’avais beau être contre cette union, je n’allais quand même pas me présenter devant la foule avec une gaule pareille. Aussi, j’écrasai mon cigare dans le cendrier d’une main tandis que de l’autre, je dé-zippais ma braguette et sortais ma bite de mon pantalon devenu trop serré. Elle était déjà décalottée, et si gonflée que je pouvais aisément observer les veines palpiter sous la peau écarlate.

    Je la saisi à la base et la secouai un peu en lâchant un soufflement sonore. Putain, elle et mes couilles étaient devenues douloureuses. Je le mis à monter et descendre dessus, en m’attardant toujours un peu plus sur le gland ultra-sensible. J’imaginai sur le sol devant moi le corps nu et bien épilé d’une petite déesse de demoiselle d’honneur, bien offerte à moi, les jambes écartées de part et d’autre de sa chatte dégoulinante de cyprine. Oui, c’est exactement ce qu’il me fallait, un endroit bien agréable comme celui-là à ravager à coups de rein avides.

    Tout à coup, je me levai et rentrai mon sexe dans mon pantalon. A quoi bon imaginer ce spectacle de petite chienne nue quand on pouvait l’avoir quelques étages plus bas ? Ce n’est pas parce que l’on ne pouvait plus toucher qu’on allait se priver de regarder ! Je décidai de rejoindre le vestiaire des demoiselles d’honneur et sortis de la pièce en courant, la bite en feu.

    Une fois dans le couloir qui grouillait de monde, je baissai la tête pour qu’on ne reconnaisse pas le marié qui s’échappait, et rasai les murs jusqu’à la porte débouchant sur les escaliers de service. Prendre l’ascenseur était trop risqué, même si je ne connaissais pas la plupart des invités dans cet hôtel, eux avait bien vu les multiples photos géantes de Celestina et de moi qui ornaient les murs du bâtiment.

    Heureusement, la cage d’escalier était déserte, et je rejoignis le rez-de-chaussée en moins de temps qu’il n’en faut à une chaudasse pour avaler une queue. Une fois en bas, je passai en vitesse devant les grandes portes de la salle de cérémonie. Elles étaient entrouvertes, et je pus apercevoir la multitude de chaise -encore vides- qui me tournaient le dos, de part et d’autre du tapis rouge menant à une gigantesque estrade pour l’instant dissimulée derrière un grand rideau blanc.

    Je tournai à gauche en prenant toujours soin que l’on ne me reconnaisse pas, et me retrouvai pile devant les portes des vestiaires. Le sexe palpitant, je poussai celle des femmes et y entrai le plus discrètement possible avant de refermer la porte. Je me retrouvai dans une sorte d’antichambre vide de monde, mais des voix féminines me parvinrent de la pièce d’à côté.

    Je glissai tant bien que mal mon grand corps derrière un porte-manteau, et observai à travers les vestes. Trois rangées de casiers imposants remplissaient l’espace, et entre eux, au moins six femmes s’affairaient. Ça n’était en fait pas exclusivement des vestiaires pour demoiselles d’honneur, il y avait aussi des femmes plus âgées. La plupart étaient déjà changées et rangeaient simplement leurs affaires en s’apprêtant à quitter la salle, tandis que d’autres étaient en train de se déshabiller. Il y avait de petits box pour qu’elles aient un peu d’intimité –après tout, il s’agissait de femmes importantes !- mais ils étaient pleins et certaines décidaient de se déshabiller devant tout le monde. Sans surprise, cela ne concernait que les jeunes femmes, à mon plus grand plaisir.

    Lorsque les femmes se mirent à quitter la pièce, je retins ma respiration en priant pour que l’on ne me surprenne pas. J’étais vraiment juste à côté de la sortie. Mais on ne me vit pas et le luxueux vestiaire se vida presque entièrement. Lorsque la voie fut libre, j’écartai à nouveau les vestes pour observer. Seules trois femmes demeuraient dans la salle.

    Mes yeux s’attardèrent sur l’une d’entre elle. La plus jeune d’au moins trente ans, une superbe brune dans la vingtaine qui venait juste de quitter son soutien-gorge en satin rouge, pour révéler à ma vue une grosse poitrine à l’apparence délicieusement ferme. Ne pouvant résister à la tentation, je ressortis ma queue et frottai mon gland avide de caresses dans la fourrure d’un manteau apparemment hors de prix. Putain, cette saloparde brunette ne rendait encore plus dur, et je dus sortir aussi mes bourses de mon fut pour ne pas crier de douleur à cause la pression qui s’était accumulée.

    La brune se pencha pour ramasser ses chaussures pour les ranger, et j’eus une vue magnifique sur le string qu’elle portait et qui lui rentrait quasiment dans la chatte. J’avais envie de lui la lécher jusqu’à ce qu’elle hurle, de la faire mouiller à noyer ma queue dedans.

    Je frottai plus intensément ma bite gonflée à l’extrême dans le manteau, et le décrochai même en silence pour l’enrouler autour de mon sexe et me branler avec. La femme à qui il appartenait allait avoir une petite surprise en venant le récupérer à la fin de la cérémonie… Je reportai de nouveau mon attention sur ma salope. Hum… la voilà qui se passait une crème sur le corps avant de revêtir sa robe.

    Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle pivota vers moi et je pus la voir en passer langoureusement sur son ventre plat et ses gros seins. Elle les prit en main, les malaxa, les tritura, et je faillis jouir devant ce spectacle. L’air le plus innocent du monde qu’elle abordait me donna envie de l’empaler sur toute ma longueur sur-le-champ en la regardant hurler de plaisir, victorieux.

    Lorsque l’une des trois femmes restantes quitta la pièce, je décidai de quitter ma cachette pour passer à l’action. Je n’avais pas réellement prévu de baiser à quelques minutes de mon mariage, mais mes instincts prirent le dessus, et je m’élançai entre la première et deuxième rangée de casiers. Le fait que la femme plus âgée se trouve de l’autre côté et ne puisse pas voir cette partie de la salle, me donna de l’audace.

    La brune, qui me tournait toujours le dos, ne me vit pas arriver et je me plaquai dans son dos en écrasant une main sur sa bouche pour l’empêcher de cri, tandis que l’autre venait emprisonner ses bras. Ma queue, raide comme jamais à cause de l’excitation et de l’adrénaline, lui rentra dans la raie des fesses et je me délectai de la pression soudaine de ces deux globes rebondis sur mon sexe.
    La jeune femme se débattit mais j’étais plus grand et fort, alors je la forçai à rester immobile et silencieuse entre mes bras. Attendant qu’elle se calme un peu ou s’épuise, j’entrepris de faire coulisser ma queue contre son cul, et lâchai un soupir sonore. C’était vraiment trop doux, délicieux.

    Je me penchai et chuchotai à l’oreille de la fille qui me faisait bander si fort :

    - Vois comme le futur marié à envie de te baiser, petite salope. Sens comme tu appelles ma bite, comme elle vibre pour toi !

    Ma main qui enserrait ses bras se déplaça et je saisis un de ses seins lourds dans ma main. Elle était grande, et pourtant je ne parvins pas à faire entrer son nichon dedans en entier. Il débordait de tous les côtés ! Je lui pinçais les tétons, tandis qu’elle forçait encore pour se libérer, et c’eut pour effet de la faire reculer brusquement contre moi. Si elle n’avait encore ce string ridicule, elle se serait empalée involontairement directement ! Je le lui arrachai sans plus de cérémonie.

    J’entendis l’autre femme fermer son casier et la vis se diriger vers la sortie. Merde ! La jeune bandante et moi étions juste dans son dos, si elle décidait de se retourner maintenant... Je mis toutes mes forces à empêcher la brune de nous trahir au dernier moment, et la femme sortit finalement sans nous voir. Je me détendis aussitôt que la porte claqua.

    Je ne pris plus la peine de chuchoter :

    - Laisse-moi t’expliquer la situation, ma jolie. J’ai vraiment, mais alors vraiment envie d’être en toi là, de labourer ton intérieur tout chaud, et j’aurai vraiment de la peine à supporter la cérémonie si je ne te ramonais pas comme une chienne maintenant. Le truc, c’est que j’aime que mes partenaires de baise soient consentantes, alors laisse-moi te convaincre que j’en vaux la peine !

    Je lui mordis le cou et lui tirai les tétons. Ces derniers se dressèrent en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire et devinrent durs comme la pierre. Wouha ! Elle était vraiment réceptive, cette salope-là.

    Je lâchai sa bouche et plaquai ma main contre son intimité à travers la culotte. Bordel, elle était dans le même état d’excitation au sud, rien que le tissu me collait aux doigts tant sa chatte débordait de jus.

    Profitant de ma déconcentration, la brune me donna un coup de coude dans l’abdomen qui me coupa le souffle, et fit volte-face. L’air furieux et totalement dénué de peur sur son visage me surpris, et m’appris par la même occasion qu’elle était bien plus pute qu’elle ne semblait l’être au premier regard.

    - Vous êtes le marié ?

    Je tentai de reprendre mon souffle, tandis que mes yeux louchaient sur ses lourdes mamelles :

    - Pas encore…

    Je me redressai et elle rougit un peu, je compris que mon physique l’impressionnait. Le sien me rendait fou, alors autant rentabiliser la chose. Je me demandai comment tourner mes phrases pour l’amadouer et la convaincre de se laisser sauter.

    - Désolé de t’avoir sauté dessus comme un animal…, je commençai.

    En fait, je ne l’étais pas du tout et j’avais même envie de le refaire tout de suite. A ma grande surprise elle s’approcha sans me laisser le temps de bavasser davantage et me saisis la queue sans que je réagisse. Putain ! C’était plus facile que je ne l’avais pensé. Sa main était petite par rapport à mon sexe, mais incroyablement chaude.

    - Je crois que cette situation m’excite vraiment…, avoua-t-elle en rougissant encore.

    Ses doigts serrèrent ma bite et son autre main se mit à malaxer mes bourses pleines à craquer. Je plantai mes poings sur mes hanches couvertes du smoking en me courbant en arrière pour m’empêcher de crier.

    - J’ai toujours détesté cette connasse de Celestina, chuchota-t-elle comme pour elle-même.

    Puis elle planta farouchement ses yeux noisette dans les miens.

    - Ne croyez pas que j’ai l’habitude de toucher ainsi n’importe qui, hein ? C’est juste pour me venger, et vous et votre bite êtes si… attirants.

    - Ma salope, tant que tu me pompes comme une diablesse, tu peux être n’importe qui et faire n’importe quoi, je m’en bats les couilles !

    Sur ces mots, je lui appuyai sur les épaules pour qu’elle s’agenouille et enfonçai brutalement ma verge rigide dans sa bouche de suceuse jusqu’à la garde. La brunette toussa et sa gorge se contracta sur ma queue, mais je tins fermement son visage plaqué à mon pubis. Cette chienne voulait se venger de Celestina ? Elle n’allait pas le faire sans souffrir.

    Sans prévenir, je me mis à lui bourriner la bouche comme un taré, attrapant par poignées ses cheveux, faisant claquer mes testicules contre son menton. Puis je crachai entre nous deux sur ma bite, et la poussai à me manger encore, histoire qu’elle avale ma salive en plus du liquide qui commençait à s’échapper de mon gland douloureux. J’étais vraiment gonflé à bloc, comme jamais.

    Quand ma chienne d’avaleuse leva les yeux vers moi et me lança le regard le plus provoquant qu’on m’ait jamais envoyé, je fus pris d’une violente envie de la punir. Aussitôt, je le relevai et la plaquai dos aux casiers. Ces derniers tremblèrent sous l’impact et la brune grimaça, mais je ne lui laissai pas le temps de souffler et la soulevai pour la caler sur mes hanches. Ses bras entourèrent mon cou instinctivement et elle se retrouvait dans les airs, sa chatte dégoulinante juste au-dessus de ma bite qui ne demandait qu’à goûter à son vagin.

    D’une main, je lâchai la salope et attrapai mon membre raide pour glisser le gland entre ses lèvres moites ultrasensibles. Elle gémit, mais me supplia en haletant d’anticipation :

    - Non, attendez ! Allez-y doucement, je ne peux pas faire entrer tout ça d’un coup.

    Ah ça non, poupée ! Tout, mais pas attendre. Je n’en étais plus capable.

    - La ferme ! je lui lançai durement.

    Mes mains m’enfoncèrent dans la chair de ses fesses et, d’un coup, je la lâchai. J’appuyai de toutes mes forces sur ses hanches et donnai un puissant coup de rein, m’enfonçant d’une traite dans son sexe. Elle fit remplie si soudainement et brutalement qu’elle hoqueta, et je ne pus retenir mon sourire, victorieux. Mais putain de bordel de merde, elle était serrée ! Ma bite étouffait à l’intérieur, mais ça avait beau être un peu douloureux, c’était juste trop bon.

    Elle laissa échapper un long râle en se cambrant et leva les yeux au ciel. Un filet de bave s’échappait de sa bouche et avait coulé sur son menton. D’un coup de langue, je la léchai et avalai tout. Puis j’enfonçai ma langue entre ses lèvres endolories par la fellation brutale, en me mettant à bouger en elle.

    Elle s’accrocha à la veste de mon costume tant mes coups de butoir se firent violents. A chaque passage sur les parois de son vagin palpitant follement de plaisir, elle poussait un cri de jouissance, rouge de plaisir. Ses seins sautaient entre nous comme des ressorts flasques. Mes cris se joignaient au sien, plus sauvages, affamés. Je me demandai brièvement si on nous entendait jusque dans la salle de cérémonie… Ça aurait été drôle en tout cas.

    Ma queue fut comme traversé d’un choc électrique et je sentis que j’allais éjaculer. Jugeant que ma pute n’avait pas encore assez crié, même si elle commençait à fatiguer, je me retirai. Ça permis à mon plaisir de redescendre un peu et je pus garder un peu plus mon jus avant de tout lui envoyer.

    Sans douceur, je la mis à quatre pattes sur le sol et la pris en levrette. J’augmentais tellement le rythme que je ne voyais même plus ma queue bouger entre ses fesses. Lorsqu’elle jouit autour de ma bite, les sensations furent telles que j’atteignis moi aussi le summum du plaisir.

    Ne lui laissant pas une seconde pour souffler après son orgasme, je me plaçai devant son visage et l’éclaboussai de mes jets de semence en jurant. Ma pute ouvrit grand la bouche et me pompa à nouveau alors que j’étais encore agité de spasmes, et je finis de me déverser dans sa gorge. Elle continua de m’astiquer bien docilement, un petit sourire aux lèvres, jusqu’à ce que ma queue soit devenue trop sensible et que je la force à arrêter.

    Je repris mon souffle, vidé, et me souvins tout à coup que j’allais me marier. Un coup d’œil à ma montre m’apprit que j’aurai déjà dû être devant la mariée depuis trois minutes.

    - Merde.

    Je me passai les deux mains dans les cheveux, plus par nervosité que pour remettre de l’ordre dans ma coiffure. Je baissais les yeux vers la brunette qui s’était laissé choir sur le sol, épuisée, sa poitrine divinement grosse se soulevant rapidement. Ses jambes étaient écartées, sa chatte -qui avait dû laisser passer ma queue massive- béant. Ce spectacle de femme offerte à moi, comblée par moi, me donna un aplomb tout nouveau et j’eus soudain envie de me rebeller contre les devoirs que mon rang social m’imposait. Ma mère voulait que j’épouse une connasse frigide ? Elle allait être déçue. Je n’allai pas m’enfuir, j’allai faire bien pire.

    Je m’agenouillai sur le sol et écartai avec empressement encore plus les jambes de la brunette. Ignorant ses protestations, je saisis ma bite et la frottai sur et entre ses lèvres de cochonne encore trempée.

    - Mais… Qu’est-ce… Ah… Qu’est-ce que vous faites ?

    - Je ne veux pas qu’on croit que j’en ai une petite.

    - Quoi ? Qui « on » ?

    Je ne pris pas la peine de répondre et, lorsqu’on ma verge fut à nouveau dure comme du bois, je me relevai et tirai la brunette par le bras pour l’entraîner avec moi. Sans lui laisser le temps de réfléchir, je l’entraînai au pas de course dans le couloir, elle complètement nue et moi la queue à l’air.

    Il était rempli de valets. L’un deux se précipita vers nous, les yeux ronds comme des putains de soucoupes.

    - Sir Dersterb, tout le monde est dans la salle de cérémonie.

    Exactement ce qu’il me fallait. Je tirai la brunette à poil vers les lourdes portes fermées.

    - Attendez ! nous crièrent les employés. Vous ne pouvez pas…

    Je les négligeai et poussai les portes, qui s’ouvrirent sur toute l’assemblée en grinçant. La mariée sur l’estrade, le prêtre, ma mère, et la bonne centaine d’invités prestigieux se tournèrent vers nous dans un seul mouvement, et les cris choqués ou indignés me procurèrent une intense satisfaction. Fier la bite à l’air au milieu des hautes personnalités du Royaume-Uni, j’effectuai une courbette théâtrale en désignant du bras la brunette, et gueulai avec toute la maturité dont j’étais capable :

    - Je suis pas puceau, SURPRISE !

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