• NEW-YORK, 4 heures du matin.

    Melanie court. Cela fait déjà plusieurs miles qu’elle est sur son deuxième souffle, mais elle refuse de ralentir malgré l’excès d’acide lactique qui rend ses muscles douloureux. Elle court. Sa tête dodeline sur ses épaules relevées, son large tee-shirt NYPD trempé de sueur colle à sa poitrine. Sa réserve d’eau dorsale presque vide frotte sur ses omoplates entre lesquelles un filet continu de sueur ruisselle jusqu’à son short noir. Au-delà de la souffrance, elle court. Alors qu’elle remonte Pike Street, une voiture de patrouille de la police lui fait des appels de phares. Des Cops du 9ème District, sûrement ; ils l’ont reconnue : une jeune femme aux cheveux noirs en queue-de-cheval qui fonce seule dans les rues de la Grosse Pomme dans la nuit noire, ce n’est pas commun. Ils lui souhaitent bon courage pour sa vie de merde.

    Elle est loin au-delà de l’épuisement en arrivant à son bloc dans la Hooper Street de Brooklyn. Elle consulte son podomètre en entrant dans son appartement : un peu plus de seize miles. Elle songe pour la dixième fois qu’il lui faut acheter une nouvelle paire de runnings, sinon elle va ruiner ses voûtes plantaires et sera incapable de faire la seule chose qui l’empêche de sombrer.

    Ah, vraiment ? Hier, sur Williamsburg bridge, tu cherchais quoi ? Tu comptais les bateaux ?

    Elle remontait le pont d’ouest en est à longues enjambées qui commençaient à raidir ses mollets torturés, et soudain le trou.

    Elle avait repris pied penchée au bord du tablier, l’East River noire roulant de petites crêtes d’écume dans le vent nocturne. Un vieillard en costume gris tout froissé l’avait interpellée d’une voix criarde et angoissée :

    — Mademoiselle ! Ho, Mademoiselle ! Je vous en supplie, ne faites pas ça ! Vous êtes si jeune, si jolie, vous ne pouvez pas faire ça : personne ne mérite qu’on meure pour lui.
    — Pourquoi dites-vous ça ?
    — Mademoiselle, j’en ai vus plusieurs sauter d’ici, et c’était toujours pour des chagrins d’amour.

    Melanie était repartie sans répondre ; le vieil homme lui avait sauvé la vie.

    Elle se douche à l’eau froide, la seule qu’elle se permet depuis trois mois. Cinglée par la violence du choc thermique, elle retient à grand-peine le gémissement qui monte dans sa gorge, sachant qu’il risque fort de se transformer en cri primal ; en cri de désespoir, en cri de mort. Elle s’habille machinalement, jupe noire, chemisier prune et veste de tailleur noire ; maquillage léger sur son visage trop pâle aux yeux cernés, cheveux noirs en chignon sage : la parfaite petite journaliste.

    Dire qu’elle avait galéré quatre ans après son diplôme de fin d’études pour réaliser son rêve, intégrer une école de journaliste puis trouver un travail au New-York Tribune ! Certes, ce n’est pas un travail de rédacteur, pas pour une débutante sans appuis ; pigiste sur plusieurs rubriques, mode, cuisine, loisirs, soccer féminin, faits divers, elle se disperse ou elle apprend diverses facettes du métier. Elle l’envisage de l’une ou l’autre façon selon son humeur du moment.

    Là, sans conteste, elle s’en fiche complètement ; elle ne travaille plus que de façon mécanique, sans entrain, sans plaisir. Ses collègues l’évitent, comme si ses malheurs étaient contagieux ; ou lui délivrent des mines apitoyées, ce qui est encore pire. Sa rédac-chef ne sait pas trop comment la remotiver, mais Mel se doute qu’elle va réagir un jour ou l’autre.

    A 11 heures, Melanie, douloureusement consciente que même son travail de journaliste a perdu tout attrait alors qu’il représentait tant à ses yeux trois mois plus tôt, passe un coup de téléphone. La sonnerie bipe longtemps et elle va raccrocher en entendant la messagerie prendre le relais, quand après un déclic de prise de ligne une voix de basse lance :

    — Chris.
    — C’est Melanie.
    — Salut, Mel. Tu vas bien ?
    — Assez. Je t’appelle pour ce que tu m’as dit la dernière fois.
    — Mel, ça fait presque un an ! C’était… pour ton mémoire ?
    — Oui. Tu m’avais dit que… tu m’accepterais si je voulais…
    — Entrer dans le milieu ?
    — Oui.
    — Et Dylan est d’accord ?

    Mel marque un temps. Il ne sait rien. Il n’a pas appris que son ancien copain d’enfance, celui qui avait voulu devenir flic, celui que la fille qu’ils aimaient tous deux avait choisi, était mort depuis un peu plus de trois mois. Mort en service, lors du braquage d’une superette dans Brooklyn. Une décharge de riot-gun en plein visage. Mort sur le coup, sans souffrir. Et depuis Melanie souffrait pour deux, jour et nuit, son corps et son âme dévorés par un désespoir si profond qu’elle avait fui tout soutien, se repaissant de sa douleur.

    — Il est… parti.
    — Dylan ? Il t’a abandonnée ? Ce n’est pas possible, il t’aime, Mel ! Il n’a pas pu…
    — Arrête, Chris. Tais-toi. Je suis prête à te rejoindre. Quand tu veux, mais pas dans six mois.

    Mel avait rédigé un mémoire de fin d’études sur le milieu S.M. de New-York ; pour s’introduire dans ce monde, elle avait contacté son ami d’enfance dont elle connaissait les sombres penchants. Chris l’avait accueillie chez lui, dans son grand appartement de Greenwich Village, en plein Manhattan, et lui avait ouvert les portes les plus hermétiques, celles qui permettaient d’accéder aux plus extrêmes des cercles. Son mémoire, fort bien documenté tout en ménageant l’anonymat des participants, lui avait valu d’obtenir son diplôme de l’école avec les honneurs.

    Melanie, depuis son veuvage, a perdu toute appétence et n’aspire plus qu’à l’oubli ; par une manière d’ironie, elle envisage donc de se confier à l’homme dont elle n’a pas voulu quand, à dix-sept ans, elle a choisi celui qui partagerait sa vie. Entre Dylan, le Noir au crâne rasé qui voulait devenir inspecteur à la Criminelle, et Chris, le géant Viking aux longs cheveux blonds frisés, petit génie de l’informatique. Et obsédé de la domination et du contrôle depuis toujours. Melanie reprend :

    — Je te rejoins ce soir ou jamais, compris ?
    — Du chantage, maintenant ?
    — Je mets juste les points sur les i.
    — Et Dylan n’en a rien à battre que tu renonces à lui ?
    — Ne t’occupe pas de ça, c’est mon affaire. Trouve-moi quelqu’un, c’est tout.
    — Tu m’inquiètes, mais c’est ta vie. Tu cherches quoi, exactement ?
    — Une immersion totale, et définitive.
    — Tu es folle ? Ou alors depuis l’an dernier tu as changé ; tu as vécu une expérience S.M. ? Parce que sinon…

    Melanie soupire, si fort que son interlocuteur ne peut l’ignorer. Il s’interrompt et réoriente ses paroles.

    — Bon. Je présume que tu es décidée et que tu iras voir quelqu’un d’autre si je t’envoie paître. Tu peux être chez moi à 17 heures ?
    — Tu n’as pas changé d’adresse, je présume ?
    — C’est toi la journaliste.

    Il a raccroché sans attendre de réponse. Mel soupire encore, regarde l’heure : presque midi. Elle n’a pas faim mais se force à sortir manger un sandwich pain de seigle, tomate, mozzarella, basilic. À 14 heures, elle frappe à la porte en verre de sa rédac-chef Angela Stone. Celle-ci, une brune à la coupe au bol, lunettes fumées sur le front et yeux pétillants d’intelligence, lui fait signe de s’asseoir.

    — Bonjour, Mel ; ça va ?
    — C’est pour ça que je viens. Je… je suis consciente de ce que je rends comme travail actuellement ; je préfère arrêter.
    — Mel, c’est « ton » job (elle a accentué le « ton »), ton rêve d’enfance. Et tu es douée, la plus douée des jeunes qui gravitent autour du Tribune. Je sais que c’est très dur, mais ça ne fait que trois mois. Il te faut être patiente, te reconstruire…
    — J’ai essayé, Angie, j’ai essayé ; la vérité, c’est que je suis en train de craquer. Je vais quitter New-York, suivre une thérapie ; me ressourcer. Mais il faut que j’arrête. C’est trop dur de vivre dans tous ces endroits où nous avons ri, mangé, couru. Je suis désolée, tu sais, de dire adieu au job de mes rêves.
    — Je comprends ; tu veux arrêter tout de suite ?
    — Oui, le temps de trier mes papiers, de dire au revoir…
    — Ce sera vite fait… Oui, j’ai aussi des yeux pour voir : les gens sont mal à l’aise devant le malheur absolu et ils se comportent comme des cons. J’avertis le service comptable, et… et promets-moi de revenir ici, quand tu sauras que c’est possible ; j’aurai toujours une place pour toi, mais reviens-nous.

    Les yeux embrumés, Mel se lève pour saluer sa chef – son ancienne chef maintenant – qui se lève à son tour, contourne le bureau, le visage crispé, pour ouvrir ses bras et enlacer la jeune femme. Un peu gênée par cette démonstration d’affection, Mel reste gauche et raide, ce dont se rend bien compte la rédactrice.

    — Melanie, cool ! Je veux que tu prennes soin de toi ; je sais que tu as mal, mais essaie de ne pas faire de connerie. Moi, j’en souffrirais.
    — Je crois que vous seriez la seule ; ma famille m’a virée il y a quatre ans parce que je refusais d’épouser le connard de fils de leurs connards d’amis, et nos amis me fuient comme la peste depuis…
    — Comme si c’était ta faute, oui. La vérité est qu’ils préfèrent ignorer que la vie est fragile et que le malheur peut les frapper un jour comme tu l’as été.

    Mel a hoché la tête en reculant pour quitter la pièce, les yeux humides mais le corps glacé. Elle a rempli les papiers nécessaires pour mettre fin à sa collaboration au Tribune puis est revenue chez elle. Rien ne la retenait plus. Pas d’animal domestique, plus de plante verte. Rien. Les mains dans les poches de son sweat noir, elle quitte son appartement. L’appartement de Dylan.

    Quand Chris lui ouvre sa porte, elle est surprise de le voir si agité ; il ne la laisse pas entrer et l’attire à lui malgré sa résistance. Toujours aussi crispée, la jeune femme se retrouve entourée par les bras puissants ; elle pose enfin sa joue contre l’épaule du grand blond alors qu’il murmure à son oreille :

    — Oh Mel ! Je suis navré, je ne savais pas, c’est horrible. Jason était un chic type, vous formiez un couple génial. Je ne sais pas comment tu as pu traverser tout ça, mais je peux…
    — Non, s’il te plaît, Chris… Ne dis rien, ça va rendre les choses encore plus difficiles pour moi. Et j’ai pas besoin de ça.
    — Ecoute, j’ai contacté mes réseaux et je n’ai trouvé personne de dispo actuellement. Je te propose quelque chose de simple : je te garde. Pas comme coloc ou amie, mais comme soumise et servante.

    Mel se détache de lui, furieuse ; ils sont toujours dans l’entrebâillement de la porte mais elle s’en fiche.

    — Je ne veux pas de ta pitié, ni de ton amour. Je veux disparaître, c’est tout ; je n’ai pas le courage de me suicider, je suis nulle, je trahis Jason…
    — Parce que tu crois que Jas aurait voulu que tu meures avec lui ? Tu le connaissais, ton mari, ou tu te fais un roman ? Jas aurait voulu que tu t’accroches, que tu vives, que tu ries à nouveau. En sa mémoire. Je le connaissais depuis plus longtemps que toi, tu le sais. Tu lui fais honte en te complaisant dans le désespoir et l’envie de mort. Tu le trahis maintenant en refusant de comprendre ce qu’il était vraiment. Et tu n’entreras pas chez moi tant que tu ne changeras pas.

    Il recule, le regard inflexible, et claque la porte brutalement. Les yeux dans le vague, Mel marche dans Manhattan. Elle ne sait plus rien. Le cerveau en miettes, elle marche.

    Chris est resté le front contre la porte, les yeux clos. Il prie ; il ne croit pas en Dieu depuis bien longtemps, mais il prie. Sa décision, prise en un éclair sur une intuition, lui a coûté plus qu’il ne l’admettra jamais. Si elle ne revient pas, s’il l’a poussée à mettre fin à ses jours en lui posant cet ultimatum, il ne le supportera pas. Il l’aime depuis toujours ; il a souffert quand elle a choisi Jason, mais il sait aussi qu’il n’était pas prêt alors. Et maintenant il l’a fichue dehors et il se ronge les sangs ; il prie.

    Trois coups à la porte, timides car il les entend à peine alors qu’il est toujours appuyé contre elle. Chris se redresse, son cœur menaçant de rompre. Il lisse sa chemise blanche, passe la main dans ses longs cheveux indisciplinés, respire un grand coup. Il ouvre enfin la porte, l’air sévère.

    — Tu n’auras ni pitié, ni amour ; en revanche, tu auras ma protection pleine et entière si tu m’accordes ta confiance. Me l’accordes-tu ?
    — Oui Monsieur.
    — Bien ; déshabille-toi.

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  • Moi, c’est Luc. J’ai 18 ans depuis quelques semaines. Je suis blond, pas particulièrement bien foutu, ni particulièrement intéressant comme gars, mais bon, je ne vais pas vous raconter qui je suis de A à Z. Pour ça, il y a ma biographie, en vente chez tous les bons libraires… Ou pas.

    Bref ! J’ai une amie, ma meilleure amie, Carole. Elle est plus jeune que moi de seulement quelques mois. Habitant le même quartier depuis notre naissance, elle et moi avons appris à devenir inséparables. On nous demande souvent quand on se décidera à sortir ensemble, mais non, jamais, impossible ! Non pas qu’elle soit moche ou quoi que ce soit, c’est juste qu’elle est ma meilleure amie, et jamais je ne verrais l’amour se mêler à ça. De toute façon la question ne se pose pas, vu qu’elle a un copain.

    Depuis que j’ai 18 ans, et le permis, on a pu élargir le périmètre des sorties. Aujourd’hui samedi, on va au centre commercial. J’aime pas vraiment ça, mais ça me fait plaisir de rendre service à Carole. Elle veut faire des achats, parce que c’est bientôt les 18 ans de son copain, et elle voudrait lui faire une surprise.

    On fait plusieurs boutiques, je ne sais pas trop ce qu’elle cherche, mais visiblement c’est pas là qu’elle le trouvera. On passe à côté d’une boutique de sous-vêtements pour femmes. Carole s’arrête devant et y entre.

    « Carole, je croyais que tu cherchais un truc pour ton copain ?
    _ Oui, justement !
    _ Oh… Je vois, je vois…
    _ Viens avec moi, tu m’aideras à choisir ! »

    C’est un peu gêné que j’entre, et la suis entre les allées. Elle me demande mon avis sur plusieurs modèles de petites culottes et de soutien-gorge. Evidemment, je les trouve tous très bien. N’arrivant pas à faire de choix, elle se charge les bras de modèles en tout genre. Et lorsqu’elle n’arrive plus à tout porter, c’est à moi qu’elle demande de les lui tenir.

    Elle décide enfin d’aller essayer tout ça. Ca va prendre des heures… Elle me demande de l’attendre à côté des cabines d’essayage. Une fois le rideau tiré, je l’entends se déshabiller, puis successivement essayer ce qu’elle a pris. Je l’entends faire des petits commentaires : « Mouais bof… Ah celui-ci ça va… Ca me va pas… ».

    Je ne sais pas où elle en est, mais j’imagine que je peux encore attendre… Ah non ! Elle tire le rideau :
    « Bon, Luc, il faut que tu me dises ce que tu en penses !
    _ Euh… »

    Carole se tient devant moi, en sous-vêtements. Même si je l’ai déjà vue en soutif, là c’est différent. Elle me demande si cet ensemble est bien, il faut entendre par là s’il plaira à son copain. J’ai du mal à avoir un avis, étant donné que c’est ma meilleure amie qui l’essaie. Mais elle est vraiment belle en petite tenue.

    « Ouais… Moi j’aime bien.
    _ OK… »

    Elle tire le rideau, retire l’ensemble qu’elle vient de me montrer, en enfile un autre, pui rouvre le rideau.

    « Et celui-là ? »

    Là, elle porte un string, qui met bien en valeur ses fesses. Le soutien-gorge aussi remplit bien son rôle : ses seins ont l’air plus gros… J’oublie qu’elle me demande mon avis.

    « Dépêche-toi Luc, ça me plait pas que tout le monde puisse me voir…
    _ Oui pardon… Celui-là est vraiment pas mal ! »

    Elle hésite un peu. Elle me tire alors par le bras dans la cabine et referme le rideau.

    « On ira plus vite si tu es avec moi dans la cabine, j’en ai encore plein à essayer !
    _ Ouais enfin, ça va pas être pratique, c’est pas très grand.
    _ Oui… Bon retourne-toi que j’essaie le suivant ! »

    Je m’exécute. C’est là que je constate que je suis face à un miroir, et Carole aussi. Autant dire que je peux tout voir. Je la vois donc, seins nus, ses petits tétons à l’air. Mais cela ne s’arrête pas là. Elle retire maintenant le string, et la voilà nue comme un ver. Son pubis est bien épilé. Je n’arrive pas à en détourner mes yeux. Ce n’est que quand elle a enfilé un nouveau modèle de string que je retrouve mes esprits. Le soutien-gorge à peine agrafé, elle me dit de me retourner pour me demander ce que j’en pense. Mais avant que je ne puisse lui répondre, elle dit :

    « Ah merde, en fait tu as pu tout voir avec ce miroir !
    _ T’inquiète, j’ai pas regardé, lui dis-je avec un grand sourire.
    _ Merci ! Alors, tu en penses quoi ?
    _ Tu es bien sexy comme ça !
    _ Merci Luuuuuc ! »

    Comme il ne sert à rien que je me retourne, elle se déshabille face à moi. C’est donc sans l’intermédiaire du miroir que je vois maintenant son corps nu. Je dois bien avouer la trouver très belle.

    Elle me demande son avis sur différents modèles, plus sexy les uns que les autres. J’ai particulièrement aimé celui qui était un peu transparent. Pour un des soutien-gorge, elle fait une remarque particulière :

    « J’aime bien celui-ci, mais il a une texture un peu bizarre, touche ! »

    Le toucher alors qu’elle le porte sur elle ? Avant d’avoir pu répondre quoi que ce soit, elle me prend les mains et les pose sur ses seins. Je ne me gêne alors pas pour les malaxer un peu.

    « Hé ! N’en profite pas non-plus !
    _ Désolé.
    _ Pas grave. Alors, tu trouves pas que c’est un peu bizarre ?
    _ Non, je trouve pas… »

    Le plus bizarre, en vérité, c’est d’avoir pris en main les seins de ma meilleure amie. Elle se déshabille à nouveau, en me déclarant que c’est le dernier. Ouf, enfin !

    Le dernier mais non des moindres ! Le peu de matière qui compose cet ensemble est à faire mourir d’envie. Honnêtement, si ça n’avait pas été Carole, j’aurais laissé mes pulsions de mâle s’exprimer.

    « Alors ?
    _ Franchement ? Il va adorer, ton copain !
    _ Tu crois ?
    _ Oh oui ! Tu es bien sex comme ça ! »

    Je crois que je l’ai un peu troublée en disant ça. Elle devient toute rouge. Elle enlève le soutien-gorge, puis se penche pour retirer le string, mais elle perd l’équilibre et se retient en arrivant contre moi. J’aime bien l’avoir nue, contre moi, ce n’était encore jamais arrivé…

    « Luc dis-moi… tu es en train de bander ?
    _ Euh… excuse-moi…
    _ C’est moi qui te mets dans un état comme ça ?
    _ Ben…
    _ Désolée. »

    Elle se rhabille vite, et va payer ses achats. Très peu comparé à ce qu’elle a essayé.

    On retourne à la voiture, pour rentrer. Sur le chemin, elle va s’excuser encore une fois.

    « Désolée encore de t’avoir mis dans tous tes états.
    _ Tu ne vas quand même pas être désolée d’être sexy Carole ?
    _ Mais tu es mon meilleur ami, je ne devrais pas être une source d’excitation pour toi !
    _ C’est pas grave tu sais ?
    _ Si tu le dis… D’ailleurs, tu bandes encore ?
    _ Oui…
    _ Je peux te demander quelque chose ? »

    Devant mon absence de réaction, elle me dit quand même :
    « Luc, j’aimerais faire une fellation à mon copain, mais je lui en ai encore jamais fait. Je me suis dit que, enfin… tu vois… tu serais d’accord ? »

    Je garde les yeux rivés vers la route, n’osant regarder Carole.

    « Luc ?
    _ Tu es en train de me demander de me sucer ?
    _ Je veux pas avoir l’air nulle avec mon copain…
    _ Mais comprend moi, tu es ma meilleure amie, je me vois pas faire ça avec toi ! C’est comme si un pote voulait me le faire…
    _ Ouais… t’as raison. Excuse-moi… »

    Nous finissons le trajet de retour dans le silence. Je la dépose chez elle avant de rentrer chez moi. Une fois à la maison, j’essaie de me mettre à travailler pour les cours, mais avec l’après-midi qui vient de se passer, j’ai du mal à me concentrer sur ce que je fais.

    Et lorsque je décide d’aller me coucher, c’est pareil. Pas moyen de trouver le sommeil. J’ai toutes ces images de Carole en sous-vêtements dans la cabine d’essayage, tout près de moi, bandant comme un con. Mais le pire, ce n’est pas le souvenir mais l’imagination : j’ai des flash où je la vois en train de me sucer. En d’autres circonstances, ça ne m’aurait pas dérangé, mais là c’est de Carole qu’il s’agit. Vous vous imaginez faire ce genre de choses avec votre meilleur(e) ami(e) ?

    Il n’empêche que je bande quand même. Et que malgré moi j’ai commencé à me masturber. Et puis merde, pourquoi avoir des remords de me palucher en pensant à elle ? C’est une fille après tout. Plus je me branle, et plus le souvenir des seins et du joli cul de Carole m’excite. Et savoir qu’elle était prête à me sucer me fait vite atteindre l’apothéose, l’orgasme.

    Au quotidien, mes relations avec Carole n’ont pas vraiment changé, comme si elle ne m’avait jamais demandé de me sucer. Notre complicité n’en a pas souffert, au contraire. Elle me fait totalement confiance, pour tout. Elle s’autorise même à se changer en ma présence, sans qu’il n’y ait d’arrières pensées.

    L’anniversaire de son copain arrive, auquel je suis invité. La fête est plutôt sympa, et il y a pas mal de monde. L’alcool est omniprésent et peu à peu, tout le monde commence à ressentir son effet, moi compris. Pardonnez donc si la suite de ce que je vais raconter semble un peu décousue.

    Après avoir bu ce qui devait être ma sixième bière d’affilée, je me précipite aux toilettes. C’est dingue quand même de boire 2 litres et d’en pisser 4 ! Mon affaire faite, je me dirige vers les personnes que j’ai quittées pour continuer à picoler, mais j’entends des chuchotements provenir d’une pièce à côté. Je vais voir qui est dedans. C’est une scène à laquelle je ne m’attendais pas qui se révèle à mes yeux.

    Sur un lit double, je vois Carole portant les sous-vêtements qu’elle a achetés avec moi, en train d’offrir une fellation à son copain. Je devrais les laisser, mais je préfère continuer à regarder. Elle qui avait peur d’être nulle, j’ai plutôt l’impression qu’elle s’en sort bien. Je dois dire que la voir faire ça, ça m’excite pas mal ! C’est pourquoi je continue à regarder.

    Cette pipe continue un petit moment, puis ils s’interrompent pour retirer ce qui leur reste de vêtements. Doucement Carole se fait dépuceler par son copain, moi les espionnant. Après avoir eu mal au début de la pénétration, je vois que peu à peu, elle prend du plaisir, ses gémissements en témoignant.

    La bite à la main, tout en faisant attention que personne n’arrive, je me branle en m’imaginant que c’est moi qui dépucelle Carole.

    Alors que son copain se retire de son vagin pour aller se terminer sur ses seins, je sens la sève monter, et j’éjacule en même temps que lui. Les deux tourtereaux échangent ensuite un long baiser, pendant lequel j’en profite pour m’éclipser.

    Je retourne à la fête, et me tape de nouveau pas mal de bière et différents alcools, avant de m’endormir sur un canapé.

    Le lendemain matin, vers 14h (hum hum) j’émerge enfin. Quelques fêtards sont encore là, tout autant la tête dans le brouillard que moi. On débriefe nos capacités de buveurs, nous surestimant souvent.

    Plus tard, une fois que je suis sûr d’avoir bien décuvé, je ramène Carole chez elle en voiture. Nous discutons de la soirée. Carole me dit :
    « Tu sais quoi ? Je l’ai fait avec mon copain !
    _ Ah ? Cool, je suis bien content pour toi ! »

    Je fais mine de ne pas le savoir, bien que j’ai encore les images que l’alcool n’a effacées.

    « J’appréhendais, mais maintenant que je l’ai fait, je me sens beaucoup mieux !
    _ C’est normal d’appréhender, mais souvent on se fait du soucis pour rien.
    _ Ouais… D’ailleurs tu as trouvé que je m’y prenais bien ?
    _ Comment ça ?
    _ C’est bon, joue pas l’innocent, j’avais bien remarqué que tu nous as espionné. »

    Je ne sais pas quoi répondre, je suis rouge comme une tomate. Je n’ose affronter le regard de Carole, je reste à fixer la route.
    « Je ne t’en veux pas pour ça, t’en fais pas. Alors, tu m’as trouvée comment ?
    _ Euh…
    _ C’est pas une réponse ça !
    _ Excuse-moi, mais c’est un peu gênant comme situation…
    _ Ca n’a pas eu l’air de te gêner de te branler pendant qu’on baisait. »

    Alors là j’ai bien l’air d’un con. Je passe pour un vicieux.

    « Dis-moi Luc, j’ai l’impression que depuis quelque temps je t’excite un peu, non ?
    _ Non, euh… non.
    _ Tu es sûr ?
    _ Ben…
    _ Par exemple, comme ça, tu es excité ? »

    Elle accompagne sa question par le retrait de son t-shirt, sous lequel elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle est seins nus, à côté de moi, qui dois me concentrer sur la route.

    Je m’arrête sur le bord de la route.

    « Carole, tu joues à quoi là ?
    _ A rien, je veux juste savoir si tu bandes.
    _ Quand bien même je banderais, qu’est-ce que ça pourrait faire ?
    _ Dis-moi juste.
    _ Ben oui, comment voudrais-tu que non ?
    _ Il me semble légitime que si je t’excite malgré toi, je t’aide à te désexciter non ? »

    Je la regarde, incrédule. Je suis abasourdi par ce qu’elle me dit. Je n’ai même pas la force de m’opposer lorsqu’elle approche sa main de ma braguette et qu’elle sort de mon caleçon ma bite dure à cause (grâce à ?) elle. Et la voilà qui commence à me branler, et j’aime ça…

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  •  En ce début de nouvelle année, je passe quelques jours chez mes parents. Ma sœur est là elle aussi. Nous avons reparlé de ce que nous avons fait la nuit de noël avec notre cousine Céline (voir mon récit : Mes cousines et moi VI). Ma sœur m’a avoué que cela l’avait beaucoup excité. J’avoue que moi aussi j’ai été très excité par la situation et j’aimerais vraiment qu’on baise ensemble. Ma sœur m’a dit qu’elle avait pris une décision. J’avais hâte de savoir laquelle mais notre discussion a été interrompu par l’arrivé de notre mère.

    Après avoir diné, nous sommes tous devant la télé. Mes parents sont dans un canapé et ma sœur et avec moi sur l’autre canapé. Comme d’habitude il n’y a rien à la télé mais je reste car ainsi je peux câliner ma sœur. Je suis allongé sur le dos et ma sœur est contre moi. Nous sommes sous une couverture pour être bien au chaud. Mais parents sont installés à peu près de la même manière. Malgré la couverture, je peux voir que mon père ne se prive pas pour caresser la poitrine de ma mère. Cela doit faire une heure que nous sommes devant la télé lorsque mes parents se lèvent et nous disent qu’ils vont se coucher. Ils doivent croire qu’on a encore deux ans des fois, car nous ne sommes pas dupes. Nous savons bien qu’ils vont baiser !

    Nous voici seuls avec ma sœur. Nous attendons un peu et quand au loin nous entendons les gémissements de ma mère, ma sœur se retourne pour me faire face. Ses yeux bleus plongent dans les miens et son 90C s’écrase contre ma poitrine. Là elle me dit qu’elle n’a pas eu le temps de me donner sa réponse l’autre jour. Je confirme et elle répond qu’après ce que nous avons fait avec Céline, elle a très envie de le faire avec moi car la situation de l’autre jour l’a beaucoup excitée. Ma bite fini de se dresser entièrement et frotte contre le ventre de ma sœur. Ma sœur passe ses bras derrière ma tête et nos lèvres se rapprochent. Je passe une main dans son dos et l’autre commence à caresser son magnifique cul, si généreux et ferme. Ce baiser est torride ! Nos langues se mêlent et nos corps se frottent. Elle ne porte que sa nuisette ce qui me permet de passer facilement mes mains dessous pour sentir la chaleur de son corps. Je bande comme un âne et à travers sa culotte, je sens l’humidité de sa chatte. Nous nous caressons et nous embrassons depuis un long moment, si long que l’on fini par s’apercevoir que nous n’entendons plus nos parents. Effectivement cela fait presque deux heures que nous sommes là. Je commence à lécher ses seins mais ma sœur à peur que l’on se fasse surprendre si jamais l’un de nos parents descendait. Nous montons donc dans sa chambre car c’est la sienne qui est le plus loin de celle de nos parents.

    Nous entrons et elle verrouille la porte. Pendant qu’elle fait cela, je ne peux m’empêcher de regarder son cul. Je la plaque contre la porte et me frotte contre elle et surtout ma bite contre son cul. En même temps, je fais glisser les bretelles de sa nuisette. Je la laisse se retourner pour découvrir sa magnifique poitrine. Elle me sourit et m’enlève mon T-shirt. Dans la foulée, elle se met à genou devant moi et baisse mon caleçon. Elle saisit ma bite et l’enfile dans sa bouche. Je suis aux anges ! Ma sœur est devant moi et me suce la bite comme une salope et mon dieu qu’elle suce bien. L’excitation et son talent pour la pipe me donne rapidement envie de jouir. Je lui dis et elle répond qu’elle a adoré le gout de mon sperme l’autre jour. J’inonde donc sa bouche. Elle avale tout puis m’entraine sur le lit. Nous nous câlinons un peu mais rapidement je dirige ma bouche contre ses seins. Je lèche les seins de ma sœur à pleine bouche et je les palpes à pleines mains. Les gros seins de ma sœur pointent fièrement.

    Je descends ensuite vers sa chatte. Lorsque j’arrive au niveau de sa culotte, je remarque que celle-ci est littéralement trempée. En la passant sous l’eau on n’aurait pas fait mieux. Je lui enlève tout en caressant ses longues jambes qui lui permettent d’attendre 1m76. Puis je titille son clito et je lèche sa chatte. J’entame un long cunni qu’elle semble adorer puisqu’elle plaque ma tête contre elle avec ses mains. Je la lèche depuis un bon moment lorsqu’un jet de cyprine sort de sa chatte. Elle place un oreiller sur sa bouche pour ne pas hurler. Son corps se contracte avant de se relâcher dans une série de spasme.

    Soit je ne l’ai pas remarqué l’autre jour, soit elle n’avait pas tant jouis mais ma sœur est une femme fontaine ! Je me redresse. Je bande de nouveau très fort. Ma sœur regarde ma bite avec envie et me dit qu’il est grand temps que je la fourre avec ma bite. Sa position préférée étant la levrette, c’est tout naturellement qu’elle se met à quatre pates sur son lit. Je me place derrière elle et je caresse son cul et ses hanches. Elle est tellement trempée que ma bite entre facilement en elle. Ca y est, je suis enfin dans le ventre de ma sœur. Mes couilles touchent son cul et ma bite et au fond de sa chatte toute chaude et humide. Ma sœur tourne la tête et me lance un regard à la fois coquin et complice. J’agrippe ses hanches et je commence à la sauter. Mes couilles frappent son gros cul. Pour ne pas hurler et réveiller nos parents, elle met sa tête dans l’oreiller. Je la fourre violement et je caresse ses gros seins qui vont d’avant en arrière en rythme avec mes coup de bites. Je vois aussi son cul qui rebondi en même temps que mes couilles le frappe. J’ai alors très envie de la sodomiser et je sais qu’elle aime ça. J’enfonce donc un doigt qui entre comme dans du beurre dans son cul.

    Elle me regarde et me dit de lui bourrer le cul comme une salope. Je sors donc ma bite de son vagin et j’enfonce ma bite dans son cul qui s’ouvre au fur et à mesure que ma bite s’enfonce. Une fois arrivé au bout, je recule et commence de puissants va et viens. Elle couine et remet sa tête dans l’oreiller. En même tant que je l’encule, je lui caresse un peu la chatte. C’est alors qu’elle ouvre sa table de nuit et sort un gode qui a environ les mêmes dimensions que ma bite. Elle se l’enfonce directement dans la chatte. Elle se gode un moment puis j’attrape sa main pour lui imposer mon rythme. Finalement elle me laisse la maitrise du gode. Je la prends donc par tous les trous. Je sens que son corps est de plus en plus raide et soudain elle atteint l’orgasme. J’entends un immense cri étouffé par l’oreiller et je vois une énorme quantité de cyprine sortir de son corps en même temps qu’elle s’effondre sur son lit. Elle se vautre dans sa mouille. Comme elle ne bouge pas, je l’attrape par la hanche et la retourne. Son regard est un peu dans le vide et elle me regarde avec complicité. Comme j’ai envie de jouir, je me place sur elle et je frotte ma bite entre ses seins. Je suis si bien dans son 90C que je jouis sur ses seins. Puis je me blottis contre elle. Nous nous câlinons un peu puis elle me dit qu’il vaudrait mieux que j’aille dans ma chambre. Je l’embrasse une dernière fois et quitte son lit qui est trempé de mouille et de sperme.

    Le lendemain, lorsque je me réveille, il est assez tard. Je descends prendre mon petit déjeuner et trouve ma sœur en nuisette dans la cuisine. Je sais que mon père est parti travaillé et Alexandra m’apprend que notre mère est partie faire des courses. Je m’approche d’elle pour la saluer mais nous ne nous faisons pas la bise comme d’habitude. Nous nous embrassons sur la bouche. Je remarque que ma sœur sent la mouille et la bite. Cela m’excite tout comme le fait de voir son cul à peine couvert devant moi pendant qu’elle nettoie son bol. Lorsqu’elle a fini, elle me jette un regard coquin et se dirige vers moi. Elle se glisse sous la table. Je sens alors la chaleur de sa main sur ma bite puis rapidement, c’est celle de sa bouche que je ressens. Ma sœur me suce comme une salope sous la table.

    Au bout d’un moment, elle sort de sous la table et s’assois à cheval sur moi. Elle m’embrasse puis je plonge ma tête dans ses seins que j’ai déjà sortis de la nuisette. Elle n’a pas de culotte et je sens sa mouille qui commence à couler sur mes cuisses. Je la fais s’assoir sur le rebord de la table puis je la suce. Ma langue récupère ce délicieux nectar. Je lui fais un cunni. J’ai envie de la prendre sur la table mais c’est une table haute et je ne suis donc pas à la bonne hauteur. Ma sœur me propose alors de réaliser un de ses fantasmes : baiser dans la chambre de nos parents. Après tout nous avons été conçu la bas alors c’est en quelque sorte un retour aux sources !

    Nous nous allons donc dans la chambre de nos parents. Ma sœur s’allonge sur le dos dans le lit. Je viens me placer sur elle. Je bande encore devant sa beauté. Nous nous frottons l’un a l’autre tout en nous embrassons. Puis je sens la main d’Alex qui attrape ma bite et qui la dirige vers sa chatte. Je m’enfonce donc en elle. Je la bourre avec tendresse alors que nous nous embrassons toujours. Puis l’excitation et le désir gagnent du terrain et je la saute avec force. Ma sœur n’a pas à ce retenir comme hier et elle hurle de plaisir. Pendant que je la fourre, je lèche ses seins. Je suis tout proche de l’orgasme et ma sœur aussi. Seulement, nous ne voulons pas inonder le lit parental. Nous décidons donc de sortir de leur chambre. Mais avant de partir, nous ne pouvons pas nous empêcher de fouiller un peu. Nous trouvons de la lingerie très sexy appartenant à notre mère, des sextoys, des menottes et même une caméra et des dvd !

    Nous allons dans la salle de bain car comme cela ma sœur pourra en mettre partout sans problème. Je commence à faire couler de l’eau dans la baignoire. J’entre dedans et ma sœur fait de même. Je m’allonge sur le dos. Alexandra se place au dessus de moi. Je commence à caresser sa chatte et ses seins. A cet instant elle attrape ma bite et se baisse sur moi. Mais à ma grande surprise, elle ne met pas ma bite dans sa chatte mais dans son cul que j’ai un peu caressé en venant dans la salle de bain. Ma bite frotte entre les globes généreux de ses fesses. Puis soudain, elle se laisse tomber sur ma bite. Elle me chevauche avec force tandis que je lui enfile trois doigts dans la chatte et que je caresse ses seins. Elle hurle de plaisir et je suis moi aussi très excité par la situation. De plus, ma sœur va tellement vite sur ma bite que je ne tarde pas à éjaculer dans son cul. Elle est très excitée de sentir mon sperme couler dans ses fesses et cela déclenche chez elle un orgasme. Elle jouit et je reçois une importante quantité de cyprine pendant qu’elle crie de bonheur. Elle est prise de spasmes puis se laisse tomber sur moi.

    Elle me lèche un peu car elle m’avoue qu’elle adore le gout de sa mouille. Puis nous restons un moment l’un contre l’autre, totalement nu. Nous sommes malheureusement interrompus par le retour de notre mère. Ma sœur part alors immédiatement dans sa chambre tandis que je fais couler l’eau et que je rince la baignoire. Nous n’avons pas eu l’occasion de baiser avant que je reparte chez moi mais nous en avons tout les deux très envie donc à la prochaine occasion nous ne nous priverons pas !

    A l’occasion des vacances de Noel, ma sœur et moi nous avons passé une semaine chez nos parents. Comme ces derniers avaient chacun des vacances, nous avons eu l’occasion de passer du temps ensemble. Mais ces vacances ont aussi été l’opportunité pour ma sœur comme pour moi d’aller voir des amis d’enfance. J’ai donc passé une soirée avec quelques amis de longue date. Une soirée tranquille et surtout sans sexe, ce qui est très rare pour moi ! Cependant, en rentrant à la maison, j’ai eu une énorme surprise qui m’a permis de compenser.

    En arrivant devant la maison, je vois la voiture d’Emmanuelle, une très bonne amie de ma mère. J’entre donc dans la maison et c’est alors que j’entends des bruits pour le moins inhabituels. En fait, j’entends des femmes couiner de plaisir. Je m’avance donc discrètement dans l’obscurité vers le salon d’où provient le bruit. C’est alors que je découvre mes parents et l’amie de ma mère en plein trio. Ma mère est allongée sur la table les cuisses grandes ouvertes. Elle caresse son 95C pendant que Manu lui bouffe la chatte. C’est la première fois que je la vois nue et même si elle ne m’a jamais vraiment excité, elle est quand même bien baisable ! Elle a à peu près les mêmes mensurations que ma mère sauf qu’elle a un cul plus gros et qui semble moins ferme. Elle est donc debout en appui sur la table et elle fait un cuni à ma mère pendant que mon père l’agrippe par les hanches et la culbute violement. A les voir faire, je suis sur que ce n’est pas la première fois qu’ils font un trio !

    Evidement la situation m’excite. Le visage de ma mère se crispe sous les coups de langues d’Emmanuelle et sous les mains de mon père qui caresse ses jolis seins. Elle est super belle, allongée sur la table en train de prendre son pied. Je suis tellement absorbé par la scène, que je n’ai pas entendu Alexandra arriver derrière moi. Ma sœur s’arrête à coté de moi et semble toute aussi surprise que je l’ai été. Elle se place juste devant moi. Je me colle à elle pour qu’elle sente ma bite toute dure contre son gros cul bien ferme. Elle porte une robe qui s’arrête mi cuisse. Celle-ci est assez décolletée et elle porte un gilet par-dessus. Je passe ma main sur ses hanches et je remonte pour tripoter ses seins. Nous sommes très excités. Elle fini par se retourner et nous nous embrassons tendrement. Elle passe ses bras autour de moi puis une de ses mains viens ouvrir ma braguette pour sortir ma bite. Elle me susurre à l’oreille qu’elle veut me sucer ici puis elle s’agenouille devant moi.

    J’hésite à la repousser mais la situation est terriblement excitante. Il n’y a qu’une cloison qui nous sépare de nos parents qui font un trio avec une femme. La porte est ouverte et je suis debout au milieu du couloir en train de me faire sucer par ma sœur. Et bon dieu qu’elle suce bien ! C’est une des meilleures suceuses que je connais. Elle aspire toute ma bite dans sa jolie bouche. Cette pipe incestueuse me procure un immense plaisir. Avec mes mains, je caresse son visage et je sors ses magnifiques seins de sa robe. Je les caresse tendrement. Vu comme elle pointe, elle est très excitée elle aussi. Elle se redresse et me demande de la prendre sur place. J’ai envie de lui faire un cunni mais elle me répond qu’elle ne peut plus attendre et que sa chatte est suffisamment humide. Effectivement, lorsque je plonge un doigt dans son string, celui-ci ressort tout mouillé. Ma sœur se place dos au mur. Je relève sa robe, baisse ses collants et son string et je m’approche d’elle. Elle m’embrasse et passe ses bras autour de mon cou. J’insère enfin ma bite dans sa chatte. Je tiens ses hanches mais la pénétration n’est pas simple à cause de ses collants et de mon jean qui nous empêchent d’écarter les cuisses et de nous approcher. Elle quitte totalement ses collants pendant que je fais de même avec mon jean. Puis nous nous remettons dans la même position sauf que je pénètre sa chatte plus confortablement et plus profondément. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Je la culbute encore plus fort. Elle ne touche plus le sol et seuls mes mains sous son cul et le mur la soutiennent. Ma bite s’enfonce profondément en elle et elle prend son pied. Pour ne pas hurler, elle mord mon épaule pour étouffer ses cris.

    Comme nous sommes près de la porte, il me suffit de tendre le cou pour voir où en sont nos parents. Mon père est allongé sur le sol. Ma mère est empalée sur sa bite et Emmanuelle fourre le cul de ma mère avec un gode ceinture ! Soudain ma sœur tire ma tête vers elle et m’embrasse fougueusement. Je continue de sauter ma sœur lorsque j’entends ma mère dire qu’elle va chercher un autre gode dans sa chambre. Je sors soudain de ma sœur et nous avons juste le temps de nous cacher dans la pièce d’à coté. Nous devons attendre que notre mère repasse avant de pouvoir partir. Nous sommes collés l’un à l’autre et je me laisse tomber pour que ma bouche soit à la hauteur de la chatte de ma sœur. J’entame donc un cunni que je stoppe lorsque ma sœur me dit qu’elle entend à nouveaux des gémissements.

    Nous décidons d’aller prendre une douche tout les deux. Ma sœur entre la première et je la rejoins quelques minutes plus tard. Le magnifique corps de ma sœur et là, juste devant moi. Nous nous embrassons et nous nous caressons mutuellement un long moment. Je caresse les fesses d’Alexandra avec de plus en plus d’insistance lorsque qu’elle me demande de l’enculer. Elle prend appui sur le rebord de la baignoire. Je me place derrière elle et j’enfonce ma bite d’un coup sec. Je ne prends pas plus de précaution car je sais que mes caresses l’on excité et que comme c’est une salope, elle est habituée de se faire par derrière. Je la baise de plus en plus fort. Nos corps s’entrent choc à chaque coup de bite. Elle couine mais ce n’est pas grave car nos parents sont à l’autre bout de la maison et ils font plus de bruit que nous. Après de longue minutes de sodomie, elle se contracte et jouis. De longs jets sortent de sa chatte en même temps que des jets de spermes sortent de ma bite pour aller dans son cul. Nous finissons notre douche et chacun va dans sa chambre. Juste avant d’entrer dans la sienne, elle m’embrasse une dernière fois et me dit qu’elle m’aime.

    Je suis dans mon lit depuis une demi-heure lorsque j’entends ma porte s’ouvrir. Je crois que ma salope de sœur veut encore se faire baiser mais il s’agit de ma mère qui entre. Elle me dit qu’Emmanuelle passe la nuit avec mon père. Ce dont je me doutais étant donné que je l’entends couiner. Lorsqu’elle s’allonge près de moi, je remarque qu’elle est entièrement nue. Je le suis aussi mais malgré tout, nous nous enlaçons. Elle vient de prendre une douche et elle sent super bon. Je caresse doucement la peau douce de son dos tandis qu’elle pose sa tête contre mon torse. Ses seins viennent eux aussi s’écraser sur ce dernier. Elle me dit alors :
    «
    - Tu as encore baisé ta sœur !
    - Qu’est ce que tu racontes ?
    - Ne fais pas l’idiot, je suis tombé sur des récits sur un site d’histoires érotiques et j’ai très bien reconnu l’ensemble des personnages. En fait, ça n’a fait que confirmer certains doutes que j’avais !
    - Des doutes ?
    - Oui. Par exemple, je comprends mieux que tu es beaucoup plus proche de ta tante Sophie depuis quelques temps ou pourquoi tu n’as pas râlé pour aller passer du temps chez ta grand-mère avec tes cousines !
    - Au moins j’aurais plus besoin de te le cacher !
    - Tu n’as rien à me cacher mon chéri, je suis ta maman.
    - Et comment tu sais que j’ai baisé Alex aujourd’hui ?
    - A cause de la grande flaque de mouille qu’il y avait dans le couloir !
    - Tu ne m’en veux pas d’avoir baisé autant de femmes et surtout certaines de ma famille ?
    - Mais non mon bébé ! Déjà ton père et moi on est accro au sexe alors comme les chiens font pas des chats, il n’y a pas de raisons que ta sœur et toi soyez coincés ! Et puis pourquoi on n’aurait pas le droit de faire l’amour à des gens qu’on aime très fort ? »

    Sur ces paroles, ma mère s’est endormie contre moi alors que mon père démonte toujours Emmanuelle.

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  • Salut à tous !

    L'histoire que je vais vous raconter m'est arriver à mes 18 ans c'est à dire il y'a trois ans.
    Je fais 1 m 75 pour 78 kilo, je suis assez musclé même si le sport n'est pas trop mon truc (je suis flemmard) brun aux yeux gris.
    Pour les besoins de l'histoire, je m’appellerais Yanis :),

    Cette histoire m'est arrivé lorsque j'était au lycée en terminale, à cette époque ma meilleure amie était une fille portugaise de 18 ans : Catarina.
    Bon j'imagine que vous attendez la description donc je ne vous ferais pas attendre :) . Pour résumer c'est une BOMBE, le canon du lycée, le beau morceau, la bomba latina dont une bonne partie de notre lycée a déjà rêver coucher avec.
    Elle fait 1 m 72 brune tirant sur le blond avec de grand yeux noisettes dans lesquels on peut se perdre des heures, de longs cils et un sourire de folie qui me faisait immédiatement bander surtout quand il était accompagné d'une blague cochonne.

    Il faut dire que même si elle n'avait jamais eu aucune sorte de relations sexuelles (famille portugaise catholique oblige) elle était très libérée sur ce sujet et c'était souvent un de nos sujets de conversations. Niveau personnalité, elle est à la fois vivante, joyeuse et espiègle mais d'un autre côté elle a un côté un peu naïf et bête qui donne envie de la protéger....ou de la tringler brutalement selon les points de vues :).

    J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose...ah oui une description un peu plus chaud ;) ne vous inquiéter pas les gens !
    Il y'avait donc quelque chose d'assez unique chez elle qui la faisait connaître de tout le lycée...son cul... deux belles grosses fesses rondes et délicieusement bombés que je rêvais d'enculer. Ce boule de dingue était posé sur deux longues jambes aux cuisses de rêve, elle avait de larges hanches surmonté d'une fine taille et d'un ventre musclé et en plus de ça sa magnifique cambrure venait accentuer la rondeur de son superbe derrière...Et sa poitrine....que n'aurais je pas donner pour pouvoir saisir ces deux superbes sphères et me branler entre. Elle portait rarement des décolleté mais même sans, ses seins venait tendre le tissu et tout le monde reluquait ces deux délicieuses bosses avec envie.

    Lorsque je l'ai connu en troisième il faisait déjà du 95 C à 15 ans, entre temps ils avaient grossis et devaient être entre du C et D, j'avais eu l'occasion de les toucher par "mégarde" et j'avais pu constater que malgré leur taille ils étaient délicieusement ferme et tendre tout en restant doux, moelleux et chaud.

    Au début de nos années lycée j'ai éprouver des sentiments pour elle et nous avions commencer à flirter, malheureusement cela avait cesser du jour au lendemain sans aller plus loin que des séances de massages, caresses dans le dos ou le ventre . Je n'ai jamais su pourquoi et du me contenter du statut de meilleur ami.

    Au fil du temps mes sentiments s'étaient estompés mais parfois lorsque j'était chez elle et que je la voyais se pencher en avant dans la salle de bain m'offrant une vision sur ses fesses sensuelles j'avais soudain envie de me lever de lui baisser son jean et de violemment la baiser contre le miroir.
    En fait elle avait un corps fait pour la baise et elle animait souvent les discussions des autres garçons du lycée, beaucoup voulant se la taper et me demandant mon aide et mes conseils de par mon statut "privilégié". Toutefois à cause de sa famille elle refusait la majorité des avances plus ou moins subtile qu'on lui faisait

    Mon histoire commence le lundi de la rentrée après les vacances de décembre et les fêtes de fin d'année. Ce jour là j'arrive au lycée tôt comme à mon habitude, je vais parler à mes potes et on se racontent nos soirées des vacances pendant lesquels, alors que beaucoup on eu occasion de niquer je n'ai pu que tripoter une meuf à 5 h du matin complètement bourrer et ne réussissant ni à la doigter dans le bon orifice ni à bander (un échec total quoi)....Bref plusieurs mois que je n'ai pas baiser et quand Catarina m'a envoyer des photos d'elle en maillot de bain prise pendant son Noel en Thaïlande.....inutile de vous dire que je me suis astiquer la bite comme jamais ;)
    Je la cherche donc dans la cour du lycée mais impossible de la trouver, je lui envoie un message :
    - T ou ?
    La cloche sonne et je monte en classe, peu après je reçois
    - Chez moi j'ai pas cours le matin tu peux venir manger si tu veux, bisous :* ;)
    Une fois passez les 10 secondes où mon esprit s'est perdu dans un fantasme où il était question de la sodomiser dans le lit de ses parents, je me réjouit de son invitation (et de pouvoir revoir ce putain de corps) et j'accepte avec joie.

    Après la fin des cours je fonce chez elle, arrivé en bas de sa résidence je vais sonner quand une voix m'interpelle :
    - Hé mec salut ! ta passez de bonne vacances ?
    Je lève les yeux surpris, de l'autre côté de la grille se tient Antoine, une connaissance à moi du lycée, C'est un métis faisant 1 m 80 il a les yeux gris et les cheveux très court, il est plutôt musclé car il fait beaucoup de sport comme Catarina (et contrairement à moi ^^' ) Je m'étonne :
    - Ah..euh..salut Antoine qu'est ce que tu fais ici ? t'avais pas cours ?
    - Non moi aussi je commence l’après midi, j'était venu voir Catarina !

    Je déglutis rapidement, qu'est ce que c'est que cette histoire ? il n'est même pas dans sa classe et je les ais vu se parler que très rarement...
    - Ah bon ? pourquoi faire ??? lui dis je sur un ton un peu trop inquiet et paniqué.
    - Ah et bien on est ensemble en sport (au lycée les classes de sports ne sont pas les mêmes que les classes normales) et vu qu'elle avait rater le cours d'avant les vacances je suis venu lui faire rattraper. Me dit il en souriant.
    - Rattraper un cours de sport ? M'étonnais je.
    - Ben ouais on fait musculation donc il fallait que je lui transmette des fiches de la part du prof... Répond-t-il

    Je pousse un soupir de soulagement intérieur.
    -....et aussi que je lui montre certaines positions. Finit-il pendant que j'avale de travers
    Il poursuit :
    - Bon c'est pas tout ça mais je vais manger moi j'ai cours après
    - Ah OK...c'est sympa de lui faire rattraper le sport...
    - Ah ba c'est normal...qui refuserait ? enfin de toute façon avec le corps qu'elle a elle a pas besoin de sport pas vrai ? Me dit-il avec un clin d’œil en s'en allant.

    Je suis dans l'ascenseur avec une boule dans le ventre, que voulait-il dire ? personne aurait refuser parce que ça serait bête de pas aider une fille si gentil, sympa et mignonne ou bête de rater une occasion de faire quelque chose avec la bombasse dans la moitié du lycée veut faire son garage à bite ? et le commentaire sur le corps ? il parlait du fait qu'elle soit déjà musclé et mince ( à part ses formes, elle a une silhouette en sablier en fait) ou de ses magnifiques bosses ?
    pas le temps de m'interroger plus que je toque à sa porte, elle ouvre une seconde après et je me concentre pour ne pas rester bouche bée mais c'est difficile.

    Catarina est sublime, elle a un petit short de sport moulant et je peux détailler ses deux longues jambes fuselés à la peau brillantes et veloutés elle a les pieds nues, elle me fait un de ses sourire radieux qui rendrait sa joie de vivre au schtroumpf grognon et...mais qu'est ce qu'elle fait ? elle cache le haut de son corps avec une veste en jean de son cou à ses hanches qu'elle tiens serré contre elle , mais vue les deux admirables protubérances qui poussent à travers je doute qu'elle ait besoin de tenir la veste avec ses mains pour qu'elle reste en place. Je lève un sourcil mais je laisse les interrogations pour plus tard et m'avance pour lui faire la bise. Mais elle recule brusquement.

    - Salut t'es en avance ! attend moi dans le salon je m'habille !
    - Ah ok pas de problème. dis je en souriant.
    Elle me tourne le dos et se dirige vers sa chambre en me laissant bouche bée...elle était nue derrière sa veste ! j'ai à peine le temps d'apercevoir son dos cambrée et bronzée (sans la marque du bikini en plus, elle adonc bronzer en topless ) et un dixième de seconde de ses fesses en short moulant qu'elle disparaît de ma vue. Je vais m'asseoir dans le fauteuil du salon en me mordant le poing et en tentant de calmer ma violente érection quand soudain quelque chose m'interpelle...
    Putain...oh putain, OH PUTAIN ANTOINE il vient de descendre et elle était à moitié nue quand j'ouvre ??? MERDE putain c'est pas possible il se l'est faite ? l'enculé ! OK OK deux seconde je dois me calmer les apparences sont souvent trompeuse...il doit y'avoir une explication.

    Catarina entre dans la pièce une minute plus tard, comme d'habitude j'ai envie de lui sauter dessus même si malheureusement elle est habiller chaudement pour l’après midi (on est hiver après tout) et porte un pull en laine quoique assez décolleté à ma plus grande joie ainsi qu'un jean qui moule bien son gros cul ( au même temps elle peut mettre n'importe quoi elle aura toujours l'air d'une allumeuse la pauvre)
    - Désolé ! Dit elle en me faisant la bise pendant que je savoure la sensation de ses nichons frôlant mon torse et de ma main sur sa taille.
    - C'est pas grave...dit j'ai croiser Antoine en bas et quand je monte je te trouve à moitié nue, c'est normal ha ha ? lui répondis je avec un rire nerveux et un sourire forcé.
    - Ah oui il a flasher sur mon cul a la musculation et il est venu le découvrir plus en....profondeur.
    - QUOI ??
    - ha ha ha t'aurais vu ta tête, je rigole idiot !! entre mon cul et le monde il y'a ma famille, des fusils, des chiens voir des barbelés et je vais pas faire ça avec le premier venu..pour qui tu me prend. Finit-elle avec un petit air vexer me donnant envie de la bifler.
    - Ah....désolé ha ha
    - Bref il est juste venu me donner des feuilles et m'a proposer de me montrer les exercices que j'avait rater, du coup je me suis mit en tenue de sport et quand il est partit j'était en train de me changer mais t'es arriver. Explique-t-elle

    Nous nous asseyons sur le canapé et elle me dit qu'elle veut me montrer ses photos de vacances sur sa télé, elle va allumer sa télé et se penche pour manipuler le lecteur DVD me donnant une vue royale sur l’arrière de son jean qui moule a merveille ses deux grosses demis lunes, elle se redresse dans un mouvement sensuel en se cambrant sans se rendre compte de l'effet qu'elle a sur moi et sur ma bite calfeutré dans mon pantalon mais qui montre des signes de forte activité sismiques depuis 10 minutes.
    Catarina revient s'asseoir à côté de moi alors que j'ai poser un cousin sur ma bite pour cacher l'énorme bosse qu'elle provoque sur moi.

    Je tente de passer mon bras par dessus ses épaules mais elle esquive en se penchant en avant, elle n'est plus trop amatrice des contacts physiques prolongés depuis que je suis passer de "flirt" à "friendzone".
    Elle commence à faire défiler les photos sur sa télé en me décrivant ses vacances...extérieurement je l'écoute avec un sourire amical, intérieurement je l'insulte copieusement pour avoir préféré prendre plus de putain de photos en paysage plutôt que la bonasse qu'elle est en bikini. Soudain elle arrive à une vidéo prise la nuit à une sorte de fête avec plein de jeunes, elle se met à chercher fébrilement la télécommande pendant que j'observe l'écran.

    Le cameraman filme les gens danser, fumer, s'embrasser, boire, crier bref le mélange habituel d'une fête entre lycéens ou qu'elle soit sur terre.La caméra arrive soudain à l'image d'une fille en short en jean et tee shirt décolleté dansant sensuellement debout sur un table, autour d'elle un groupes de jeunes la regardent les garçons bavent littéralement, les yeux exorbités en la sifflant tandis que les filles le regardent avec envie. Je les comprends. La fille en question danse admirablement du ventre, agitant sa lourde poitrine et balançant son popotin bandant de droit à gauche...MAIS MERDE C'EST CATARINA CA !!

    Catarina change d'un coup de photo, ayant retrouver la télécommande, alors que mon pénis redoublant d'ardeur fait tomber le coussin qui le cacher. Je le remet précipitamment, heureusement Catarina n'a rien remarquer.
    - WWOOWWW c'est quoi ça !!! M'exclamais je avec une grand sourire
    - Non mais...euh...
    - Allez ! Dis je, je t'ai reconnu.
    - Rooo bon d'accord, c'était une soirée très arrosé, j'avais bu et on faisait un action ou vérité, voila t'es content ?
    - Hum et quel autres gages t'as du faire ?
    - Ben c'était chiant chaque fois que c'était au tour d'un garçon de choisir, j'écopais du gage, à part ça j'ai du en bécoter un ou deux, me laisser mettre une main, et retirer mon tee shirt....je croyais avoir effacer la vidéo... mais après ces gages là on a commencer a me demander des trucs bizarres du coup j'ai arrêter.
    J'ai sentis qu'elle ne me disait pas tout vu comment elle détournait le regard en rougissant.
    - Vas y fait voir la fin de la vidéo c'est tranquille !
    - Non mais t'es malade ou quoi !
    - Oh mais allez j'ai vu le début c'est bon ! en plus tu l'as dit toi même y'a rien de hard. Lui dis je avec mon plus beau sourire.
    - Non c'est non. Dit elle en croisant les bras, soulevant ses grosses mamelles.

    Je soupire...puis me jette sur elle pour lui arracher la télécommande des mains. Elle esquive en rigolant et je me met à la poursuivre dans le salon, je l'attrape en glissant mes bras sous ses aisselles en essayant de ne pas me retrouver la bite contre son divin tarpé ce qui s’avère difficile étant donné le volume du dit tarpé.
    Je finit par tomber en sol avec, moi adosser contre l'armoire et elle à demi allongé, demi assise entre mes cuisses, je l'entoure avec mes bras en la serrant.
    - Bon je te lâche que si tu me passe la télécommande.
    - Hum je ne crois pas que ce soit possible...
    - Au nom de la loi donne moi la télécommande
    Elle se tourne à moitié vers moi au moment ou je me rend compte que j'ai les bras serré autour de sa poitrine qui, congestionner vers le haut sous la pression de mes bras, prenait l'apparence de deux demis sphères gonflé au bord de l'explosion.
    - Je ne crois pas que ça soit possible monsieur l'agent...me dit elle en papillonnant des yeux et en frottant une de ses jambes contre la mienne.
    Catarina profite du fait que je sois troublé pour m'enfoncer son coude dans les côtes et s'en va au sautillant pendant que à terre, agonisant, j'observe ce cul glorieux s'éloigner, inaccessible. (insérer musique triste et pluie)

    Je la rejoint juste après dans la cuisine alors qu'elle nous prépare à manger, je m’assois sur une chaise afin de contempler son merveilleux profil, et alors qu'on discute je ne peut résister à la tentation, je sort mon téléphone et enclenche discrètement la caméra puis je pose mon téléphone caméra vers le haut sur mon pied et m'approche d'elle dans son dos plaçant mon pied sous ses fesses. Je l'attrape par les hanches et curieusement elle se laisse faire, elle se tourne alors vers moi en me souriant :
    - Va t'asseoir c'est prêt !
    Merde, j'aurais pu a peine filmer 10 secondes...

    L’après midi, on va en cours, sur la route les mecs se retournent à chaque fois sur son passage et la foule s'écartent sur son passage tel la mer rouge sur moise (oui mes métaphores sont originales mais je trouvai pas mieux là XD) arrivés au lycée on se sépare pour aller en cours et j'aperçois mon meilleur pote Daniel qui vient vers moi avec un grand sourire.
    - Salut gros ! alors les vacances ? wow je viens de voir passer Catarina...elle est toujours aussi bonne, t'as vu ses photos de vacances sur Facebook ? le feu !
    - ha ha ha tranquille les vacances...toujours aussi pervers hein...
    - Bon ramène toi on va en cours.
    - Attend je vais te raconter un truc...

    Sur le chemin de la salle je lui racontai ma matinée, l'histoire de Antoine et de la vidéo notamment. Sa réaction ne se fit pas attendre.
    - Oh mais mec, obligé il l'a sauter ! qu'est ce que tu crois ?
    - Quoi ? t'es sérieux ?
    - Ben à mon avis, c'est un beau gosse et elle c'est un des plus gros canons du lycée forcément il lui a fait quelque chose, elle l'a au moins pomper ....elle est pas si innocente que tu crois...
    - Attend...comment ça ?!
    - Hum...ben je voulais pas t'en parler avant mais bon on va dire qu'elle a aussi flirter avec moi l'année dernière quand vous vous étiez disputez et qu'elle te parlait plus.
    - QUOI ??? t'es sérieux ? et vous avez... ?
    Il jeta un coup d’œil autour de lui et se pencha avec un air de conspirateur.
    - Malheureusement non mais j'ai eu l'occasion de laisser mes mains se promener...même si elle voulait pas se déshabiller.
    - Oh putain la salope !
    - Wow du calme mec ha ha c'est arriver 2 fois puis elle m'a mit un stop.
    - Non mais ça veut dire qu'elle m'a menti !....putain...j'ai flirter avec elle j'ai pas eu l'occasion de faire quoique ce soit merde.

    Je commence a me demander ce qu'elle peut me cacher d'autre...cette pensée m'a occuper toute la journée, je l'imagine avec l'autre connard d'Antoine, dans ses bras nus, en train de....putain de bordel de merde ! à un moment je le croise dans le couloir et il me sourit, j'ai l'impression que c'est un sourire sympathique mais je peut pas m’empêcher d'avoir envie de le buter.

    Ce soir là chez moi je revisionne la vidéo de ses fesses en me paluchant violemment, tout en essayant de ne pas réveiller mes parents ou ma sœur. Mince alors ce que j'aimerais baiser Catarina....






    Voilà c'est tout pour cette partie ! j'écrirais la suite dans pas longtemps, j’espère que vous aimerai :) .
    C'est la première fois que je raconte cette histoire à l'écrit donc si vous pouvez poster un commentaire pour m'aider à améliorer ça serait sympa merci !!!

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  • Je m'appelle Jim et j'ai 18 ans. Jeune homme timide, je suis attiré par les filles de mon âge, mais je fantasme honteusement depuis plusieurs années sur des hommes bien plus âgés que moi à qui je me soumettrais avec docilité.

    Nous sommes fin juin et c'est le début des vacances d'été. Je suis seul à la maison puisque mes parents travaillent tous les deux. La veille, je me suis endormi après m'être caressé en pensant à cet homme autoritaire d'une cinquantaine d'années qui éjaculait dans ma bouche. Une histoire qui sort de mon imagination quand je ne trouve pas de vidéo porno à mon goût. Il est maintenant 11 heures du matin et je bande avec force en repensant à ce délicieux scénario.

    Il se trouve que depuis quelque jours, je songe de plus en plus à passer à l'acte. Je suis tombé sur un site de petites-annonces qui comportait une rubrique "homme cherche homme" et dont la lecture m'a émoustillé. La semaine dernière, j'ai finalement passé une annonce :


    "Moi : jeune homme de 18 ans, cherche première expérience avec homme plus âgé, idéalement 45-65 ans.

    Pouvez-vous me recevoir chez vous? Si oui, voici quelque fantasmes que j'aimerais partager avec vous pour ma première expérience avec un homme :

    - je me déshabille devant vous, et m'allonge sur vos genoux, vous caressez mon cul, vous pouvez me fesser, masser mon entrejambe.

    - je m'agenouille devant vous, lèche vos bourses et votre tige sur tout son long avant de la prendre en bouche

    - je vous branle, avec de l'huile si vous le souhaitez.

    - Vous me faites éjaculer à mon tour, comme vous le souhaitez.

    Vous êtes directif et moi docile, mais il y a du respect. je suis ouvert à beaucoup de chose mais pas de sodomie pour le moment, et je ne suis pas trop branché baisers.

    Discrétion et propreté offerte et demandée."


    Jusque là, je n'avais reçu que des réponses qui m'excitaient mais qui me faisaient également un peu peur, et ne me donnaient pas envie d'aller plus loin. Ce matin là pourtant, une réponse avait particulièrement retenu mon attention :

    Salut Jim
    Belle annonce, ça change des "plans suce-branle" habituels.
    Le fait que tu sois inexpérimenté est un vrai plaisir pour moi... j'adore initier en douceur un homme plus jeune que moi...
    j'aime caresser lécher sucer..je ne fais rien contre ton grès, mais j'aime dominer, et j'aime qu'on m'obéisse. Je te reçois volontiers ce soir chez moi... le style de corps compte moins que la personnalité ... mais étant moi même corpulent... je préfère les hommes jeunes fin.... (c'était mon cas)
    voilà je crois que je réponds à tes attentes... ne t'en fais je suis discret et respectueux de la personne qui est avec moi
    si tu veux on peut faire connaissance par Skype avant la rencontre
    bise en attendant mieux.

    Le message datait de ce matin, un peu avant 9h. Alain avait 53 ans, il m'avait laissé son numéro de téléphone pour que je puisse lui répondre... ce que j'étais en train de faire par SMS : "Bonjour Alain, c'est Jim. Je pourrais venir ce soir normalement. Quelle heure vous conviendrait ?"

    Sa réponse ne se fit pas prier : "Super, j'aimerais que tu viennes pour 19 heure, lavé et rasé. Sois à l'heure."

    La lecture de ses directives provoqua une excitation fantastique. J'avais une forte envie de me branler mais je décidai de me retenir. "OK" répondis-je avant d'aller prendre une douche.

    La journée fut longue, j'alternai entre peur et excitation. J'hésitai plusieurs fois à annuler. Mais j'en avais vraiment envie, j'étais mort de honte et en même temps cela me paraissait tellement évident.

    A 17 heures, je pris une autre douche et insista sur mes parties intimes. Alain avait été clair et je ne voulais pas qu'il soit déçu. N'ayant pas encore de barbe, je n'eu pas besoin de me raser. Je partais de chez moi à 18 heures 30.

    Alain habitait à 15 minutes de chez moi. Dans un immeuble que je connaissais bien puisque l'un de mes oncles y habitait aussi, heureusement pas au même étage. Alain R. habitait au 4ème. Arrivé devant sa porte, je sonnai immédiatement. Je savais que si je commençais à réfléchir je risquais de me dégonfler. Une quinzaine de secondes plus tard, aucun signe de vie derrière cette porte, mais mon cœur battait toujours aussi fort. Une partie de moi espérais qu'il s'agisse d'un canular, et que j'allais rentrer comme si de rien n'était. Mais l'autre partie voulait entrer coûte que coûte.

    19:01. Toujours rien... je m’apprêtais à repartir quand j'eu l'idée de vérifier mon téléphone. J'avais un message d'Alain qui me disait que c'était ouvert, "...entre et ferme derrière toi puis rejoins moi dans le salon, à droite quand tu entres".

    J'étais effrayé. J'étais en train de le faire attendre, et surtout, j'étais en retard. Qu'est-ce qui pouvait bien m'attendre derrière cette porte ? Guidé par sentiment aussi confus que délicieux, j'ouvris la porte et la refermai derrière moi aussitôt. Difficile de faire machine arrière maintenant.

    L'appartement d'Alain était grand, propre et rangé. J'avais l'impression qu'il avait fait en sorte qu'il fasse sombre. Chaque fenêtre était recouverte par des rideaux. Seule une lumière tamisée, sur ma droite, semblait m'indiquer la direction, sa direction. J'avançais lentement, mes jambes tremblaient comme jamais. Neuf fois sur dix je serais partis en courant, mais aujourd'hui l'envie était trop forte. Alain était assis dans son grand canapé en cuir beige. Il me souhaita la bienvenue avec un sourire bienveillant quand je fus à quelque mettre de lui.

    "- Tu en as mis du temps, j'avais peur que tu ne vienne plus
    - Bonjour, je... pardon je suis désolé je n'avais pas vu le message."

    Il était visiblement plus grand que moi et un peu plus costaud, bien que je l'avais imaginé plus fort. Il avait quelque rondeurs qui ne me dérangeaient pas du tout, bien au contraire. Pour un homme de 53 ans, je me dis qu'il était encore bien en forme. Alain portait un pantalon clair en lin et une chemise foncée à manche courte. Quant à moi, après maintes hésitations, j'avais opté pour un jeans et un t-shirt blanc, assez serré qui mettait en évidence mon gabarit svelte et mince. Je n'étais pas très musclé ni très poilu, un physique presque androgyne.

    "- Ce n'est pas grave. J'aimerais que tu restes debout devant moi et que tu te déshabille lentement, en me regardant."

    Ça y est... la partie avait commencé. Il me fallut quelque secondes avant de réagir, ce qui me valut un rappel à l'ordre :

    "- Tu m'as entendu ?
    - Oui, désolé, j'enlève tout ?
    - Tout. Je veux te voir nu debout devant moi, comme dans ton annonce. On verra pour la suite."

    Je m'exécutai. Après avoir ôté mon t-shirt, j'ouvrai ma ceinture et retira mon pantalon, puis mes chaussettes. J'étais à présent en caleçon, et comme il me l'avait demandé, je soutenais son regard, ce qui avait le don de m'exciter. J'avais peur mais je ne me sentais pas en danger. Son regard était impassible, ferme, mais pas menaçant. Je glissai mes mains sous mon caleçon blanc et commençais gentiment à le descendre. Alain pouvait déjà remarquer que je bandais comme un fou. Quand mon caleçon fut assez bas, mon sexe se libéra d'un coup. J'avais lâché mon sous-vêtement qui était tombé sur mes pieds. J'étais nu comme un ver face à mon prédateur bienveillant, attendant avec impatience sa prochaine directive.

    Alain me demanda de me tourner pour qu'il puisse voir mon cul. Je m’exécutais aussitôt en me cambrant légèrement dans le but de l'exciter un peu plus. Dans ma tête, je me disais que je me comportais comme une petite salope, et j'aimais ça. Je le regardais toujours dans les yeux mais j'avais du mal à soutenir son regard de plus en plus perçant. J'avais de plus en plus honte. Dis moi ce que tu attends de moi bon sang !

    "- A quatre pattes, approches toi de moi et viens renifler mon entrejambe, continue à me regarder"

    Je me mis sur les genoux et posai mes mains sur le sol. J'avançais vers Alain comme un chien avance vers son maître. Arrivé à sa hauteur, je ne me fis pas prier pour répondre à sa demande. Afin de pouvoir continuer à le fixer dans les yeux tout en reniflant son entrejambe, je n'avais pas d'autre choix que de cambrer considérablement mon dos, relevant ainsi mon cul. Cette position ô combien humiliante me mis dans un état second. Je venais de glisser mon nez entre ses jambes et je sentis son sexe durcir sous son pantalon....

    Alain passa sa main sur ma joue, puis sur ma nuque :

    - C'est ça mon beau, hume moi bien cette queue, tu sens son odeur ?
    - Oui
    - Tu as envie de la prendre dans la bouche ?
    - Oui
    - Alors dis le, que tu veux me sucer
    - J'ai... j'ai envie de ta queue dans ma bouche !
    - Hmmm patience mon gourmand, chaque chose en son temps.

    Je n'en revenais pas de ce que je venais de dire. A ma connaissance je n'avais jamais été aussi excité. Son sexe avait encore durci et je ne mentais pas, je mourrais d'envie de le sentir, de le prendre en bouche et de le sucer sur toute sa longueur. Il était de plus en plus serré dans son pantalon mais Alain ne semblait pas pressé. Il était maintenant en train de me caresser les cheveux pendant que moi, je continuais à renifler ses parties intimes. Tout d'un coup, sa main appuya sur mon menton comme s'il voulait que je me lève.

    - Relève toi mon beau, montre moi ta bite de plus près, moi aussi je veux te découvrir.

    Je m'étais à peine relevé qu'Alain passait sa main entre mes cuisses, il avait l'air content de ce qu'il avait sous les yeux. Il s'était redressé dans son canapé afin de se rapprocher de mon sexe. Il avait maintenant une main sur mes fesses et une main qui s’apprêtait à envelopper mes couilles. Sa bouche n'était qu'à quelque centimètres de ma bite en érection maximale. Etant puceau, c'était la toute première fois qu'une autre personne que moi manifestait de l'intérêt pour mon corps, et j'en étais absolument ravi. La peur s'était peu à peu évaporée laissant place à encore plus d'excitation.

    - Tu as vraiment un très beau sexe Jim, et j'aime beaucoup te voir bander si fort pour moi. Tu t'es déjà fait sucer ?
    Je hochai la tête pour lui signifier que non
    - He bien, je vais y remédier...
    Avec deux doigts, Alain décalotta ce qui restait à découvrir de mon gland tout en me rapprochant de lui à l'aide de sa main posée sur mon cul. Je vis ma queue entrer dans sa bouche et ne pu retenir un petit gémissement tellement cette sensation m'était douce.

    Moi Jim, 18 ans, j'étais en train de me faire sucer par un quinquagénaire... Alain fit plusieurs vas et viens avec sa bouche, et à chaque fois sa langue venait se frotter à mon gland, provoquant de nouveaux gémissements.

    - On dirait que ça te plaît, tu voudrais que je continue ?
    - Oh oui continuez, s'il vous plait
    - Il va falloir que tu le mérite mon garçon. Et là dernière chose dont j'ai envie c'est que tu éjacules maintenant alors que nous venons à peine de commencer. Pour le moment, tu vas me déshabiller.

    Je ne me fis pas prier, j'ôtai rapidement la chemise d'Alain, ainsi que son pantalon. Il se leva alors qu'il ne portait plus que son caleçon, et me fit comprendre que je devais me mettre à genoux. Chacune de ses directives, aussi humiliante soit-elle, avait l'effet d'un shoot d'excitation pure... et me retrouver à nouveau à genoux face à sa queue était absolument divin.

    Je tirai sur le caleçon d'Alain pour le faire descendre. Son sexe m'apparut enfin, accompagné de sa délicieuse odeur. Il était un peu plus long et plus gros que ce que j'avais imaginé, il avait aussi quelque poils mais on voyait qu'Alain avait l'habitude de se tondre régulièrement. Son gland était presque entièrement recouvert. Je mourrais d'envie de le prendre dans mes mains... et surtout, dans ma bouche. J'étais encore en train de contempler les attributs d'Alain quand je l’entendis me donner sa nouvelle directive :

    - Lèche moi les couilles, Jim.

    Je m’exécutai. Le bout de ma langue s'en alla caresser ses deux belles bourses. Je prenais un plaisir fou à le chatouiller ainsi tout en sentant son pénis s'appuyer par moment sur mon front.

    - Hmmm oui c'est bien Jim, maintenant vas-y moins timidement, lèche moi vraiment, je veux que tu me lèche comme un chien.

    J'aimais qu'il me parle ainsi. Je ne parvenais pas à l'expliquer mais j'adorais quand il me traitait comme un chien. Je donnais maintenant de grands coup de langues sur ses couilles et j'avais pris l'initiative de commencer à remonter sur sa queue sans qu'il ne m'en donne l'autorisation.

    - C'est ça mon gourmand, lèche moi bien fort.

    Alain avait sa main sur ma tête et commençait à contrôler mes mouvements. Je ne léchais maintenant plus que son sexe, mais au rythme qu'il me donnait. J'avais à peine atteint son gland qu'il m'arrêta brusquement.

    - Si tu veux me sucer, il faut que tu me le demande gentiment
    - J'ai envie de vous sucer
    - Supplie moi, Jim
    - S'il vous plaît, laissez-moi vous sucer
    - Je t'ai dit de me supplier. Alain avait haussé le ton sur cette dernière phrase
    - Je vous en supplie Alain, laissez moi vous offrir ma bouche, laissez moi prendre soin de votre queue avec ma langues et mes lèvres, s'il vous plaît...
    - Mhhh c'est mieux mon garçon, continue
    - Je vous en supplie, laissez moi vous faire jouir en moi, permettez moi de goûter votre sperme, je vous en supplie.
    - Vas-y Jim, montre moi comme tu suce bien.

    J'étais complètement sous son emprise. Jamais je ne m'étais senti aussi vivant qu'à cet instant où je me soumettait à cet homme. Il pouvait me demander n'importe quoi...

    J'approchai mes lèvres du sexe d'Alain et senti sa chaleur avant même de le toucher. Que c'était bon ! De ma main droite, je tenais sa queue et découvrait son magnifique gland. Ma main gauche était appuyé contre son bas ventre. Je fermais les yeux pour mieux savourer ce moment que j'avais imaginé de nombreuses fois. Je posai mes lèvres sur son gland et avança lentement la tête. Je sentais le membre d'Alain entrer progressivement en moi. J'en avais maintenant plus de la moitié, c'était le bon moment pour revenir sur son gland et l'honorer de plusieurs coup de langues. J'entendais Alain gémir et louer mes qualités de suceur. J'aimais quand il me félicitais, cela m'encourageait à lui en donner plus.

    - Oh Jim tu m'excite, continue comme ça et je vais venir dans ta bouche.

    Je n'attendais plus que ça. Je n'avais aucune notion du temps et ne savais pas depuis combien de temps j'avais cette queue dans ma bouche, et ça m'était égal. Je faisais maintenant des vas et viens de plus en plus rapide avec ma bouche, et avec ma main, je le branlais avec énergie. Sa bite était dure comme de la pierre et ses gémissements me laissaient croire qu'il allait bientôt jouir.

    - Oh oui c'est bon Jim, ouvre bien la bouche ma salope ça vient !!

    J'avais adoré qu'il m'appelle ainsi. A ce moment précis, j'étais heureux qu'il me considère comme sa petite salope. Alain lacha un cri qui annonciateur de sa première giclée. J'étais prêt, bouche grande ouverte et langue tirée, à l’accueillir. C'est entre mon nez et le haut de ma lèvre supérieur que la première salve s'écrasa. Je senti la deuxième giclée atteindre mon palais et ma langue, et la troisième giclée termina juste sous mes narines. Cette odeur de iode enivrante... après avoir passé ma langue sur mes lèvres, j'entrepris de nettoyer le sexe d'Alain avec mes lèvres, sans en perdre une goutte. Les râles d'Alain se faisaient de moins en moins forts et étaient de plus en plus espacés. Il me félicita lorsqu'il eu repris ses esprits :

    - J'espère que tu as aimé autant que moi, mon garçon. Tu suces à merveille et j'aimerais qu'il y ait une prochaine fois. Mais pour le moment, laisse moi te faire jouir à mon tour.

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