• Il a mis le laid, le sucre et l'eau, il les a frappés et a créé le premier lait frappé... (petit nono) (sopalin)haut dans laquelle il a jeté du son de voix pour la faire bon

    Il a mis le laid, le sucre et l'eau, il les a frappés et a créé le premier lait frappé... (petit nono) (sopalin)haut dans laquelle il a jeté du son de voix pour la faire bon

    Il a mis le laid, le sucre et l'eau, il les a frappés et a créé le premier lait frappé... (petit nono) (sopalin)haut dans laquelle il a jeté du son de voix pour la faire bon... reprend doigts encore ce sucre mon petit Arnaud

    Tu cherche le sopalin de la cuisine, hein!?...

     T'embrasse un drôle de nous,nous ...

    OH ouuiiii!!!!, ... Pour l'essuie tout (oui je pense que le sopalin est ta marque préféré)je n'en doute pas une minute, ...... Supporte toi bien, et s'il te plait, pas de silence radio pendant des semaines.

     

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  • Comment tu vas? XDDT'es fan de chocolat? Ouaiiiis, moi aussi je suis tellement heureux que je ne peux garder cela pour moi seul! ...

    Comment tu vas? XDDT'es fan de chocolat? Ouaiiiis, moi aussi ici ! ... Je ne cesse de pensé que ceci est le signe que tu es

    avec moi

    Comment tu vas? XDDT'es fan de chocolat? Ouaiiiis, moi aussi Tous les jours je viens ici, tous les jours je pose la même question à .... Je prends une chaise avec moi car je suis trop petit, je grimpe ...

     

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  • &

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  • Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Les Jeux Olympiques Bonjour, je m'appelle Uisens,et je collectionne des secrets.«Je suis là aujourd'hui pour vous dire à tous à quel point je souffre et je me trouve trop petit, Je ne mesure qu' 1 m 55 je voudrais ... J'ai été assez triste et me suis dit que ce n'était pas vrai mais ça s'est avéré exact.» "Je rêve des Jeux", cette campagne va concrètement prendre ... JO 2024. Coucou les filles je suis partie voir les jo a londres donc j'ai dormi a un hôtel et les filles en ville elles étaient exactement dans ce style là. je met la note de 20/20 bisous et je cherche des amis

      Merci d'être venu et on recommence. Et toi, tu t'appelles comment?

     

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  • (Histoire vraie quoique légèrement simplifiée au niveau des sentiments - 
    ***


    Je ne suis pas du genre à rendre service à mon prochain dès que l’occasion se présente. C’est difficile à dire, mais j’aime qu’on me fiche la paix. C’est donc sans le moindre enthousiasme que je me rendais chez Marie, pour l’aider à déménager. Ordre de mes parents. Même à 20ans, on n’est jamais vraiment libéré de leur autorité. Et surtout, ils m’ont promis de l’argent de poche, argument non négligeable quand on souhaite faire customiser sa guitare, ce qui n’est pas donné.

    Marie, c’est une femme que j’adore malgré tout. Imaginez une jolie femme de 46ans, les cheveux d’une couleur particulière, à mi-chemin entre le blond et le roux. De grands yeux verts, d’une profondeur et d’une intensité impressionnante. Environ 1m65 pour moins d’une cinquantaine de kilos. De superbes seins et un joli fessier, toujours mis en valeur par un excellent goût vestimentaire, ni trop sage, ni vulgaire, témoignant d’un réel attachement à rester sexy même à un âge où les femmes ont le tort de croire qu’elles ne plaisent plus.

    Elle me connaît depuis mon enfance, quoique je ne la voie pas très souvent. Mais elle a toujours eu beaucoup d’affection pour moi. Elle est une vague amie de mes parents, quoique ces derniers la trouvent un peu excentrique : outre son allure de femme libérée que les quadragénaires conservateurs qualifient de vulgaire, Marie n’a jamais caché être bisexuelle : ça ne plaît guère aux anciens. Pire, elle a toujours affirmé qu’elle adorait le sexe. Comme nous tous, me direz vous, mais ce genre de chose est confiné à la plus grande discrétion là où je vis ! Aussi ses blagues, parfois un peu scabreuses, ne faisaient-elles pas rire grand monde…à part elle et moi. Et chaque fois qu’elle parlait de sexe, même devant mes parents, elle aimait vérifier du regard que je l’écoutais, comme si elle s’était mise en tête de faire mon éducation dans le domaine.

    Elle était du genre à me demander comment ça se passait au lit, à quoi ressemblait ma partenaire, si j’avais besoin de conseils…Parfois, quand j’étais seul avec elle, elle n’hésitait pas à me taquiner avec légèreté et complicité, en vantant la courbe de mon « joli petit cul » ou « la bosse qui se dessinait dans mon blue-jean à la vue d’une jolie fille ». Elle était comme ça. Ça me gênait parfois, de peur qu’on l’entende, mais en même temps, c’était plaisant d’être complimenté par une femme qui, dès mon adolescence, a commencé à passer du statut de « nounou qui me gardait parfois quand j’étais petit », à celui de « fantasme de la cougar bisexuelle ». J’avoue. Au fond de moi, je me disais que la réciproque était un peu vraie : j’étais habitué depuis l’enfance à ce qu’elle me serre affectueusement contre elle. Mais au fur et à mesure que mon corps devenait celui d’un homme, ses mains à elle descendaient. Elle me serrait par les épaules quand j’étais petit. Depuis environ mes 16ans, elle m’enlaçait par la taille, laissant parfois ses mains descendre sur mes fesses, l’air de rien. Je laissais toujours faire, avec, seulement en tête, la crainte qu’elle se rende compte de l’effet érectile que provoquaient ses doigts caressant innocemment mon postérieur. Elle aimait beaucoup me toucher. C’est stupide à dire, mais la façon dont elle touchait mes cuisses parfois, où quand elle caressait ma « barbe de trois jours », prétextant qu’elle voulait vérifier que j’étais bien rasé, ou encore, quand elle passait une main sous mon T-shirt pour vérifier mes « tablettes de chocolat »…tout ça me paraissait plein de sous-entendus, sans que je puisse me confirmer que je m’imaginais peut-être des choses, tout simplement.

    C’est Marie. Point.

    Et me voilà à sa porte, en train de sonner, résigné à passer cet après-midi ensoleillé à remplir des cartons et à bouger des meubles. J’entends ses pas derrière la porte, elle ouvre et m’accueille dans un immense sourire. Elle est radieuse. Elle porte un jogging moulant, dont la fermeture éclair me montre la naissance de ses seins imposants, ce qui attire tout suite mes yeux.

    -Bonjour mon Tom, tu es en avance…ça tombe bien il n’y a que toi pour m’aider !
    -Pas de problème, tu me connais !
    -Bon, c’est par là.

    Elle me désigne son salon où trônent déjà des dizaines de cartons plus ou moins remplis. Elle marche devant moi, et chacun de ses pas crée un mouvement d’air apportant son délicat parfum à mes narines. Elle se retourne et me dit :

    -J’ai déjà fait la plupart des cartons, mais il faut déplacer des meubles et les apporter au garage pour les charger dans le camion qui arrivera demain matin. Si tu arrives à descendre les meubles de ma chambre à l’étage, t’es un as ! Et si tu arrives à me descendre la commode de la salle de bain, là, crois moi, je te récompense !

    L’espace d’un instant, je trouvais cette idée de « récompense » fort ambiguë. Allons Tom, me dis-je, on se fait pas de film, et on bosse. Elle me fixe un instant de ses grands yeux, puis retourne à ses cartons tandis que je me mets en devoir de déplacer les plus petits meubles pour commencer.
    Et mon après-midi se déroule au rythme de mes allers-retours entre la maison et le garage. Écrasé par la chaleur, je me mets torse nu ce qui, bien sur, me vaut les sifflements admiratifs de la belle, qui s’empresse de me demander « si elle peut toucher ?». Je lui réponds par un sourire confus, et elle se contente de glisser une main en travers de mon torse au moment où elle passe pour aller au garage. J’en ai la chair de poule.

    Je reprends mes esprits difficilement lorsqu’au retour, elle me demande de l’aide pour déplacer son sofa. On se place chacun à une extrémité, et elle se penche amplement pour soulever le meuble, m’offrant une vue plongeante dans ses seins. Elle relève la tête et voit mon regard ébloui par ce spectacle :

    -Tu joueras avec eux plus tard ! D’abord on déménage le sofa ! dit-elle sur un ton autoritaire que seul son sourire trahit.

    J’en reste bouche bée. Je soulève machinalement cette antique pièce de mobilier, me demandant si j’ai bien entendu ce qu’elle a dit. Non c’est impossible. Elle ne parlait pas de ses seins. Ou alors elle disait ça avec humour. C’est bien dans son genre !

    Je décide de m’occuper des meubles de l’étage une fois le sofa déplacé. Prenons nos distances ! Et tout le reste de l’après-midi, je déplace le mobilier par l’escalier en colimaçon donnant sur son salon. A chaque fois que je monte et à chaque fois que je descends, je la regarde furtivement. Je la désire. Nous échangeons parfois un sourire complice. Je démonte les plus gros meubles, notamment son vaste lit, dans lequel je rêve de faire des choses peu orthodoxes. Puis viens le tour de la fameuse commode. L’épreuve finale. En repensant à la perspective d’une récompense, je me motive pour retirer chaque vis, et je descends chacune des lourdes planches qui composent le vieux meuble par l’escalier. Marie me regarde avec admiration.
    -Tu es vraiment un homme, un vrai ! dit-elle en souriant. J’adore te regarder travailler. Ton torse tout luisant, ça me donne des envies. Crois moi, je te l’ai promis : tu vas être gâté, je vais me préparer.
    -Te préparer ? Tu vas où ?

    Elle ne répond pas. Elle grimpe l’escalier, me donne un baiser sur la joue au passage et monte dans sa chambre où elle s’enferme. Je renonce à comprendre. Ou peut-être que je préfère ne pas comprendre. Ou peut-être que j’ai déjà compris…Je continue à descendre les planches et les petits éléments de la commode, puis je vais à la porte de sa chambre, où je toc timidement.

    -Marie ? J’ai terminé ! Tu as besoin d’autre chose ?

    Elle ouvre la porte, vêtue seulement d’un string et d’un soutien gorge. Les bras m’en tombent. Elle me laisse la regarder quelques secondes et lâche avec un grand sourire

    -Non, je n’ai besoin de rien, j’avais laissé mes cartons de sous-vêtements, mais je saurais bien les descendre demain matin. Pour l’instant, je vais t’offrir le réconfort après l’effort.

    Je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit. Elle m’enlace et plaque sa bouche sur la mienne. Je sens sa langue se lier à la mienne. Et elle tournoie, va et vient, refait un autre tour et se retire lentement. Ses lèvres dévorent les miennes et finissent ce divin baiser par quelques petites morsures sur ma lèvres inférieures. Quand son étreinte se libère finalement, j’articule timidement :

    -C’est ça, la récompense ?
    -Non, me dit-elle, ça c’est parce que j’en ai envie depuis trop longtemps. Maintenant que tu es seul chez moi, et que tu es à mon service pour la journée, je ne vais pas m’en priver. Mais si tu tiens à ta récompense, je vais te la donner tout de suite.

    Elle me repousse contre le mur et s’agenouille devant moi. Elle dégrafe mon jean très lentement et lâche, avec des yeux gourmands :

    -Je vais enfin voir cette bosse de plus près. Tu sais que ça fait longtemps que ça me démange ? Tu le sais ça ?
    -…Ou…Oui, dis je dans un bégaiement…

    Elle tire mon jean d’un coup sec et le fait tomber jusqu’à mes chevilles. Mon caleçon est effectivement courbé par une bosse dont le volume me rend assez fier. Elle pose doucement ses dents dessus en me regardant avec un appétit presque carnassier. Elle mordille le gland à travers le tissu et donne des coups de langues à l’emplacement de mes testicules. Elle passe ses doigts à l’intérieur du caleçon, et l’abaisse d’un coup sec. Ma verge jaillit comme un ressort dressé. Elle l’attrape d’une main, la serrant si fermement que j’ai peur qu’elle l’écrase. Elle me dit alors, avec un regard où se mêle hystérie et désir :

    -Maintenant, elle est à moi ! Je vais te manger ! Je te dévorer tout cru ! Les petites minettes de 20ans avec qui tu couches, je vais te les faire oublier. Moi ça fait un bout de temps que je te veux, alors crois moi, j’en ai pas fini ce soir.

    Elle me fait presque peur, je ne réponds même pas, je la regarde, ébahi. Je rêve. Oui c’est ça je rêve. NON, une sensation bien réelle me ramène sur terre. Une sensation incroyable. Celle de sa bouche qui enserre mon sexe juste en dessous du gland. Ce dernier, libéré de la peau qui l’entoure d’ordinaire, se retrouve noyé dans la salive de ma partenaire, qui fait rouler sa langue autour. Sa main gauche vient masturber la base de mon sexe, tandis que la droite vient malaxer mes boules. Si le Paradis existe, il ressemble surement à une version éternelle de ces quelques minutes de bonheur. Je suis tiraillé entre le désir de renverser ma tête en arrière pour savourer chaque parcelle de sensation que m’offrent cette bouche et ces mains expertes, et l’envie de regarder la belle s’affairer sur mon sexe. Elle en fait ce qu’elle veut. Tantôt elle le garde longuement dans sa bouche pour le titiller de sa langue. Tantôt elle le laisse sortir et en lèche chaque contour comme s’il s’agissait d’une glace en train de fondre. Elle recule brièvement tout en le masturbant avec une incroyable vigueur qui me place entre douleur et plaisir, puis, sa main l’empoigne à la base subitement, le maintenant dirigé vers la bouche de ma partenaire qui, avec un regard confiant et aguicheur, approche lentement et enveloppe mon sexe de ses lèvres, descendant encore et encore. Et, alors qu’elle semble à son maximum, elle continue plus profondément. Je ressens la chaleur de sa gorge tandis que son nez vient frôler mon bas-ventre. Mon sexe, dont la taille ne m’a pourtant jamais complexé, est entièrement englouti. Et la belle reste ainsi pendant quelques secondes, elle a l’air sur le point de vomir, elle s’étouffe, je me met à avoir peur pour elle. C’est stupide mais je panique tout en soupirant de plaisir. Elle se retire finalement en essuyant d’un revers de la main la salive qui dégouline sur son menton. Ma verge elle-même en est inondée, et Marie s’empresse de l’essuyer en faisant aller et venir sa main. Elle me lance, fièrement :

    -Tu n’avais jamais visité la gorge d’une femme, non ?
    -Tu es incroyable…dis-je en me trouvant ridicule de n’avoir que ça à répondre

    Elle continue à me sucer frénétiquement, glissant une de ses mains entre ses cuisses pour se donner du plaisir. Je caresse ses cheveux et ses joues. Son visage où se dessinent quelques rides est d’une beauté sans nom. Moi qui crois être au summum de l’excitation, je deviens totalement fou quand elle se met à jouer avec mon sexe en le caressant de ses joues et de son menton.

    -Je te montre où viser quand tu vas jouir ! dit-elle en apposant un petit baiser sur mon gland. Mais d’abord, tu vas me baiser comme il faut.

    Elle se relève, retire son string et son soutien gorge tandis que je finis moi-même de retirer mes vêtements, et elle s’adosse au mur opposé, les cuisses écartées. Je viens vers elle à 4 pattes et, posant des baisers en remontant le long de sa cuisse droite, je lèche délicatement son clitoris déjà gonflé par ses propres soins. J’adore ce goût amer qui vient envahir ma bouche. Je pose un long baiser sur son sexe et le lèche en allant et venant de son anus à son clitoris. Je titille chaque rebord de sa vulve et de ses lèvres gonflées. J’ai faim d’elle ! J’insère ma langue dans son sexe et l’agite en tous sens. Elle pose une main sur ma tête pour m’ordonner de continuer, mais ne dit cependant rien d’intelligible tant elle jouit. Et pendant de longues secondes, qui deviennent des minutes, je lèche son sexe, y glissant un doigt, puis deux. Ces longs doigts de guitariste qui vont et viennent dans son sexe en visitant chaque recoin…Ma salive se mêle à sa cyprine qui dégouline sur ses cuisses et que je m’empresse de lécher. Puis je remonte, passant une nouvelle fois sur son sexe que j’embrasse comme si c’était une bouche, puis sur son nombril. Et j’arrive à ses seins, énormes, que je prends à pleines mains.

    Elle attrape ma tête à deux mains et m’amène à sa bouche pour m’embrasser fougueusement. Sa langue pénètre férocement dans ma bouche tandis que sa main droite descend insidieusement empoigner mon sexe et l’insérer dans le sien. D’un coup de rein brutal, je la pénètre fermement. J’empoigne ses fesses, que l’âge a rendu volumineuse sans pour autant en altérer la fermeté, et la soulève entre le mur et moi pour la placer à hauteur de mon bassin. Je lui donne de véritables coups de boutoirs, qui font trembler le mur en poussant des soupirs proches du râle bestial. Elle jouit en gémissant, ses chevilles viennent se nouer dans mon dos, ses cuisses se crispent autour de mes hanches. Mes coups de reins se font lents et profonds, je m’applique à prendre de l’élan à chaque fois, comme si son vagin était un trou sans fond que je cherchais à combler. Lorsque le manque de confort de notre position vient finalement à bout de mon énergie, elle repose ses pieds à terre, me repousse un peu et s’allonge à même le parquet.

    Je viens au dessus d’elle, glissant ma verge dans son intimité. Elle m’enlace la nuque et m’embrasse, doucement cette fois, remuant légèrement son bassin. Je l’embrasse dans le cou tout en la pénétrant doucement. Je me surprends à dire à cette femme de 46ans, qui me gardait jadis quand j’étais enfant, que je suis fou d’elle. Je m’arc-boute sur mes bras pour la pénétrer à un bon rythme. Elle me regarde avec un sourire en poussant de petits soupirs, je lis dans ses yeux une forme de contentement. Je suis en train de lui donner quelque chose qu’elle désire depuis longtemps. Et tandis que je la prends dans cette tendre position de missionnaire, elle caresse mon visage, mes têtons, elle griffe doucement mon dos et mes fesses. Je plonge mes yeux dans les siens, ces deux immenses yeux vert, tandis que je sens ses deux gros seins frôler mon torse au rythme de mes mouvements de bassin. Cette femme a 46ans, et elle est sublime. J’ai envie de la contempler tout en lui faisant l’amour. Je lui murmure :

    -Viens au dessus, j’ai envie…
    -Mon bébé je vais t’emmener au ciel me répond-elle en se retournant tout ne m’entrainant dans son mouvement.

    Elle pose ses mains sur mon torse, assise à cheval sur moi, et amorce un mouvement de balancier avec ses fesses. Je suis plaqué au sol tant elle s’appuie sur moi pour prendre son élan lorsque son bassin remonte. Et il redescend violemment, ses fesses viennent claquer sur moi avec un bruit caractéristique. Et elle renverse sa tête en arrière, poussant des cris de jouissance, en me chevauchant comme une monture de bataille. Ses énormes seins ballottent de haut en bas et je m’empresse de les lui agripper. Partout sur son corps apparaissent les imperfections liées au temps, rides et cellulite…mais ça la rend incroyablement belle. Et dans cette position où je me retrouve soumis à elle, son âge lui confère toute la noblesse et la grâce de l’expérience. En cet instant précis, où je suis emprisonné entre ces cuisses, elle est une déesse pour moi. Je soulève mon bassin du sol pour accompagner son mouvement et je la pénètre avec force. La jouissance approche. Elle le sent :

    -Ça monte ? dit-elle de façon crue entre deux soupirs de jouissance
    -Je crois…
    -Je vais te faire jouir comme jamais, dit elle en se retirant.

    Elle s’agenouille et m’aide à me relever, debout face à elle. Puis elle empoigne mon sexe et l’amène entre ses seins. Elle les resserre l’un contre l’autre, coinçant mon sexe entre eux avec une force insoupçonnable. Moi qui n’étais pas grand amateur de cette pratique, je suis en train d’en devenir dingue. Je pose une main sur son épaule et fais des va-et-vient dans cet étroit fourreau. Je trouvais que son vagin était serré, mais là, c’est incroyable. J’ai presque du mal à glisser. Elle lâche un peu de salive sur son entre sein pour le lubrifier, et fais elle-même un mouvement d’aller-retour en serrant sa poitrine. Lorsque mon gland se risque hors de cet étroit canyon, c’est pour recevoir un coup de langue de ma belle partenaire.

    -Ça te plaît d’être entre mes seins ? T’en a rêvé, hein ?

    « Oh oui j’en ai rêvé », ai-je envie de dire, mais avant qu’une réponse ne vienne à ma bouche, je sens des spasmes animer mon sexe. Je commence à soupirer fortement, puis à pousser des gémissements. Elle relâche son étreinte, empoigne mon sexe dans ses deux mains et le secoue vigoureusement en le pointant vers son visage. Elle ferme les yeux en me masturbant comme si sa vie en dépendait. Je ne peux plus me retenir.

    Un premier jet part sur sa joue droite, un second sur sa bouche légèrement entrouverte et un troisième sur son menton, tandis que la dernière goutte vient couler sur ses seins. Elle rouvre ses grands yeux et me regarde fixement toujours en tenant mon sexe, qu’elle vient lécher quelques instants, effectuant quatre succions sur le gland comme pour le nettoyer. Elle me relâche et me regarde sans mot dire. Elle ne s’essuie même pas le visage et bien au contraire, me dit :

    -J’ai ta semence. Je peux te dire que je l’ai voulue, celle la ! Et tu ne m’as pas déçu !...Ca te plaît de voir ton sperme sur mon visage ?
    -Tu es…tu es incroyable…lui dis-je timidement, ne sachant pas quoi répondre en contemplant son visage souillé par mon fluide. Un filin se forme sous son menton et coule juste entre ses seins.
    -Je vais m’essuyer, dit-elle en se relevant. Mais je reviens tout de suite : je te l’ai dit : je n’en ai pas fini avec toi ce soir !


    Elle sort de la chambre en fermant la porte derrière elle. J’entends ses pas aller dans la salle de bain, et l’eau du lavabo couler. L’espace d’un instant je ne sais pas trop quoi penser. Sorti de l’euphorie provoquée par ce moment, je réalise quand même que je viens de coucher avec une personne qui me lisait des histoires étant petit. Mais cette séance de sexe et son aspect immoral…quelle excitation ! Je ne médite guère plus longtemps, Marie me parle depuis la salle de bain, et sa voix étouffée par la porte fermée me lance :

    -Remet ton soldat au garde à vous, j’arrive !

    Cette formulation me fait rire. Mais je m’exécute et me masturbe, n’ayant guère de mal à penser à des choses stimulantes. Elle revient, toujours entièrement nue, le visage nettoyé de ma semence. La vision de son corps est un pur délice. La pénombre de la fin d’après-midi semblait sublimer ses formes. Une femme a toujours l’air plus belle après l’amour. C’était infiniment vrai dans son cas. Elle s’approche de moi et empoigne mon sexe naturellement, prenant le relais de mon mouvement. Tout en secouant ma tige d’un geste bien cadencé, elle s’approche de mon oreille.

    -Dis-moi ce que tu veux. Tu veux ma bouche ? Mes seins ? dit elle d’une voix chaude
    -Je te veux toi, lui dis-je, surexcité
    Elle pose un baiser sur ma bouche
    -Ça ne me dit pas ce que je vais faire de ton joujou, là ! dit-elle en ricanant.
    Elle réfléchit un instant et son visage prend une expression indescriptible, terriblement excitante, annonciatrice d’une idée qui lui passait dans la tête et qu’elle allait me dévoiler avec satisfaction
    -Tu veux mon cul ?
    -Tu veux que je te sodomise ? répondis-je instantanément, fougueux d’essayer cette pratique aussi fantasmée qu’inconnue
    -Oui, dit-elle en se moquant de mon empressement soudain, ça te plairait ? J’ai de quoi me lubrifier dans un des cartons. Attend 2min je vais tâcher de le retrouver.

    Elle ressort de la chambre, me laissant nu avec mon érection. Je l’entends remuer des cartons en bas, puis après quelques minutes qui m’ont paru bien longues, elle revient, un tube de gel lubrifiant à la main. Elle me dépose un petit baiser sur la bouche en passant devant moi pour s’installer sur le petit lit de camp qu’elle avait installer pour passer sa dernière nuit dans cette maison. Elle s’y pose à 4 pattes, les coudes sur le matelas, me présentant son sexe comme une fleur qu’il ne reste qu’à cueillir. Je ne résiste pas à l’envie de dévorer une vulve si bien présentée.

    Je m’approche et donne des coups de langue sur ses fesses avant de lécher son sexe par petits à-coups. Je rentre ma langue dans ce trou si merveilleux, encore élargi la pénétration de mon sexe quelques minutes avant. Elle pousse de longs soupirs de contentement. J’aime l’exciter de la sorte, mais il me prend l’envie de la surprendre réellement, et malgré une légère révulsion quant à cette idée, je passe ma langue sur son anus. Je ne pourrais pas dire qu’il y avait un « goût » particulier, déjà largement imprégné du goût de son sexe sur ma langue, mais c’est en dépit de mon dégoût que je dépose de timides baisers sur ce petit trou. J’y risque timidement ma langue, qui entre de quelques millimètres. L’idée d’insérer mon sexe dans un endroit aussi étroit me rend fou. Je lèche plus hardiment son anus, en parcourant le contour. Elle perçoit bien tout à la fois mon dégoût et ma volonté de bien-faire.
    -Tu es vraiment adorable, mon petit bébé, dit-elle comme pour m’encourager.

    Elle se retourne, mettant fin à cet anulingus de débutant et me dépose un baiser sur la bouche, suçant mes lèvres comme pour les laver de sa salive. Elle s’écarte un peu et passe du gel sur son anus, elle insère un doigt dedans pour lubrifier doucement l’intérieur, puis elle laisse couler un filet de gel sur mon sexe qui frétille à ce contact froid. Elle lâche la bouteille à terre et revient en position de levrette. Sans mot dire, je m’agenouille derrière elle et place mon gland à l’entrée de son postérieur. Et je pousse lentement mon sexe vers l’intérieur. Elle a de petits gémissements évoquant plus la douleur que le plaisir.

    -Continue…tout doucement…comme ça…continue…dit-elle avec une voix pleine d’appréhension.

    Quand je suis installé en elle, mon sexe serré à l’extrême, j’entame un va et vient timide. Mes mains viennent se poser sur les hanches de Marie, qui gémit à chacun de mes coups de reins délicats. Elle m’encourage néanmoins à y aller plus fort, et je m’exécute peu à peu. De plus en plus vite, en allant de plus en plus profond, je ne tarde pas à imposer une cadence d’enfer à la belle, qui crie à pleine voix son plaisir autant que sa douleur. Car elle est bel et bien tiraillée entre les deux. Mais elle me demande de continuer. Je me sens devenir animal. Prenant appui sur ses hanches, je dévaste son arrière-train comme si c’était mon objectif. Jamais je n’ai entendu une femme pousser des cris comme elle le faisait. Elle semblait en transe. Lorsque je la pénètre un peu moins fort, c’est elle qui vient empaler son anus d’un geste du bassin sur mon sexe. Ce dernier, serré comme jamais il n’a pu l’être auparavant, ne demande qu’à exploser, c’est une question de minutes.

    -Arrête…me dit-elle, arrête ça commence à me faire mal. Change de trou.

    A la frustration de couper court à ma toute première sodomie succède immédiatement la joie de prendre en levrette ma partenaire. Je me retire de son anus et passe directement un peu en dessous, dans son vagin si accueillant. Et les coups de boutoir reprennent de plus belle. Cette fois elle jouit sans aucune douleur sous-jacente. Je ne résiste pas à l’envie de lui mettre une fessée.

    -Ouch, fait elle entre deux gémissements de plaisir. Tu veux vraiment me faire mal toi ! Fais attention, je peux être méchante aussi!
    -Ah oui ? Lui dis-je en lui claquant une deuxième fois les fesses

    Je redouble de vigueur, sentant mes forces s’amenuiser. Elle jouit de toute la force de sa voix, n’articulant plus rien de compréhensible si ce n’est quelques « Oui ! Oui ! Encore ! » au rythme de mes boules claquant sous elle. Elle passe une main entre ses cuisses pour me les agripper et les malaxer tandis que je reviens à une cadence plus douce en soupirant d’aisance sous l’effet d’une telle caresse. Je reste même un moment immobile, mon sexe au fond d’elle, la laissant caresser mes bourses à loisir. Mes jambes sont crampées et ruisselante. Elle est comme abasourdie par les sensations que je viens de lui donner, et retombe lentement du petit nuage sur lequel un puissant orgasme l’avait mené. Elle retire mon sexe du sien en se penchant en avant, se retourne et se met en devoir de me sucer, allongée face à moi, qui reste à genoux sans réagir. Cette bouche…j’en suis dingue.

    -Tu es fatigué mon bébé ! Tu veux que je te finisse comment ? Tu veux encore mes seins ? dit-elle en donnant de léger coups de langue à mon sexe.

    Ce n’était pas vraiment une question. Sans que je réponde quoi que ce soit, elle se lève, puis agenouillée au pied du lit, me tire par les jambes pour que je m’assoie au bord, mon sexe à hauteur de sa poitrine. Elle m’y insère, resserrant ses seins de ses deux mains, maintenant mon sexe entre eux en formant une barrière avec ses deux doigts. Et elle fait aller ses deux lobes de haut en bas. Elle s’applique ardemment, posant parfois un baiser sur mon ventre. Je la regarde s’affairer, écartant de mes mains ses cheveux pour pouvoir la regarder me faire jouir entre ses seins. Au moment où je commence à pousser des soupirs prononcés, elle accélère le mouvement de sa poitrine, en me murmurant :

    -Oui, c’est bien, viens sur mes seins ! Viens sur mes seins ! C’est bien…

    Et elle ne tarde pas à être exaucée, ma semence partant en un jet dans son cou qui retombe sur ses seins et sur mon gland, et deux autres jets viennent finir d’inonder son buste. Elle rit.

    -Tu ne résistes pas à ça, hein ? Ça fait tout chaud sur ma peau.

    Elle saisit un filet de mon sperme et le porte à sa bouche, suçant ses doigts longuement. Puis elle se relève sur moi pour venir m’embrasser. Et par ses lèvres, je goûte ma semence, tandis que ses seins couverts de cette glue blanchâtre en étalent sur mon torse en se frottant à moi. Elle m’embrasse longuement, partageant mon sperme avec moi, et vient lécher celui qui se trouve sur mon torse tandis que je reste allongé, contemplant le plafond blanc en savourant la chaleur de sa bouche récoltant ce nectar sur ma peau. Quand plus aucune goutte n’a échappé à sa langue, elle vient à mon oreille et me dit :

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